B
belgika
Non connecté
La pénurie persiste dans plusieurs secteurs en Belgique, indique une enquête menée par la société d'intérim ManPower.
Ce sont toujours les ouvriers qualifiés que les employeurs ont le plus de mal à trouver.
Les patrons ne s'en inquiètent toutefois pas trop.
Sous la pression du climat économique incertain, les employeurs sont particulièrement prudents dans leurs décisions d'embaucher, conclut notamment une enquête menée par la société d'intérim ManPower.
Malgré tout, 27% des employeurs belges affirment devoir encore faire face à des pénuries de main d'uvre.
C'est toutefois 9% de moins que l'an dernier.
> PAGE DE L'ONEM SUR LES FORMATIONS
> ANNUAIRE DE TOUTES LES FORMATIONS PROFESSIONELLES A BRUXELLES
> LES FORMATIONS EN WALLONIE
Sans surprise, les ouvriers qualifiés (soudeurs, électriciens, maçons ) arrivent en tête du top 10 des fonctions critiques, devant les ingénieurs et les techniciens. Les employeurs semblent moins préoccupés par l'impact des pénuries de main d'uvre sur la bonne marche de leur entreprise.
Parmi les 41 pays et territoires sondés, la Belgique recule de dix positions pour se classer à la 28e place. Il s'agit d'une évolution positive, une position en bas du classement indiquant peu de pénuries. Dans la nouvelle ère du Human Age, 34% d
DETAILS DE L'ENQUÊTE (communiqué ManPower)
Pour la septième année consécutive, ManpowerGroup s'est penché sur l'évolution des pénuries de talents dans le monde.
Si notre pays semble aller dans la bonne direction, le phénomène reste néanmoins préoccupant.
En effet, 1 employeur sur 4 en Belgique et dans la région EMEA (Europe, Moyen orient, Afrique) éprouve des difficultés à remplir ses postes vacants. Et 1 sur 3 dans le monde. Fait nouveau: les employeurs semblent s'habituer à vivre avec ces pénuries chroniques de talents, en cherchant des solutions à court terme.
Lors du Forum économique mondial à Davos l'an dernier, ManpowerGroup avait annoncé l'avènement d'une nouvelle ère. Dans le 'Human Age', le talent, plus que le capital, devient le premier facteur de différenciation des entreprises. Partout dans le monde, avec des nuances particulières, ce talent est plus que jamais devenu rare.
Et cela, malgré des taux de chômage élevés, la crise économique ou les évolutions démographiques - le Japon par exemple fait face au vieillissement de sa population active alors qu'au Brésil la tranche des jeunes est en forte augmentation.
suite
http://www.rtl.be/info/economie/belgique/881925/belgique-recherche-desesperement-ouvriers-qualifies
Ce sont toujours les ouvriers qualifiés que les employeurs ont le plus de mal à trouver.
Les patrons ne s'en inquiètent toutefois pas trop.
Sous la pression du climat économique incertain, les employeurs sont particulièrement prudents dans leurs décisions d'embaucher, conclut notamment une enquête menée par la société d'intérim ManPower.
Malgré tout, 27% des employeurs belges affirment devoir encore faire face à des pénuries de main d'uvre.
C'est toutefois 9% de moins que l'an dernier.
> PAGE DE L'ONEM SUR LES FORMATIONS
> ANNUAIRE DE TOUTES LES FORMATIONS PROFESSIONELLES A BRUXELLES
> LES FORMATIONS EN WALLONIE
Sans surprise, les ouvriers qualifiés (soudeurs, électriciens, maçons ) arrivent en tête du top 10 des fonctions critiques, devant les ingénieurs et les techniciens. Les employeurs semblent moins préoccupés par l'impact des pénuries de main d'uvre sur la bonne marche de leur entreprise.
Parmi les 41 pays et territoires sondés, la Belgique recule de dix positions pour se classer à la 28e place. Il s'agit d'une évolution positive, une position en bas du classement indiquant peu de pénuries. Dans la nouvelle ère du Human Age, 34% d
DETAILS DE L'ENQUÊTE (communiqué ManPower)
Pour la septième année consécutive, ManpowerGroup s'est penché sur l'évolution des pénuries de talents dans le monde.
Si notre pays semble aller dans la bonne direction, le phénomène reste néanmoins préoccupant.
En effet, 1 employeur sur 4 en Belgique et dans la région EMEA (Europe, Moyen orient, Afrique) éprouve des difficultés à remplir ses postes vacants. Et 1 sur 3 dans le monde. Fait nouveau: les employeurs semblent s'habituer à vivre avec ces pénuries chroniques de talents, en cherchant des solutions à court terme.
Lors du Forum économique mondial à Davos l'an dernier, ManpowerGroup avait annoncé l'avènement d'une nouvelle ère. Dans le 'Human Age', le talent, plus que le capital, devient le premier facteur de différenciation des entreprises. Partout dans le monde, avec des nuances particulières, ce talent est plus que jamais devenu rare.
Et cela, malgré des taux de chômage élevés, la crise économique ou les évolutions démographiques - le Japon par exemple fait face au vieillissement de sa population active alors qu'au Brésil la tranche des jeunes est en forte augmentation.
suite
http://www.rtl.be/info/economie/belgique/881925/belgique-recherche-desesperement-ouvriers-qualifies