Depuis mardi 31 janvier, ces personnes de plus de 18 ans pourront avoir sur elles 2,5 mg de substances interdites, comme de l’héroïne, de la cocaïne ou des méthamphétamines. Un projet pilote de trois ans.
Désormais, les policiers n’auront plus le droit d’arrêter une personne qui a sur elle une petite quantité de drogue, pas plus qu’ils ne pourront saisir cette substance interdite. La Colombie-Britannique traite donc la consommation de drogues comme un problème de santé publique, plutôt que d’utiliser des armes judiciaires. Le but est simple : éviter que la personne ne se cache pour se droguer, et risque de faire une surdose. Les amis ou à la famille pourront ainsi intervenir plus rapidement en cas de danger, selon Sandhia Vadlamudy. Elle dirige l’Association des intervenants en dépendance du Québec.
Désormais, les policiers n’auront plus le droit d’arrêter une personne qui a sur elle une petite quantité de drogue, pas plus qu’ils ne pourront saisir cette substance interdite. La Colombie-Britannique traite donc la consommation de drogues comme un problème de santé publique, plutôt que d’utiliser des armes judiciaires. Le but est simple : éviter que la personne ne se cache pour se droguer, et risque de faire une surdose. Les amis ou à la famille pourront ainsi intervenir plus rapidement en cas de danger, selon Sandhia Vadlamudy. Elle dirige l’Association des intervenants en dépendance du Québec.
Canada: la province de Colombie-Britannique expérimente la dépénalisation des drogues dures
Six personnes meurent chaque jour d’une surdose de drogues en Colombie-Britannique, dans l’ouest du Canada. Depuis l’arrivée d’un produit très dangereux comme le Fentanyl, souvent utilisé pour couper…
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