Campagne électorale : violences, sabres et gourdins

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A trois jours du scrutin communal, certaines informations, en provenance de la région de Casablanca, font état de graves faits perpétrés durant la campagne électorale. Il y a lieu de signaler les «événements» de Sidi Rahal et de Médiouna, où des sbires des candidats du Parti authenticité et modernité se sont adonnés à des pratiques dignes de la «siba». Les agresseurs auraient usé, entre autres, de «sabres et de gourdins», brûlé une voiture et brisé les vitres de voitures, dont ceux d’une ambulance qui devait transporter des blessés parmi les victimes.

A Sidi Rahal (30 kilomètres de Casablanca), ce sont au moins une quarantaine de militants et sympathisants de l’USFP qui ont été blessés, lors d’affrontements avec une bande de nervis à la solde du candidat du parti de l’ancien ministre délégué à l’Intérieur. Dans la commune de Marchich (Médiouna), on déplore six blessés graves et une trentaine de blessures légères lors d’affrontements entre les «partisans» du parti du tracteur et des Istiqlaliens. Selon des sources dignes de foi, les bandes du PAM ont usé de jets de pierre et de gourdins et ont tenté d’empêcher une ambulance de transporter certains blessés, en brisant toutes les vitres de l’ambulance.

Tout a commencé quand les militants du Parti de l’Istiqlal ont organisé une manifestation de soutien à leur candidat dans la troisième circonscription. Ils ont été provoqués par les nervis du notable local, candidat du PAM, qui considère cette circonscription comme sa chasse gardée.
Le recours à des agresseurs potentiels semble présent dans la démarche du nouveau parti qui veut terroriser ses adversaires politiques, par les méthodes fascisantes héritées du passé.
La même attitude est rapportée, ici et là, par des organes de presse qui estiment que les nouvelles recrues du «nouvel homme fort», artisan du «tracteur» (plutôt le bulldozer), croient qu’ils bénéficient d’une couverture et leur donne le droit de faire leur loi.

Signalons que dans les deux cas des plaintes ont été déposées et l’espoir est que la justice rétablisse les victimes dans leurs droits et de ne pas éluder ces deux affaires dans une prétendue «violence réciproque».
 
A trois jours du scrutin communal, certaines informations, en provenance de la région de Casablanca, font état de graves faits perpétrés durant la campagne électorale. Il y a lieu de signaler les «événements» de Sidi Rahal et de Médiouna, où des sbires des candidats du Parti authenticité et modernité se sont adonnés à des pratiques dignes de la «siba». Les agresseurs auraient usé, entre autres, de «sabres et de gourdins», brûlé une voiture et brisé les vitres de voitures, dont ceux d’une ambulance qui devait transporter des blessés parmi les victimes.

A Sidi Rahal (30 kilomètres de Casablanca), ce sont au moins une quarantaine de militants et sympathisants de l’USFP qui ont été blessés, lors d’affrontements avec une bande de nervis à la solde du candidat du parti de l’ancien ministre délégué à l’Intérieur. Dans la commune de Marchich (Médiouna), on déplore six blessés graves et une trentaine de blessures légères lors d’affrontements entre les «partisans» du parti du tracteur et des Istiqlaliens. Selon des sources dignes de foi, les bandes du PAM ont usé de jets de pierre et de gourdins et ont tenté d’empêcher une ambulance de transporter certains blessés, en brisant toutes les vitres de l’ambulance.

Tout a commencé quand les militants du Parti de l’Istiqlal ont organisé une manifestation de soutien à leur candidat dans la troisième circonscription. Ils ont été provoqués par les nervis du notable local, candidat du PAM, qui considère cette circonscription comme sa chasse gardée.
Le recours à des agresseurs potentiels semble présent dans la démarche du nouveau parti qui veut terroriser ses adversaires politiques, par les méthodes fascisantes héritées du passé.
La même attitude est rapportée, ici et là, par des organes de presse qui estiment que les nouvelles recrues du «nouvel homme fort», artisan du «tracteur» (plutôt le bulldozer), croient qu’ils bénéficient d’une couverture et leur donne le droit de faire leur loi.

Signalons que dans les deux cas des plaintes ont été déposées et l’espoir est que la justice rétablisse les victimes dans leurs droits et de ne pas éluder ces deux affaires dans une prétendue «violence réciproque».

Comme par hasard, tous les articles de Albayane (journal du PPS en pleine guerre d'élection) critiquent à fond les autres partis pour favoriser le PPS...

Il fond l'éloge de leurs candidats dans le journal et présentent ça comme de l'information.

Je cite: "Aussi bien dans leur contact direct avec les citoyennes et les citoyens, que dans leur opération du porte-à-porte, les militants du PPS s’interdisent à recourir à la démagogie et aux promesses sans lendemain."

La grosse blague!

source: http://www.albayane.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=152715
 
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