Bruxelles bannit l'essence et le diesel : A quoi ressemblera la mobilité du futur dans nos villes ?

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madalena

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En 2035, il n’y aura plus de voitures diesel ni de voitures à essence à Bruxelles (ni dans plusieurs autres villes, d’ailleurs). Passage au piétonnier, réduction des places de parkings, taxe kilométrique… la voie royale de la voiture est bien congestionnée.



Hasard du calendrier, la semaine où Bruxelles détaille cette mesure, Paris fait voler son premier taxi volant. Le constructeur allemand Volocopter a effectué un premier vol de démonstration à l’aéroport du Bourget, pour donner une idée de ce qui volera dans le ciel lors des JO de Paris, en 2024, entre Paris et l’aéroport Roissy-CDG.


Le taxi volant dans dix ans ?​

Est-ce là le transport du futur ? L’un d’entre eux, à tout le moins. “C’est tout à fait crédible d’imaginer aujourd’hui que dans une dizaine d’années on aura les premiers transports de personnes et de marchandise par des systèmes volants”, explique Pierre Duysinx, professeur au département d’aérospatiale et mécanique de l’ULiège dans le reportage ci-dessous (février 2021). Même si ce sera probablement réservé à certains publics cibles, comme des entreprises : “On parle de 2 à 3% des communications vers les aéroports et les gares”.



Bien sûr, il y a tout une série de questions à régler, outre la technologie en elle-même : la gestion de ce trafic aérien, la sécurité, l’infrastructure (où pourrait-il atterrir ?), le cadre juridique, etc. Mais, comme pour le transport de marchandises par drones, les taxis volants ne sont déjà plus tout à fait de la science-fiction.

Le téléphérique​

Toujours dans les airs, certaines villes misent sur le téléphérique urbain. C’est le cas en Île-de-France, par exemple, avec le projet baptisé “Câble A”, présenté comme une réponse aux difficultés de déplacements des habitants du Val-de-Marne (réseau de transports collectifs restreint, bus ralenti par les embouteillages, etc.). Il devrait permettre de desservir plus de 20.000 habitants et créer environ 6000 emplois. Autre exemple, beaucoup plus près de chez nous : le téléphérique de Namur.



Voilà pour rêver un peu, la tête en l’air. Mais il n’y a évidemment pas de solution miracle. “Il faut un panachage de différentes solutions. A Paris, on peut imaginer des bateaux électriques sur la Seine, ou des voiliers, continuons à rêver !” sourit Eric Cornélis, responsable du Groupe de Recherche sur les Transports à l’UNamur. "Mais toutes les solutions ne sont pas envisageables partout. On ne voit pas un téléphérique à Amsterdam, par exemple. ”
 
salam

Les voitures autonomes​

Au sol, une de ces solutions pourrait être les voitures et navettes autonomes. On imagine alors des voitures partagées, roulant sans chauffeur, qui évitent les problèmes de parking. La voiture autonome ne fait pas consensus. Pierre Bertin, lui, y croit. Il est chargé de projet chez Traject, un bureau d’études et de consultance en mobilité durable.

"Ça permettrait de minimiser les émissions, explique-t-il, puisque la façon de conduire a un impact à ce niveau-là. A terme, cela libérerait du temps puisqu’il ne faudrait plus conduire. Ça amènerait aussi une plus grande fluidité dans le trafic puisqu’on n’aurait plus de conducteurs qui changent tout le temps de file ou qui ralentissent et accélèrent sans raison. Et enfin, ça améliorerait la sécurité routière.C’est aussi l’avis de VIAS, l’Institut pour la sécurité routière, qui regrette la surmédiatisation de certains accidents impliquant des voitures autonomes.

Il n’empêche la technologie devra encore faire des progrès. Grégory Falisse, expert mobilité pour le développement urbain à l’UCLouvain, est impliqué dans le projet de navette autonome à Louvain-la-Neuve : “Pour aller vers une vraie autonomie, la technologie doit encore évoluer, mais l’infrastructure doit aussi être irréprochable. Un arbre qui pousse, ou même de l’herbe qui pousse, ça peut perturber la navette ! Pour le moment, on se rend compte qu’une navette autonome est tout sauf autonome. Dès qu’elle doit dévier de son trajet, il faut une intervention humaine (dans le cadre de ce projet pilote, il y a toujours un opérateur à bord, ndlr)”. La technologie pour les voitures autonomes est déjà plus avancée, précise-t-il.

Quelles moyens de transport s’imposeront ? C’est difficilement prévisible. Une voiture autonome est toujours une voiture. Elle génère toujours de la pollution, même si elle est électrique (pollution indirecte générée par la production d’électricité et de batteries). Elle n’est pas non plus une solution miracle.

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En 2035, il n’y aura plus de voitures diesel ni de voitures à essence à Bruxelles (ni dans plusieurs autres villes, d’ailleurs). Passage au piétonnier, réduction des places de parkings, taxe kilométrique… la voie royale de la voiture est bien congestionnée.



Hasard du calendrier, la semaine où Bruxelles détaille cette mesure, Paris fait voler son premier taxi volant. Le constructeur allemand Volocopter a effectué un premier vol de démonstration à l’aéroport du Bourget, pour donner une idée de ce qui volera dans le ciel lors des JO de Paris, en 2024, entre Paris et l’aéroport Roissy-CDG.


Le taxi volant dans dix ans ?​

Est-ce là le transport du futur ? L’un d’entre eux, à tout le moins. “C’est tout à fait crédible d’imaginer aujourd’hui que dans une dizaine d’années on aura les premiers transports de personnes et de marchandise par des systèmes volants”, explique Pierre Duysinx, professeur au département d’aérospatiale et mécanique de l’ULiège dans le reportage ci-dessous (février 2021). Même si ce sera probablement réservé à certains publics cibles, comme des entreprises : “On parle de 2 à 3% des communications vers les aéroports et les gares”.



