Ce samedi 30 juin, lEgypte se rend en bien mauvaise posture en République centrafricaine pour le match retour des éliminatoires à la CAN 2013. Les Pharaons ont été battus chez eux 3-2 au match aller et vont au devant dune rencontre très compliquée à Bangui , dont lissue sera forcément historique pour lun ou lautre pays.
Quoi quil arrive au stade de Bangui ce 30 juin où les Fauves du Bas-Oubangui attendent de pied ferme les glorieux Pharaons, les joueurs les plus titrés du continent africain, un tabou est déjà brisé au match aller le 16 juin dernier. Depuis la mise en place de la CAN, il y a presquun demi siècle, jamais lEgypte navait perdu un match à domicile dans le cadre de cette compétition. Que cette invincibilité ait été anéantie par lune des équipes qui na jamais mis le pied dans une phase finale de la CAN, et qui en plus a arraché sa victoire en jouant à dix, en ajoute au tragi-comique de la situation dans laquelle se sont mis les joueurs égyptiens et leur entraineur américain Bob Bradley. Celui-ci, peut-il priver l'Egypte de CAN pour la deuxième fois de suite?
« Léquipe est très motivée pour se rattraper à Bangui »
En effet, tous les regards sont tournés maintenant vers le sélectionneur de léquipe égyptienne en attente dune recette miracle quil pourra sortir du chapeau pour qualifier ses hommes. « Nous sommes très réalistes et conscients de la situation » concède lors de sa dernière conférence de presse avant le match, le technicien des Pharaons. L'Américain fait ses calculs : « nous risquons de passer à la trappe si nous ne gagnons pas par deux buts décart, autrement dit, inscrire trois buts à Bangui », préconise Bob Bradley. Un véritable défi, quand on pense que les Fauves du Bas-Oubangui seront survoltés pour ce match sur leurs terres où ils auront derrière eux tout un peuple pour défendre lacquis immense du match aller. Bob Bradley le sait. Et comme pour anticiper une éventuelle élimination, il se veut résolument optimiste non pas pour le match de ce samedi, mais pour lavenir des Pharaons : « je suis sûr que le futur de lEgypte est prometteur », assure-t-il en faisant au passage un hommage à son propre travail qui a permis selon lui détablir un équilibre entre la nouvelle génération et les anciens.
Quoi quil arrive au stade de Bangui ce 30 juin où les Fauves du Bas-Oubangui attendent de pied ferme les glorieux Pharaons, les joueurs les plus titrés du continent africain, un tabou est déjà brisé au match aller le 16 juin dernier. Depuis la mise en place de la CAN, il y a presquun demi siècle, jamais lEgypte navait perdu un match à domicile dans le cadre de cette compétition. Que cette invincibilité ait été anéantie par lune des équipes qui na jamais mis le pied dans une phase finale de la CAN, et qui en plus a arraché sa victoire en jouant à dix, en ajoute au tragi-comique de la situation dans laquelle se sont mis les joueurs égyptiens et leur entraineur américain Bob Bradley. Celui-ci, peut-il priver l'Egypte de CAN pour la deuxième fois de suite?
« Léquipe est très motivée pour se rattraper à Bangui »
En effet, tous les regards sont tournés maintenant vers le sélectionneur de léquipe égyptienne en attente dune recette miracle quil pourra sortir du chapeau pour qualifier ses hommes. « Nous sommes très réalistes et conscients de la situation » concède lors de sa dernière conférence de presse avant le match, le technicien des Pharaons. L'Américain fait ses calculs : « nous risquons de passer à la trappe si nous ne gagnons pas par deux buts décart, autrement dit, inscrire trois buts à Bangui », préconise Bob Bradley. Un véritable défi, quand on pense que les Fauves du Bas-Oubangui seront survoltés pour ce match sur leurs terres où ils auront derrière eux tout un peuple pour défendre lacquis immense du match aller. Bob Bradley le sait. Et comme pour anticiper une éventuelle élimination, il se veut résolument optimiste non pas pour le match de ce samedi, mais pour lavenir des Pharaons : « je suis sûr que le futur de lEgypte est prometteur », assure-t-il en faisant au passage un hommage à son propre travail qui a permis selon lui détablir un équilibre entre la nouvelle génération et les anciens.