Secondant ces folles idées de cette dame, il ne me semblait pas de la tromper, car cétait fait, et il était impossible que je parvinsse à la désabuser. Si en vrai honnête homme je lui avais dit que toutes ses idées étaient absurdes, elle ne maurait pas cru, ainsi jai pris le parti de me laisser aller. Je ne pouvais que me plaire, poursuivant à me laisser croire le plus grand de tous les Rose-Croix, et le plus puissant de tous les hommes, dune dame alliée à ce quil y avait de plus grand en France, et qui dailleurs était riche plus encore par son portefeuille que par 80 mille livres de rentes que lui donnait une terre et des maisons quelle avait à Paris. Je voyais clairement quau besoin elle naurait pu me rien refuser, et malgré que je neusse formé aucun projet pour memparer de ses richesses ni en tout ni en partie, je ne me suis cependant pas senti la force de renoncer à ce pouvoir.
(Vol. 5, chap. VI.)
Et plus tard :
Absorbé dans le libertinage, et amoureux de la vie que je menais, je tirais parti de la folie dune femme qui, nétant pas trompée par moi, aurait voulu lêtre par un autre. Je me donnais la préférence, et en même temps la comédie.
(Vol. 9, chap. III.)
(Vol. 5, chap. VI.)
Et plus tard :
Absorbé dans le libertinage, et amoureux de la vie que je menais, je tirais parti de la folie dune femme qui, nétant pas trompée par moi, aurait voulu lêtre par un autre. Je me donnais la préférence, et en même temps la comédie.
(Vol. 9, chap. III.)