Bible et Coran, relecture de mythes anciens ?

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l'influence de la philosophie grecs dont platon sur le judaisme christianisme et islam dans la croyance en l'au dela livre de daniel et la caverne d'abraham

 
comparaison interessant entre mariage sacré ishtar et cantique


Il est plausible d’imaginer que le Cantique des cantiques a été composé au IVe ou IIIe siècle avant notre ère.
Les indices pour une datation à l’époque hellénistique sont, en 3,11, le couronnement du marié, coutume hellénistique, ainsi que l’hébreu tardif : aramaïsmes et emprunts du grec (3,9 : palanquin) et du perse (4,13 : pardes = paradis, jardin).

En lisant les huit chapitres du Cantique, on peut se poser la question de savoir s’il s’agit d’une sorte d’opéra (on parle d’un chœur de jeunes filles) qui contient une certaine trame narrative ou si, au contraire, nous avons simplement à faire à une anthologie de poèmes amoureux. On peut cependant voir dans le cantique une certaine progression. Deux amoureux cherchent à se retrouver pour vivre leur amour malgré un certain nombre d’obstacles. Le poème se conclut par un hymne à l’amour qui donne du sens à la vie humaine face à la mort. Bien que les dieux n’apparaissent pas explicitement dans le Ct – et Yhwh seulement dans une allusion –, il y a peut-être quand même une dimension « divine » dans le Ct, comme le montrent notamment (mais pas explicitement)
les liens entre le Ct et l’amour entre Nabû et Tashmetu :



 
salut typologie, contrairement à ce que certains voudraient te faire croire tu n'es pas fou, simplement tu es sorti d'une prison mentale et tu veux le dire aux autres!!!

Que tes dénigreurs écoutent cette histoire!

La condamnation de Saïd Djabelkheir, islamologue de renom, à trois ans de prison jeudi 22 avril pour « offense » à l’Islam, en raison de commentaires qu’il a publiés sur Facebook, constitue un revers inquiétant pour les défenseur·e·s de la liberté d'expression en Algérie, a déclaré Amnesty International.


Dans trois textes publiés sur Facebook en janvier 2020, Saïd Djabelkheir a : établi des parallèles entre les célébrations de l’Aïd El Adha et celles du Nouvel an berbère ; qualifié de « mythes » certains passages du Coran ; Jeudi 22 avril, le tribunal de première instance de Sidi Mhamed l’a déclaré coupable d’avoir « offensé le prophète » et « dénigré le dogme ou les préceptes de l’Islam », en vertu de l’article 144bis du Code pénal algérien.


Et oui tout le monde sait que le coran compile des contes comme dit l'islamologue Said djabekhejr!!

Mais c'est un secret tellement bien gardé que ceux qui le disent vont en prison!!


source amnesty .org
 
salut typologie, contrairement à ce que certains voudraient te faire croire tu n'es pas fou, simplement tu es sorti d'une prison mentale et tu veux le dire aux autres!!!

Que tes dénigreurs écoutent cette histoire!

La condamnation de Saïd Djabelkheir, islamologue de renom, à trois ans de prison jeudi 22 avril pour « offense » à l’Islam, en raison de commentaires qu’il a publiés sur Facebook, constitue un revers inquiétant pour les défenseur·e·s de la liberté d'expression en Algérie, a déclaré Amnesty International.


Dans trois textes publiés sur Facebook en janvier 2020, Saïd Djabelkheir a : établi des parallèles entre les célébrations de l’Aïd El Adha et celles du Nouvel an berbère ; qualifié de « mythes » certains passages du Coran ; Jeudi 22 avril, le tribunal de première instance de Sidi Mhamed l’a déclaré coupable d’avoir « offensé le prophète » et « dénigré le dogme ou les préceptes de l’Islam », en vertu de l’article 144bis du Code pénal algérien.


Et oui tout le monde sait que le coran compile des contes comme dit l'islamologue Said djabekhejr!!

