L’essayiste et militant des droits de l’homme, Abdellatif Bazi vient de présenter sa démission du CNDH en signe de protestation contre l’immobilisme de l’institution face au scandale lié à la grâce royale accordée à un violeur d’enfants et l’utilisation disproportionnée de la force contre des manifestants venant exprimer pacifiquement leur refus de cette décision devant le parlement marocain, le vendredi 2 août dernier.
Sur sa page Facebook, Bazi qualifie le silence du Président du CNDH, Driss Yazami et de son secrétaire général, Mohammed Sebbar d’ « injustifié et incompréhensible venant d’une institution dont la vocation est de participer à la protection de la dignité des marocains et à la préservation de leur honneur ». Sur ce « j’annonce mon retrait et ma démission de la commission régionale des droits de l’homme de la région de Tanger-Tétouan »
Rappelons que le CNDH est une institution nationale officielle de promotion et de protection des droits de l’homme au Maroc. Le Conseil n’a pas réagi aux récents événements malgré l’existence de deux grandes figures militantes à la tête de l’institution et en dépit d’une condamnation générale de la grâce royale accordée au « monstre de Kénitra » et des actes de violence policière à l’encontre de manifestants pacifiques devant le parlement marocain.
http://fr.lakome.com/index.php/maro...h-dans-l-affaire-danielgate-et-en-demissionne
Sur sa page Facebook, Bazi qualifie le silence du Président du CNDH, Driss Yazami et de son secrétaire général, Mohammed Sebbar d’ « injustifié et incompréhensible venant d’une institution dont la vocation est de participer à la protection de la dignité des marocains et à la préservation de leur honneur ». Sur ce « j’annonce mon retrait et ma démission de la commission régionale des droits de l’homme de la région de Tanger-Tétouan »
Rappelons que le CNDH est une institution nationale officielle de promotion et de protection des droits de l’homme au Maroc. Le Conseil n’a pas réagi aux récents événements malgré l’existence de deux grandes figures militantes à la tête de l’institution et en dépit d’une condamnation générale de la grâce royale accordée au « monstre de Kénitra » et des actes de violence policière à l’encontre de manifestants pacifiques devant le parlement marocain.
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