Bien sûr, il y a tout une série de questions à régler, outre la technologie en elle-même : la gestion de ce trafic aérien, la sécurité, l’infrastructure (où pourrait-il atterrir ?), le cadre juridique, etc. Mais, comme pour le transport de marchandises par drones, les taxis volants ne sont déjà plus tout à fait de la science-fiction.

Le téléphérique​

Toujours dans les airs, certaines villes misent sur le téléphérique urbain. C’est le cas en Île-de-France, par exemple, avec le projet baptisé “Câble A”, présenté comme une réponse aux difficultés de déplacements des habitants du Val-de-Marne (réseau de transports collectifs restreint, bus ralenti par les embouteillages, etc.). Il devrait permettre de desservir plus de 20.000 habitants et créer environ 6000 emplois. Autre exemple, beaucoup plus près de chez nous : le téléphérique de Namur.



Voilà pour rêver un peu, la tête en l’air. Mais il n’y a évidemment pas de solution miracle. “Il faut un panachage de différentes solutions. A Paris, on peut imaginer des bateaux électriques sur la Seine, ou des voiliers, continuons à rêver !” sourit Eric Cornélis, responsable du Groupe de Recherche sur les Transports à l’UNamur. "Mais toutes les solutions ne sont pas envisageables partout. On ne voit pas un téléphérique à Amsterdam, par exemple. ”
Depuis covid Je ne roule qu'à vélo ...
transport en commun inefficient
salam @blondin

pourquoi ça te fais rire?^^
je ris des politiciens !
 
salam

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En 2035, il n’y aura plus de voitures diesel ni de voitures à essence à Bruxelles (ni dans plusieurs autres villes, d’ailleurs). Passage au piétonnier, réduction des places de parkings, taxe kilométrique… la voie royale de la voiture est bien congestionnée.



Hasard du calendrier, la semaine où Bruxelles détaille cette mesure, Paris fait voler son premier taxi volant. Le constructeur allemand Volocopter a effectué un premier vol de démonstration à l’aéroport du Bourget, pour donner une idée de ce qui volera dans le ciel lors des JO de Paris, en 2024, entre Paris et l’aéroport Roissy-CDG.


Le taxi volant dans dix ans ?​

Est-ce là le transport du futur ? L’un d’entre eux, à tout le moins. “C’est tout à fait crédible d’imaginer aujourd’hui que dans une dizaine d’années on aura les premiers transports de personnes et de marchandise par des systèmes volants”, explique Pierre Duysinx, professeur au département d’aérospatiale et mécanique de l’ULiège dans le reportage ci-dessous (février 2021). Même si ce sera probablement réservé à certains publics cibles, comme des entreprises : “On parle de 2 à 3% des communications vers les aéroports et les gares”.



Bien sûr, il y a tout une série de questions à régler, outre la technologie en elle-même : la gestion de ce trafic aérien, la sécurité, l’infrastructure (où pourrait-il atterrir ?), le cadre juridique, etc. Mais, comme pour le transport de marchandises par drones, les taxis volants ne sont déjà plus tout à fait de la science-fiction.

Le téléphérique​

Toujours dans les airs, certaines villes misent sur le téléphérique urbain. C’est le cas en Île-de-France, par exemple, avec le projet baptisé “Câble A”, présenté comme une réponse aux difficultés de déplacements des habitants du Val-de-Marne (réseau de transports collectifs restreint, bus ralenti par les embouteillages, etc.). Il devrait permettre de desservir plus de 20.000 habitants et créer environ 6000 emplois. Autre exemple, beaucoup plus près de chez nous : le téléphérique de Namur.



Voilà pour rêver un peu, la tête en l’air. Mais il n’y a évidemment pas de solution miracle. “Il faut un panachage de différentes solutions. A Paris, on peut imaginer des bateaux électriques sur la Seine, ou des voiliers, continuons à rêver !” sourit Eric Cornélis, responsable du Groupe de Recherche sur les Transports à l’UNamur. "Mais toutes les solutions ne sont pas envisageables partout. On ne voit pas un téléphérique à Amsterdam, par exemple. ”
J'imagine aussi tout ces câbles qui vont encombrer les trottoirs pour charger les voitures 🤣
 
salam

c'est bien le vélo!^^
pourquoi ça? tu pense que c'est pas réalisable?
Je voudrais bien mais ça fait plus de 30 ans que le projet de rer n'aboutit pas
à cause de nos problèmes régionaux
Le métro Bruxellois est minimaliste plein de coins qui ne sont pas desservis
bref avant de voir des drones volants et des téléphériques on peut rêver
 
Je voudrais bien mais ça fait plus de 30 ans que le projet de rer n'aboutit pas
à cause de nos problèmes régionaux
Le métro Bruxellois est minimaliste plein de coins qui ne sont pas desservis
bref avant de voir des drones volants et des téléphériques on peut rêver

salam

je trouve ça un peu exagérer les taxis volants!^^
j'aimerai que se soit un peu plus vert mais il faut des solutions, les transports moins chère...

d'ailleurs j'ai poster un article sur le poste Belgique...ou ça parkle d'abonnement à 12 euro au lieux de 50 euro à partir du 1 juillet.
 
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je trouve ça un peu exagérer les taxis volants!^^
j'aimerai que se soit un peu plus vert mais il faut des solutions, les transports moins chère...

d'ailleurs j'ai poster un article sur le poste Belgique...ou ça parkle d'abonnement à 12 euro au lieux de 50 euro à partir du 1 juillet.

c’est seulement pour les moins de 25 and
 
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