Mais c'est un secret tellement bien gardé que ceux qui le disent vont en prison!!


source amnesty .org

salut merci pour tes encouragement

il y a aussi le cas de mohamed khalaf allah

 
en cadeau pour toi typologie

tout le monde sait que le coran compile des légendes...c'est un secret bien gardé ceux qui le disent terminent en prison voir mon post précédent et pourtant les savants le disent....

c'est comme si le coran disait que le petit chaperon rouge, ou la belle au bois dormant étaient de pieuses musulmanes!!!!

Et bien les musulmans le croiraient!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

explication :

Quand le coran compile des légendes, des histoires inventés et du folklore

c'est de notoriété publique...
des profs de fac le disent... peut on les taxer d'anti musulman primaire?

comme celle d'alexandre, des 7 dormants...ou de luqman




sur un autre site on peut lire

La seule légende qui existe dans les deux traditions. Alain Le Roux écrit dans son livre "Les Septs dormants d'Ephèse :" La légende des Sept dormants d'Ephèse est universelle, connue pratiquement dans le monde entier à part au nouveau monde. A base religieuse, elle a essaimé sous deux formes différentes: sous forme chrétienne au nord de la Méditerranée, sous forme islamique, musulmane, au sud et à l'est de la Méditerranée.(...) Deux religions monothéistes se sont emparées de cette légende pour en faire un culte: les musulmans dont le Coran comporte un chapitre qui lui est consacré, la sourate XVIII dite "la caverne"; il existe encore quelques lieux de culte islamique comme à Chenini de Tataouine en Tunisie,



site sur la ville déphèse , qui parle dune légende celle des 7 dormants déphèse



Mohamed Arkoun : l'impensé dans l'islam contemporain
entretien dans le journal lhumanité
Entretien avec le philosophe, professeur à la Sorbonne, qui développe une critique interne de l'islam par rapport aux propres principes et valeurs que celui-ci proclame.

Mohamed Arkoun. La sourate de La Caverne contient trois contes très anciens : le roman d'Alexandre, la légende des Dormants d'Éphèse (qui se réfère à la persécution des chrétiens sous Dioclétien), et la légende de Gil gamesh
Magazine lhistoire, revu reconnue et sérieuse, n274 mars 2003-05-02 par alfred louis de prémarre
Enseignant et chercheur, à linstitut de recherche du monde arabe daix en provence

Page 76 « la longue évocation coranique des gens de la caverne (sourate 18, 9-26) prend sa source dans la légende hagiographique syriaque des dormants déphèse.. »

Dans la traduction du coran édition le club francais du livre 1959 de muhammad hamidulah professeur à la faculté distanbul voilà ce que dit oumma.com de lui
« le grand savant Muhammad HAMIDULLAH qui est devenue un classique de la pensée musulmane. » http://oumma.com/rubrique.php3?id_rubrique=24
Il écrit en commentaire de la sourate 18 page 275
« le grand exègète ibn kadhir rapporte selon ibn abbas au sujet de gens « dar raquin » et de leur légende : on dit quil était chrétien , mais dieu sait mieux »

donc pour ce professeur hamidulah, il sagit dune légende, la légende des sept dormants
et pour le commentaire sur le verset 60, il note page 281

« mais la bible ne rapporte sur moïse aucun récit de ce genre, on serait plutôt tenté de voir dans ce moïse, une arabisation de gil-gamesh, accompagné non pas de josué , mais dendiku »

donc là il avoue quil y a une ressemblance entre ce passage et lépopée de gilgamesh,

page 283 hamidulah note quil voit dans le bicornu , alexandre le grand
il confirme donc mohamed arkoun




Les histoires des prophètes sont rapportées de façon stéréotypée : le prophète est chargé d'une mission par Dieu, il affronte le peuple, celui-ci le rejette, et les gens sont alors anéantis ("légendes du châtiment", Strafenlegenden, en allemand). Le prophète et ceux qui adhèrent à son message sont sauvés par la Miséricorde de Dieu.


