Côté PJD, le parti se dit prêt à toutes les éventualités, dans l'intérêt supérieur du pays.
. Abdelilah Benkirane évacue toute crise,
en martelant que le gouvernement et le Parlement fonctionnent normalement.
Il ne peut rien dire tant que la démission des ministres n'a pas été déposée.
C'est à partir de ce moment que le chef du gouvernement décidera de la conduite à tenir.
. Devant les conseillers du parti dimanche dernier, il s'en est pris à «ceux qui seraient derrière Hamid Chabat, qui veulent faire revenir le Maroc en arrière, en construisant un système comme celui de Benali en Tunisie, basé sur le despotisme», a-t-il dit.
Pour lui, sous les cendres du mouvement du 20 février, il reste encore des braises.
l'Économiste
. Abdelilah Benkirane évacue toute crise,
en martelant que le gouvernement et le Parlement fonctionnent normalement.
Il ne peut rien dire tant que la démission des ministres n'a pas été déposée.
C'est à partir de ce moment que le chef du gouvernement décidera de la conduite à tenir.
. Devant les conseillers du parti dimanche dernier, il s'en est pris à «ceux qui seraient derrière Hamid Chabat, qui veulent faire revenir le Maroc en arrière, en construisant un système comme celui de Benali en Tunisie, basé sur le despotisme», a-t-il dit.
Pour lui, sous les cendres du mouvement du 20 février, il reste encore des braises.
l'Économiste