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En 2035, il n’y aura plus de voitures diesel ni de voitures à essence à Bruxelles (ni dans plusieurs autres villes, d’ailleurs). Passage au piétonnier, réduction des places de parkings, taxe kilométrique… la voie royale de la voiture est bien congestionnée.
Hasard du calendrier, la semaine où Bruxelles détaille cette mesure, Paris fait voler son premier taxi volant. Le constructeur allemand Volocopter a effectué un premier vol de démonstration à l’aéroport du Bourget, pour donner une idée de ce qui volera dans le ciel lors des JO de Paris, en 2024, entre Paris et l’aéroport Roissy-CDG.
Bien sûr, il y a tout une série de questions à régler, outre la technologie en elle-même : la gestion de ce trafic aérien, la sécurité, l’infrastructure (où pourrait-il atterrir ?), le cadre juridique, etc. Mais, comme pour le transport de marchandises par drones, les taxis volants ne sont déjà plus tout à fait de la science-fiction.
Voilà pour rêver un peu, la tête en l’air. Mais il n’y a évidemment pas de solution miracle. “Il faut un panachage de différentes solutions. A Paris, on peut imaginer des bateaux électriques sur la Seine, ou des voiliers, continuons à rêver !” sourit Eric Cornélis, responsable du Groupe de Recherche sur les Transports à l’UNamur. "Mais toutes les solutions ne sont pas envisageables partout. On ne voit pas un téléphérique à Amsterdam, par exemple. ”
En 2035, il n’y aura plus de voitures diesel ni de voitures à essence à Bruxelles (ni dans plusieurs autres villes, d’ailleurs). Passage au piétonnier, réduction des places de parkings, taxe kilométrique… la voie royale de la voiture est bien congestionnée.
Hasard du calendrier, la semaine où Bruxelles détaille cette mesure, Paris fait voler son premier taxi volant. Le constructeur allemand Volocopter a effectué un premier vol de démonstration à l’aéroport du Bourget, pour donner une idée de ce qui volera dans le ciel lors des JO de Paris, en 2024, entre Paris et l’aéroport Roissy-CDG.
Le taxi volant dans dix ans ?
Est-ce là le transport du futur ? L’un d’entre eux, à tout le moins. “C’est tout à fait crédible d’imaginer aujourd’hui que dans une dizaine d’années on aura les premiers transports de personnes et de marchandise par des systèmes volants”, explique Pierre Duysinx, professeur au département d’aérospatiale et mécanique de l’ULiège dans le reportage ci-dessous (février 2021). Même si ce sera probablement réservé à certains publics cibles, comme des entreprises : “On parle de 2 à 3% des communications vers les aéroports et les gares”.Bien sûr, il y a tout une série de questions à régler, outre la technologie en elle-même : la gestion de ce trafic aérien, la sécurité, l’infrastructure (où pourrait-il atterrir ?), le cadre juridique, etc. Mais, comme pour le transport de marchandises par drones, les taxis volants ne sont déjà plus tout à fait de la science-fiction.
Le téléphérique
Toujours dans les airs, certaines villes misent sur le téléphérique urbain. C’est le cas en Île-de-France, par exemple, avec le projet baptisé “Câble A”, présenté comme une réponse aux difficultés de déplacements des habitants du Val-de-Marne (réseau de transports collectifs restreint, bus ralenti par les embouteillages, etc.). Il devrait permettre de desservir plus de 20.000 habitants et créer environ 6000 emplois. Autre exemple, beaucoup plus près de chez nous : le téléphérique de Namur.Voilà pour rêver un peu, la tête en l’air. Mais il n’y a évidemment pas de solution miracle. “Il faut un panachage de différentes solutions. A Paris, on peut imaginer des bateaux électriques sur la Seine, ou des voiliers, continuons à rêver !” sourit Eric Cornélis, responsable du Groupe de Recherche sur les Transports à l’UNamur. "Mais toutes les solutions ne sont pas envisageables partout. On ne voit pas un téléphérique à Amsterdam, par exemple. ”