Bilan de nombreuses sources connus

  • des passages entier du coran ne sont que des reprises de légendes folkloriques !

salut
 
un autre point très intérêssant pour moi l'auteur du coran est atteint du syndrome de flaubert , madame bovary c'est moi

pour lui les prophètes ont tous connu sont histoire ils ne sont que les prêtes noms de sa propre histoire en fait...

Par
Claude Gilliot, professeur à l'Université de Provence
b. Les prophètes et les révélations antérieurs
Vingt-huit personnages sont mentionnés comme ayant été élus par Dieu pour communiquer le message concernant "la voie droite" qui conduit à Lui. Mais seul un nombre limité d'entre eux sont dits avoir reçu une Écriture : Adam, Abraham, Moïse, David et Jésus sont précisément cités. Toutes ces figures ne ne retrouvent pas dans la Bible. C'est ainsi que Houd, Salih, Shu'ayb et Luqman sont généralement traités comme prophètes dans le contexte de l'Arabie. Dhou l-Qarnayn (le Bicornu) est le plus souvent identifié à Alexandre le Grand, le Coran et la tradition interprétante reprenant des éléments de la légende grecque et syriaque d'Alexandre.
Les histoires des prophètes sont rapportées de façon stéréotypée : le prophète est chargé d'une mission par Dieu, il affronte le peuple, celui-ci le rejette, et les gens sont alors anéantis ("légendes du châtiment", Strafenlegenden, en allemand). Le prophète et ceux qui adhèrent à son message sont sauvés par la Miséricorde de Dieu.
 
Même si cela était, c'est le résultat qui compte.
Coran
7.160. Nous les répartîmes en douze tribus, (en douze) communautés. Et Nous révélâmes à Moïse, lorsque son peuple lui demanda de l'eau : "Frappe le rocher avec ton bâton." Et voilà qu'en jaillirent douze sources. Chaque tribu sut son abreuvoir. Nous les couvrîmes de l'ombre du nuage, et fîmes descendre sur eux la manne et les cailles : "Mangez des bonnes choses que Nous vous avons attribuées." Et ce n'est pas à Nous qu'ils ont fait du tort, mais c'est à eux même qu'ils en faisaient.

pourquoi 12 sources comme si chaque tribut ne pouvais se mélanger.

c'est en rapport à la Bible

Genèse pour la naissance des noms

Juda - Ruben - Gad -
Aser -Nephthali - Manassé -
Siméon - Lévi -Issacar -
Zabulon - Joseph - Benjamin


puis dans Esechiel il s'agit de multiplication
puis dans Révélation il s'agit de multiplication

c'est pas de l'histoire, c'est comme si un être a écrit ces livres à lui seul, tout semble être d'un même idée de base

comme c'est douze tributs c'est pas difficile à trouver

pour montrer la trilogie sans le dire, c'est de les montrer par trois.

Beaucoup de patience et un bon ordinateur pour suivre chaque mot.



 
en cadeau pour toi typologie

tout le monde sait que le coran compile des légendes...c'est un secret bien gardé ceux qui le disent terminent en prison voir mon post précédent et pourtant les savants le disent....

c'est comme si le coran disait que le petit chaperon rouge, ou la belle au bois dormant étaient de pieuses musulmanes!!!!

Et bien les musulmans le croiraient!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

explication :

Quand le coran compile des légendes, des histoires inventés et du folklore

c'est de notoriété publique...
des profs de fac le disent... peut on les taxer d'anti musulman primaire?

