Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
Le directeur d’un asile de fous vous fait visiter son institution :
« Plus on monte dans les étages et plus les patients sont fous : Au premier étage sont internés les fous légers, les débonnaires, au deuxième, sont les maniaques et les toqués, au troisième, je place les schizophrènes et les fous avancés, au 4e enfin se trouvent les fous dangereux. »
Vous lui demandez qui est au 5e et dernier étage ? « Oh, c’est mon bureau » vous répond-il.
Je vous propose mon cher lecteur, de nous rendre aujourd’hui au dernier étage du monde de fou dans lequel nous vivons et qui semble avoir atteint un stade terminal.
Depuis quelques années, une mutation majeure du néolibéralisme est passée presque inaperçue.
Nous connaissons tous désormais BlackRock et les géants de la gestion d’actifs.
Nous connaissons moins leur rôle et leur expertise dans le système actuel, chaînon manquant entre les domaines financier, économique, politique, social, sanitaire et même… Scientifique.
Cette lettre est importante car elle va vous montrer comment l’on s’est mis à détourner votre santé comme l’on détourne votre portefeuille au nom de l’intérêt général et au profit d’intérêts privés.
Partagez-là autant que vous pouvez, republiez-là, transférez-là à votre carnet d’adresse.
Cela fait 4 ans que je travaille sur BlackRock et 2 ans que j’enquête plus particulièrement sur le grand délit d’initiés que BlackRock opère dans l’indifférence générale d’une presse indigente.
En janvier 2018, je publiais ma première analyse sur la position monopolistique de BlackRock et son patron Larry Fink :
Le directeur d’un asile de fous vous fait visiter son institution :
« Plus on monte dans les étages et plus les patients sont fous : Au premier étage sont internés les fous légers, les débonnaires, au deuxième, sont les maniaques et les toqués, au troisième, je place les schizophrènes et les fous avancés, au 4e enfin se trouvent les fous dangereux. »
Vous lui demandez qui est au 5e et dernier étage ? « Oh, c’est mon bureau » vous répond-il.
Je vous propose mon cher lecteur, de nous rendre aujourd’hui au dernier étage du monde de fou dans lequel nous vivons et qui semble avoir atteint un stade terminal.
Depuis quelques années, une mutation majeure du néolibéralisme est passée presque inaperçue.
Nous connaissons tous désormais BlackRock et les géants de la gestion d’actifs.
Nous connaissons moins leur rôle et leur expertise dans le système actuel, chaînon manquant entre les domaines financier, économique, politique, social, sanitaire et même… Scientifique.
Cette lettre est importante car elle va vous montrer comment l’on s’est mis à détourner votre santé comme l’on détourne votre portefeuille au nom de l’intérêt général et au profit d’intérêts privés.
Partagez-là autant que vous pouvez, republiez-là, transférez-là à votre carnet d’adresse.
Cela fait 4 ans que je travaille sur BlackRock et 2 ans que j’enquête plus particulièrement sur le grand délit d’initiés que BlackRock opère dans l’indifférence générale d’une presse indigente.
En janvier 2018, je publiais ma première analyse sur la position monopolistique de BlackRock et son patron Larry Fink :
« Une fois dans ta jeunesse tu as fait perdre 100 millions de dollars à ton employeur. C’était énorme. Et une bonne leçon. Maintenant que ton employeur est la planète toute entière… Quel sera le prix de tes erreurs ?
Vraiment Larry, plus qu’à aucune autre personne je te souhaite une bonne fortune… Car tout ton génie n’y suffira pas. »