Limpasse dans laquelle se trouve depuis des années le processus de paix israélo-palestinien constitue un plus grand danger pour Israël quune bombe nucléaire entre les mains de la République islamique dIran : cest le ministre israélien de la défense, Ehoud Barak, qui a avancé cette affirmation mardi lors dune conférence à Tel Aviv. Même si elle a semblé surprendre certains auditeurs, cette analyse nest pas aussi originale et iconoclaste quil y parait.
En juin 2009, alors que la rumeur circulait déjà dune possible frappe israélienne sur des sites nucléaires iraniens, lun des anciens patrons du Mossad, Ephraim Halevy, qui a dirigé les services secrets israéliens de 1998 à 2002, expliquait à lauteur de ces lignes, à Tel Aviv, quune « bombe atomique iranienne ne constituerait jamais une menace existentielle pour Israël, que personne ne constituait une menace existentielle pour Israël, pour aune raison simple : Israël, qui est lune des plus grandes puissances de la planète dispose de tous les moyens nécessaires pour assurer sa protection et pour dissuader un éventuel agresseur ».
Ce qui est frappant, cest que la déclaration dEhoud Barak a eu lieu au lendemain de la publication par la presse allemande dinformations selon lesquelles lIran est désormais capable de fabriquer une bombe atomique dans un délai dun an. Manifestement partisan - comme nombre de militaires israéliens - dune combinaison de menaces et de sanctions, à condition que les deux soient crédibles, Barak a répété un discours désormais connu : « LIran ne sest engagé dans les négociations que pour gagner du temps, a-t-il affirmé.
La mise sur pied dun calendrier court et clair dimposition de sanctions à Téhéran est vitale. Et lenrichissement duranium sur le territoire iranien ne doit pas être permis ».
http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=8090
En juin 2009, alors que la rumeur circulait déjà dune possible frappe israélienne sur des sites nucléaires iraniens, lun des anciens patrons du Mossad, Ephraim Halevy, qui a dirigé les services secrets israéliens de 1998 à 2002, expliquait à lauteur de ces lignes, à Tel Aviv, quune « bombe atomique iranienne ne constituerait jamais une menace existentielle pour Israël, que personne ne constituait une menace existentielle pour Israël, pour aune raison simple : Israël, qui est lune des plus grandes puissances de la planète dispose de tous les moyens nécessaires pour assurer sa protection et pour dissuader un éventuel agresseur ».
Ce qui est frappant, cest que la déclaration dEhoud Barak a eu lieu au lendemain de la publication par la presse allemande dinformations selon lesquelles lIran est désormais capable de fabriquer une bombe atomique dans un délai dun an. Manifestement partisan - comme nombre de militaires israéliens - dune combinaison de menaces et de sanctions, à condition que les deux soient crédibles, Barak a répété un discours désormais connu : « LIran ne sest engagé dans les négociations que pour gagner du temps, a-t-il affirmé.
La mise sur pied dun calendrier court et clair dimposition de sanctions à Téhéran est vitale. Et lenrichissement duranium sur le territoire iranien ne doit pas être permis ».
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