Un policier confirme les pièges tendus aux bleus par des 17-28 ans, facilement armés, du coin le plus hard de Bruxelles. Urgence !
ANDERLECHT Il est temps que les gens comprennent quà Cureghem, on est assis sur une bombe à retardement. Dès après le reportage Des guets-apens tendus par des bandes (DH de mardi), Simon, policier de la zone Midi, a confirmé les dires de notre confrère. Avec force détails et cris du cur
Lofficier vers lequel un pavé fut jeté est pour cinq semaines à la maison !, senflammait hier ce policier aguerri au terrain, en ciblant lhostilité manifestée par une cinquantaine de jeunes dont 20 à 30 têtes pensantes à lencontre de sa corporation.
Sous son indispensable prénom demprunt, notre flic sort du bois parce que ces traquenards, il en a entendu parler. Et subi. Pas pleutre pour un sou (Je retourne dans ce quartier), il confesse toutefois une peur non feinte. Faudra-t-il un mort chez nous, pour que les choses changent ? Cela aurait déjà pu se produire ce week-end.
Plus que quiconque, ses collègues et lui savent combien cette enclave anderlechtoise quembrassent les gare du Midi ou chaussée de Mons est sensible. Quand on en maîtrise tous les paramètres, on saperçoit quil y a une réelle mafia qui tient le quartier. Mafia : le mot est lâché pour définir la violence de ces jeunes, des Marocains chômeurs, entre 17 et 28 ans (et, selon notre témoin, régulièrement sous lemprise dalcools améliorés de drogues) faisant la loi qui place Lemmens, qui square Albert. Derrière, notre homme en uniforme dénonce une grosse organisation internationale de trafic de stups
Chaudron dautant plus brûlant en période de ramadan, Cureghem nest pas zone de non-droit pour Simon. Quoique Vous voulez la guerre ? Vous allez lavoir, ai-je un jour entendu. Il est arrivé quon nous demande déviter le quartier, admet notre interlocuteur.
Face à ce régime cureghemois dont les Kalachnikov ne sont pas absents, une Danielle Depré (FDF, échevine de lÉgalité des chances), par exemple, déplore un racisme anti-Belges. Et réclame, en haut lieu (au fédéral), une prise de conscience que cette jeunesse désuvrée bafoue notre État de droit :
Il ne devrait plus y avoir dagressions impunies ; les sanctions doivent plus conséquentes. Il importe aussi que la police puisse avoir la justice derrière elle. Quau fédéral, lon crée une équipe spécialisée dans ce genre dinterventions.
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2010/02/04/cureghem-plongee-dans-un-quartier-de-bruxelles/
http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/404230/cureghem-l-impunie-sent-le-soufre.html
ANDERLECHT Il est temps que les gens comprennent quà Cureghem, on est assis sur une bombe à retardement. Dès après le reportage Des guets-apens tendus par des bandes (DH de mardi), Simon, policier de la zone Midi, a confirmé les dires de notre confrère. Avec force détails et cris du cur
Lofficier vers lequel un pavé fut jeté est pour cinq semaines à la maison !, senflammait hier ce policier aguerri au terrain, en ciblant lhostilité manifestée par une cinquantaine de jeunes dont 20 à 30 têtes pensantes à lencontre de sa corporation.
Sous son indispensable prénom demprunt, notre flic sort du bois parce que ces traquenards, il en a entendu parler. Et subi. Pas pleutre pour un sou (Je retourne dans ce quartier), il confesse toutefois une peur non feinte. Faudra-t-il un mort chez nous, pour que les choses changent ? Cela aurait déjà pu se produire ce week-end.
Plus que quiconque, ses collègues et lui savent combien cette enclave anderlechtoise quembrassent les gare du Midi ou chaussée de Mons est sensible. Quand on en maîtrise tous les paramètres, on saperçoit quil y a une réelle mafia qui tient le quartier. Mafia : le mot est lâché pour définir la violence de ces jeunes, des Marocains chômeurs, entre 17 et 28 ans (et, selon notre témoin, régulièrement sous lemprise dalcools améliorés de drogues) faisant la loi qui place Lemmens, qui square Albert. Derrière, notre homme en uniforme dénonce une grosse organisation internationale de trafic de stups
Chaudron dautant plus brûlant en période de ramadan, Cureghem nest pas zone de non-droit pour Simon. Quoique Vous voulez la guerre ? Vous allez lavoir, ai-je un jour entendu. Il est arrivé quon nous demande déviter le quartier, admet notre interlocuteur.
Face à ce régime cureghemois dont les Kalachnikov ne sont pas absents, une Danielle Depré (FDF, échevine de lÉgalité des chances), par exemple, déplore un racisme anti-Belges. Et réclame, en haut lieu (au fédéral), une prise de conscience que cette jeunesse désuvrée bafoue notre État de droit :
Il ne devrait plus y avoir dagressions impunies ; les sanctions doivent plus conséquentes. Il importe aussi que la police puisse avoir la justice derrière elle. Quau fédéral, lon crée une équipe spécialisée dans ce genre dinterventions.
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2010/02/04/cureghem-plongee-dans-un-quartier-de-bruxelles/
http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/404230/cureghem-l-impunie-sent-le-soufre.html