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[QUOTE="paskemoi, post: 4885151, member: 178575"] Certains anesthésiants sont certainement moins nocifs que d’autres, mais, lorsqu’on en augmente la dose, tous peuvent causer des problèmes importants à ceux qui les utilisent à cette fin. Qu’il s’agisse d’un surcroît de travail, d’une attitude de zèle dans les sports ou dans la pratique d’un art, ou encore d’une propension à s’évader dans la lecture de romans à l’eau de rose, le résultat est le même: la personne se coupe des émotions de peine, de colère et même de joie qu’elle ne veut pas ressentir de peur de souffrir autant qu’elle a déjà souffert. Et pourtant, ce n’est qu’en faisant face à cette souffrance qu’on peut passer par-dessus et réussir à éprouver une certaine paix intérieure. Démasquer ses anesthésiants n’a pas pour objectif de supprimer toutes les activités que l’on aime pour ne se consacrer qu’à la souffrance. Il s’agit plutôt de déterminer si la décision de s’adonner à une activité est motivée par le besoin de s’étourdir et de se distraire de la souffrance, ou si elle est libre de toutes contraintes. Il peut s’avérer nécessaire, pour un certain temps, de supprimer la plupart des activités utilisées comme moyens d’apaisement de la souffrance afin d’effectuer le travail de nettoyage en profondeur. Mais cette interruption ne sera que temporaire. Lorsqu’on a surmonté le problème de la dépendance affective, on peut revenir, le cœur léger, à la pratique de tout ce qu’on aime. Le plaisir qu’on en retire alors est encore plus grand puisqu’il ne masque plus notre désarroi. Haut Mon frère Louis, qui aide maintenant beaucoup de personnes à cheminer en ce sens, a réussi à surmonter complètement son problème de dépendance en supprimant toute forme d’anesthésiant durant une période de neuf mois. Il est convaincu cependant qu’on peut arriver au même résultat en six mois. Mais, comme il le dit, il faut vraiment que toutes les énergies soient orientées vers ce but ultime de se libérer de la dépendance affective et que l’on soit prêt à ressentir, en cours de route, les souffrances les plus atroces qu’on avait l’habitude de fuir grâce aux anesthésiants. C’est le prix à payer pour être heureux et ne plus avoir d’attentes infantiles par rapport aux autres. Vous trouverez peut-être que six mois c’est long dans la vie d’une personne. Pourtant, les thérapies les moins longues, avec l’aide d’un thérapeute, durent toujours un minimum de deux ans, et certaines durent beaucoup plus longtemps. Bien sûr, les thérapies de soutien peuvent réussir à modifier un peu des comportements et à atténuer la souffrance, particulièrement lorsqu’on est dans le bureau du thérapeute. Le problème, cependant, c’est qu’elles peuvent aussi devenir une forme d’anesthésiant et qu’elles ne s’attaquent pas toujours aux carences profondes qui sont la source du problème. Les thérapeutes ont comme rôle de nous mettre en contact avec nos propres solutions et avec notre énergie individuelle, la seule qui puisse nous tirer une fois pour toutes de la souffrance et du malheur. Leur intervention peut donc être bénéfique, et même nécessaire dans certains cas. Par contre, si une personne comprend bien l’origine de son problème et qu’elle est prête à investir temps et énergie pour s’en sortir par elle-même, elle peut le faire très efficacement et plus rapidement qu’en ayant recours à un intermédiaire. >>> [/QUOTE]
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