Alors que l'affaire des quotas ou Laurent Blanc le Président adulé des enfants et des supporters de l'équipe de France le place dans un tourbillon médiatique.
Au final, on retiendra surtout l’effondrement du mythe démagogique black-blanc-beur de 1998. Surfant sur une vague populaire sans précédent, les médias nous avaient vendu une France multiculturelle où les luttes communautaires, raciales, culturelles ou sociales n’existaient pas, où les hommes étaient tous parfaits et s’enrichissaient dans leurs différences.
Cette affaire aura montré les limites de cette interprétation idyllique puisque, hasard ou pas, les blancs de l’époque (Duga, Liza, Deschamps) ont immédiatement pris la défense de Lolo Blanc tandis que les noirs (Thuram, Viera, Lama) se sont offusqués.
Une vision du monde niaise et déconnectée de la réalité, que le peuple français a accepté quelques années (pas plus loin que 2002 en tout cas) mais que les médias et la gauche française prennent encore au sérieux.
Au final, on retiendra surtout l’effondrement du mythe démagogique black-blanc-beur de 1998. Surfant sur une vague populaire sans précédent, les médias nous avaient vendu une France multiculturelle où les luttes communautaires, raciales, culturelles ou sociales n’existaient pas, où les hommes étaient tous parfaits et s’enrichissaient dans leurs différences.
Cette affaire aura montré les limites de cette interprétation idyllique puisque, hasard ou pas, les blancs de l’époque (Duga, Liza, Deschamps) ont immédiatement pris la défense de Lolo Blanc tandis que les noirs (Thuram, Viera, Lama) se sont offusqués.
Une vision du monde niaise et déconnectée de la réalité, que le peuple français a accepté quelques années (pas plus loin que 2002 en tout cas) mais que les médias et la gauche française prennent encore au sérieux.