La MAP est allée à la rencontre de ces Marocains établis dans la seule province officiellement bilingue du Canada. Quelque 2.000 MRE y ont élu domicile, la majorité dans le Grand Moncton, à Fredericton et à Saint John.
Leur arrivée au Nouveau-Brunswick remonte à la fin des années 1960 et au début des années 1970. Ils sont présents un peu partout dans les secteurs économiques, la fonction publique, l'enseignement, les banques et assurances, les organismes communautaires, le transport routier, les services, les centres d’appel, le sport et la musique. Sans oublier les entrepreneurs autonomes ainsi que l'importante communauté estudiantine.
"J’ai choisi la province du NB essentiellement pour découvrir et vivre l'expérience de la vie au Canada. C'est la raison pour laquelle je me suis inscrit à l'Université de Moncton pour faire mes études", confie à la MAP Mohamed Chekkouri, établi à Moncton depuis 20 ans.
S’il a admis avoir rencontré certaines difficultés au départ, Mohamed Chekkouri assure que l’hospitalité des habitants de la province lui a permis de se familiariser avec les exigences du pays d'accueil et de profiter des opportunités qui s'y présentent.
Après des années d'études, il a décidé de s'y installer définitivement. "Cela fait plus de 20 ans que je réside à Moncton et je ne regrette absolument pas mon choix", a-t-il fait observer.
Né à Safi, titulaire d’un Bachelor de l’Université de Moncton, il occupe les fonctions d’agent de liaison au sein de cette même université. Impliqué dans plusieurs projets communautaires, il a notamment participé et collaboré à l’organisation de missions dans le cadre de la coopération maroco-canadienne.
Le recrutement de la main-d'œuvre marocaine, les échanges d’expertises et la formation ont été au menu des divers programmes et échanges initiés conjointement entre la province et le Maroc.
Il a aussi pris part aux trois derniers sommets de la Francophonie, tenus en 2014 à Dakar, en 2016 à Antananarivo et en 2018 à Erevan.
"Nous collaborons aussi avec les trois piliers gouvernementaux, sur des projets qui touchent directement ou indirectement le quotidien de nos concitoyens, et pour faire la promotion des relations entre les autorités marocaines et néo-brunswickoises", a-t-il poursuivi.
Plusieurs membres de la communauté marocaine se sont installés dans la province après avoir suivi des programmes d’immigration, tels le programme d’immigration au Canada Atlantique.
Leur arrivée au Nouveau-Brunswick remonte à la fin des années 1960 et au début des années 1970. Ils sont présents un peu partout dans les secteurs économiques, la fonction publique, l'enseignement, les banques et assurances, les organismes communautaires, le transport routier, les services, les centres d’appel, le sport et la musique. Sans oublier les entrepreneurs autonomes ainsi que l'importante communauté estudiantine.
"J’ai choisi la province du NB essentiellement pour découvrir et vivre l'expérience de la vie au Canada. C'est la raison pour laquelle je me suis inscrit à l'Université de Moncton pour faire mes études", confie à la MAP Mohamed Chekkouri, établi à Moncton depuis 20 ans.
S’il a admis avoir rencontré certaines difficultés au départ, Mohamed Chekkouri assure que l’hospitalité des habitants de la province lui a permis de se familiariser avec les exigences du pays d'accueil et de profiter des opportunités qui s'y présentent.
Après des années d'études, il a décidé de s'y installer définitivement. "Cela fait plus de 20 ans que je réside à Moncton et je ne regrette absolument pas mon choix", a-t-il fait observer.
Né à Safi, titulaire d’un Bachelor de l’Université de Moncton, il occupe les fonctions d’agent de liaison au sein de cette même université. Impliqué dans plusieurs projets communautaires, il a notamment participé et collaboré à l’organisation de missions dans le cadre de la coopération maroco-canadienne.
Le recrutement de la main-d'œuvre marocaine, les échanges d’expertises et la formation ont été au menu des divers programmes et échanges initiés conjointement entre la province et le Maroc.
Il a aussi pris part aux trois derniers sommets de la Francophonie, tenus en 2014 à Dakar, en 2016 à Antananarivo et en 2018 à Erevan.
"Nous collaborons aussi avec les trois piliers gouvernementaux, sur des projets qui touchent directement ou indirectement le quotidien de nos concitoyens, et pour faire la promotion des relations entre les autorités marocaines et néo-brunswickoises", a-t-il poursuivi.
Plusieurs membres de la communauté marocaine se sont installés dans la province après avoir suivi des programmes d’immigration, tels le programme d’immigration au Canada Atlantique.