comme celle d'alexandre, des 7 dormants...ou de luqman




sur un autre site on peut lire

La seule légende qui existe dans les deux traditions. Alain Le Roux écrit dans son livre "Les Septs dormants d'Ephèse :" La légende des Sept dormants d'Ephèse est universelle, connue pratiquement dans le monde entier à part au nouveau monde. A base religieuse, elle a essaimé sous deux formes différentes: sous forme chrétienne au nord de la Méditerranée, sous forme islamique, musulmane, au sud et à l'est de la Méditerranée.(...) Deux religions monothéistes se sont emparées de cette légende pour en faire un culte: les musulmans dont le Coran comporte un chapitre qui lui est consacré, la sourate XVIII dite "la caverne"; il existe encore quelques lieux de culte islamique comme à Chenini de Tataouine en Tunisie,



site sur la ville déphèse , qui parle dune légende celle des 7 dormants déphèse



Mohamed Arkoun : l'impensé dans l'islam contemporain
entretien dans le journal lhumanité
Entretien avec le philosophe, professeur à la Sorbonne, qui développe une critique interne de l'islam par rapport aux propres principes et valeurs que celui-ci proclame.

Mohamed Arkoun. La sourate de La Caverne contient trois contes très anciens : le roman d'Alexandre, la légende des Dormants d'Éphèse (qui se réfère à la persécution des chrétiens sous Dioclétien), et la légende de Gil gamesh
Magazine lhistoire, revu reconnue et sérieuse, n274 mars 2003-05-02 par alfred louis de prémarre
Enseignant et chercheur, à linstitut de recherche du monde arabe daix en provence

Page 76 « la longue évocation coranique des gens de la caverne (sourate 18, 9-26) prend sa source dans la légende hagiographique syriaque des dormants déphèse.. »

Dans la traduction du coran édition le club francais du livre 1959 de muhammad hamidulah professeur à la faculté distanbul voilà ce que dit oumma.com de lui
« le grand savant Muhammad HAMIDULLAH qui est devenue un classique de la pensée musulmane. » http://oumma.com/rubrique.php3?id_rubrique=24
Il écrit en commentaire de la sourate 18 page 275
« le grand exègète ibn kadhir rapporte selon ibn abbas au sujet de gens « dar raquin » et de leur légende : on dit quil était chrétien , mais dieu sait mieux »

donc pour ce professeur hamidulah, il sagit dune légende, la légende des sept dormants
et pour le commentaire sur le verset 60, il note page 281

« mais la bible ne rapporte sur moïse aucun récit de ce genre, on serait plutôt tenté de voir dans ce moïse, une arabisation de gil-gamesh, accompagné non pas de josué , mais dendiku »

donc là il avoue quil y a une ressemblance entre ce passage et lépopée de gilgamesh,

page 283 hamidulah note quil voit dans le bicornu , alexandre le grand
il confirme donc mohamed arkoun




Les histoires des prophètes sont rapportées de façon stéréotypée : le prophète est chargé d'une mission par Dieu, il affronte le peuple, celui-ci le rejette, et les gens sont alors anéantis ("légendes du châtiment", Strafenlegenden, en allemand). Le prophète et ceux qui adhèrent à son message sont sauvés par la Miséricorde de Dieu.


Bilan de nombreuses sources connus

  • des passages entier du coran ne sont que des reprises de légendes folkloriques !

salut
T'aura la conscience tranquille 🤔
 
louqman

Les conseils de sagesse, aussi appelés texte de sagesse, sont une tradition répandue dans l’histoire mésopotamienne.
Il s’agit avant tout de transmettre aux nouvelles générations la sagesse traditionnelle2.
Il faut considérer cette Sagesse, nam-kù-zu en sumérien et nēmequ2 en akkadien, comme un adjectif positif désignant « l’habileté et la compétence », notamment dans « les sciences liturgiques » et non une assertion de type moral2.
Les Instructions de Shuruppak en sont un exemple.



La princesse Kunti reçoit une bénédiction du dieu soleil Sūrya et accouche d'un petit garçon.
Comme elle n'est pas mariée et que cette naissance la placerait dans une situation délicate,
Kunti abandonne l'enfant en le plaçant dans un couffin qu'elle lance sur les eaux d'un fleuve.
Le nouveau-né est recueilli par un charretier, Athirathan, qui le nomme Karna et l'élève comme son propre fils.




 
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