Bizutage dans les écoles d'ingénieurs au maroc ?

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blagheurt

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Le bizutage, une pratique censée favoriser l'intégration des élèves d'ingénieurs comme de favoriser la constitution d'un esprit de corps, voir donner lieu à la constitution d'associations d'anciens élèves, de réseaux ou groupes d'influence. Une pratique qui au Maroc célèbre l'humiliation des nouveaux arrivants par les anciens, engendre des inimités et des haines de longues durée.
Les bizuts peuvent présenter des maladies (cardiopathies, diabète etc) que les anciens ignorent en les soumettant à des efforts, qu'ils ne peuvent supporter, dans l'enceinte de l'établissement public.
Récemment on m'a raconté les sévices subis par la promotion 2012 de l'ENSA Tanger, dans une totale ignorance de l'administration.
Pour ma part, il est grand temps d'interdire ces pratiques abusives, parfois intolérables, où la responsabilité du chef d'établissement est engagée, par l'activation des conseils de discipline et des sanctions exemplaires pouvant aller jusqu'à l'exclusion des contrevenants à la réglementation interne des établissement.
Il y a quelques années le bizutage était une expérience saine, respectueuse et non une épreuve où les "anciens" se défoulent sur les nouveaux.
 
Le bizutage, une pratique censée favoriser l'intégration des élèves d'ingénieurs comme de favoriser la constitution d'un esprit de corps, voir donner lieu à la constitution d'associations d'anciens élèves, de réseaux ou groupes d'influence. Une pratique qui au Maroc célèbre l'humiliation des nouveaux arrivants par les anciens, engendre des inimités et des haines de longues durée.
Les bizuts peuvent présenter des maladies (cardiopathies, diabète etc) que les anciens ignorent en les soumettant à des efforts, qu'ils ne peuvent supporter, dans l'enceinte de l'établissement public.
Récemment on m'a raconté les sévices subis par la promotion 2012 de l'ENSA Tanger, dans une totale ignorance de l'administration.
Pour ma part, il est grand temps d'interdire ces pratiques abusives, parfois intolérables, où la responsabilité du chef d'établissement est engagée, par l'activation des conseils de discipline et des sanctions exemplaires pouvant aller jusqu'à l'exclusion des contrevenants à la réglementation interne des établissement.
Il y a quelques années le bizutage était une expérience saine, respectueuse et non une épreuve où les "anciens" se défoulent sur les nouveaux.
c'est une pratique étrange a notre société marocaine....nous avons d'autres moyens d'inegrations beaucoup mieux et plus compatibles avec nos cultures
 
c'est une pratique étrange a notre société marocaine....nous avons d'autres moyens d'inegrations beaucoup mieux et plus compatibles avec nos cultures
Salam,
Des pratiques étrangères qui vont de la séquestration dans les amphis, l'interdiction à la liberté de circulation dans l'enceinte ou de quitter l'établissement avec un ancien interdisant la sortie en passant par le manque de respect des jeunes filles "belles", le harcèlement ...
Des jeunes filles qui pleurent sous la pression d'un groupe qui se comporte en "meute" et qui subissent des vexations intolérables ..
Des jets d’œufs, d'urine ou d'autres matières dégradantes, boire des solutions à forte teneur en sel, ramper pour se salir, c'est le bizutage par des "animaux" portant atteinte à la dignité ....
 
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