salam
Campagne et contrôle de la sécurité routière dans la métropole : Quand sévir ne rime pas avec prévenir
Campagne et contrôle de la sécurité routière dans la métropole : Quand sévir ne rime pas avec prévenir
A tous les jours que Dieu fait, on constate, impuissant, la recrudescence des accidents de la route dans notre pays. Ce sont des milliers de victimes qui, chaque année, viennent alourdir le triste bilan de par son nombre des plus élevés au monde.
Hier, dans les environs du nord de Fès, à Tissa, nous rapporte la Gendarmerie Royale, ce sont six personnes qui ont trouvé la mort et deux autres qui ont été grièvement blessées quand un automobiliste à lentrée ouest de cette commue urbaine, ayant perdu le contrôle de son véhicule, a percuté de plein fouet une voiture stationnée dans le sens inverse et à bord de laquelle se trouvaient dix personnes dont plusieurs enfants. Deux dentre eux âgés de deux et trois ans, lont payé de leur vie.
En début de semaine, entre Nador et Saïdia, dans les environs de Settat, sur la route de Souk Larbaâ et Ouazzane, des dépêches faisaient état dune dizaine dautres victimes de ce fléau.
La liste est malheureusement longue et depuis le début du siècle, ce phénomène aux conséquences funestes ne cesse de saccentuer tournant au plus bas mot entre 3200 victimes tuées et au-delà de 4000 avec une augmentation constante dau moins 4% chaque année.
Le nombre de tués pour 100.000 habitants serait actuellement de quelque 13,5, bien plus que des guerres ou de graves maladies.
Outre laspect dramatique (vies et familles brisées), les accidents corporels de la route coûteraient au moins 14 milliards de dirhams par an à lEtat marocain.
http://www.libe.ma/Campagne-et-cont...d-sevir-ne-rime-pas-avec-prevenir_a28175.html
Campagne et contrôle de la sécurité routière dans la métropole : Quand sévir ne rime pas avec prévenir
Campagne et contrôle de la sécurité routière dans la métropole : Quand sévir ne rime pas avec prévenir
A tous les jours que Dieu fait, on constate, impuissant, la recrudescence des accidents de la route dans notre pays. Ce sont des milliers de victimes qui, chaque année, viennent alourdir le triste bilan de par son nombre des plus élevés au monde.
Hier, dans les environs du nord de Fès, à Tissa, nous rapporte la Gendarmerie Royale, ce sont six personnes qui ont trouvé la mort et deux autres qui ont été grièvement blessées quand un automobiliste à lentrée ouest de cette commue urbaine, ayant perdu le contrôle de son véhicule, a percuté de plein fouet une voiture stationnée dans le sens inverse et à bord de laquelle se trouvaient dix personnes dont plusieurs enfants. Deux dentre eux âgés de deux et trois ans, lont payé de leur vie.
En début de semaine, entre Nador et Saïdia, dans les environs de Settat, sur la route de Souk Larbaâ et Ouazzane, des dépêches faisaient état dune dizaine dautres victimes de ce fléau.
La liste est malheureusement longue et depuis le début du siècle, ce phénomène aux conséquences funestes ne cesse de saccentuer tournant au plus bas mot entre 3200 victimes tuées et au-delà de 4000 avec une augmentation constante dau moins 4% chaque année.
Le nombre de tués pour 100.000 habitants serait actuellement de quelque 13,5, bien plus que des guerres ou de graves maladies.
Outre laspect dramatique (vies et familles brisées), les accidents corporels de la route coûteraient au moins 14 milliards de dirhams par an à lEtat marocain.
http://www.libe.ma/Campagne-et-cont...d-sevir-ne-rime-pas-avec-prevenir_a28175.html