L'après boutef se dessine ?

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Le chef de l’armée algérienne, Gaïd Salah, fait campagne pour succéder à Abelaziz Bouteflika

Gaid Salah, chef d'état-major de l'ANP, ne cache plus son ambition de devenir le 6ème président de la république d'Algérie, en remplacement d'Abdelaziz Bouteflika.

Il ne se passe presque pas un jour sans que le chef de la Grande muette algérienne, Gaïd Salah, fasse parler de lui surfant sur la peur du terrorisme pour se montrer «garant» de la stabilité et ne rate pas une occasion pour apparaître dans les médias en tant que successeur du président invisible.

Il ne se passe pas un jour sans qu’une actualité mette en avant l’armée algérienne. Il ne se passe pas une semaine sans que le chef de l’armée algérienne, le général Gaïd Salah, inaugure un complexe, un aéroport ou fasse un discours en présence des médias. Le général algérien occupe l’espace médiatique. Il se déplace, donne des conseils, serre des mains, il est partout, alors qu’Abdelaziz Bouteflika est nulle part. Quand un président malade suscite des appétits pour sa succession et qu’un chef militaire communique tous azimuts pour combler la carence d’images qui donnent à voir Bouteflika, cela s’appelle non seulement se positionner comme successeur du président invisible, mais faire campagne pour s’emparer, dès que l’occasion se présentera, du pouvoir.



L’alliance pour se débarrasser de Toufik

Rien ne semble arrêter le vice-ministre de la Défense, chef d’état-major de l’ANP (armée nationale de libération), Gaïd Salah, pour décrocher le très convoité siège présidentiel au palais El Mouradia, à Alger. Pas même le frère du président malade, le pourtant tout puissant Saïd Bouteflika, détenteur des clefs de ce temple emblématique du règne «absolu» des Bouteflika. Il n’y a pas très longtemps, les deux hommes se sont alliés pour se débarrasser de l’ancien homme fort d’Alger, le général Mohamed Médiène, dit Toufik, ex. chef des renseignements algériens. Ce dernier ne s’était pas montré enthousiaste quand Bouteflika s’est présenté pour un quatrième mandat présidentiel. Le clan du président ne lui a jamais pardonné les réserves qu’il a émises sur le mandat de Bouteflika. Gaïd Salah, très ambitieux, aura les coudées franches pour décapiter l’empire sur lequel était assis Toufik et jeter en ta
 
Dernière modification par un modérateur:

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
bonsoir Miss
la suite? c'est très difficile de parier sur un nom
dans tous les cas l'Armée a averti les leaders des partis , personne ne pourra diriger le pays sans passer
le messe des Officiers

alors, il ne reste plus qu'à attendre
en espérant que ça sera un bel avenir pour ce pays, qui le mérite bien

j'en veux pour preuve les femmes d'un village du sud attaqué par daesh qui n'ont pas hésité pour sortir de leurs
maisons pour faire barrage et attaquer
(ce que les médias occidentaux n'ont jamais relaté)
force, courage et détermination

mam
 
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