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«Cest une arme séduisante, mais qui en est encore à ses balbutiements.» Le Dr Gugliemina, chirurgien spécialiste du sein à lhôpital américain de Neuilly (Hauts-de-Seine-France), fait partie des praticiens ayant participé aux essais cliniques dEchopulse, une technologie développée par Theraclion, qui vient dobtenir lautorisation de la commercialiser.
Echopulse est destinée aux patientes souffrant dun adénofibrome, la tumeur du sein la plus répandue (10 % des femmes sont susceptibles den développer un au cours de leur vie). Elle est bénigne et ne dégénère jamais en cancer.
Environ 50.000 adénofibromes sont diagnostiqués chaque année en France et certains nécessitent une opération.
Echopulse est basée sur léchothérapie, une technique qui consiste à envoyer des ultrasons de haute intensité (10 000 fois plus élevée que pour une échographie) sur la zone à traiter.
Le faisceau dultrasons provoque une augmentation de la température, qui entraîne la nécrose des tissus, sans porter atteinte aux tissus sains autour de la lésion. « En quelques mois, de manière progressive et régulière, le volume de la tumeur se réduit. A la fin, il nen reste quun reliquat », poursuit le Dr Gugliemina.
Autre avantage: lintervention ne nécessite pas danesthésie générale, elle se déroule en quelques heures à lhôpital et ne comporte aucun effet indésirable. La technique pourrait même être utilisée pour dautres pathologies, « traitables de manière non invasive », espère Jean-Yves Burel, président de Theraclion.
«Cest une arme séduisante, mais qui en est encore à ses balbutiements.» Le Dr Gugliemina, chirurgien spécialiste du sein à lhôpital américain de Neuilly (Hauts-de-Seine-France), fait partie des praticiens ayant participé aux essais cliniques dEchopulse, une technologie développée par Theraclion, qui vient dobtenir lautorisation de la commercialiser.
Echopulse est destinée aux patientes souffrant dun adénofibrome, la tumeur du sein la plus répandue (10 % des femmes sont susceptibles den développer un au cours de leur vie). Elle est bénigne et ne dégénère jamais en cancer.
Environ 50.000 adénofibromes sont diagnostiqués chaque année en France et certains nécessitent une opération.
Echopulse est basée sur léchothérapie, une technique qui consiste à envoyer des ultrasons de haute intensité (10 000 fois plus élevée que pour une échographie) sur la zone à traiter.
Le faisceau dultrasons provoque une augmentation de la température, qui entraîne la nécrose des tissus, sans porter atteinte aux tissus sains autour de la lésion. « En quelques mois, de manière progressive et régulière, le volume de la tumeur se réduit. A la fin, il nen reste quun reliquat », poursuit le Dr Gugliemina.
Autre avantage: lintervention ne nécessite pas danesthésie générale, elle se déroule en quelques heures à lhôpital et ne comporte aucun effet indésirable. La technique pourrait même être utilisée pour dautres pathologies, « traitables de manière non invasive », espère Jean-Yves Burel, président de Theraclion.
Libération
«Cest une arme séduisante, mais qui en est encore à ses balbutiements.» Le Dr Gugliemina, chirurgien spécialiste du sein à lhôpital américain de Neuilly (Hauts-de-Seine-France), fait partie des praticiens ayant participé aux essais cliniques dEchopulse, une technologie développée par Theraclion, qui vient dobtenir lautorisation de la commercialiser.
Echopulse est destinée aux patientes souffrant dun adénofibrome, la tumeur du sein la plus répandue (10 % des femmes sont susceptibles den développer un au cours de leur vie). Elle est bénigne et ne dégénère jamais en cancer.
Environ 50.000 adénofibromes sont diagnostiqués chaque année en France et certains nécessitent une opération.
Echopulse est basée sur léchothérapie, une technique qui consiste à envoyer des ultrasons de haute intensité (10 000 fois plus élevée que pour une échographie) sur la zone à traiter.
Le faisceau dultrasons provoque une augmentation de la température, qui entraîne la nécrose des tissus, sans porter atteinte aux tissus sains autour de la lésion. « En quelques mois, de manière progressive et régulière, le volume de la tumeur se réduit. A la fin, il nen reste quun reliquat », poursuit le Dr Gugliemina.
Autre avantage: lintervention ne nécessite pas danesthésie générale, elle se déroule en quelques heures à lhôpital et ne comporte aucun effet indésirable. La technique pourrait même être utilisée pour dautres pathologies, « traitables de manière non invasive », espère Jean-Yves Burel, président de Theraclion.
«Cest une arme séduisante, mais qui en est encore à ses balbutiements.» Le Dr Gugliemina, chirurgien spécialiste du sein à lhôpital américain de Neuilly (Hauts-de-Seine-France), fait partie des praticiens ayant participé aux essais cliniques dEchopulse, une technologie développée par Theraclion, qui vient dobtenir lautorisation de la commercialiser.
Echopulse est destinée aux patientes souffrant dun adénofibrome, la tumeur du sein la plus répandue (10 % des femmes sont susceptibles den développer un au cours de leur vie). Elle est bénigne et ne dégénère jamais en cancer.
Environ 50.000 adénofibromes sont diagnostiqués chaque année en France et certains nécessitent une opération.
Echopulse est basée sur léchothérapie, une technique qui consiste à envoyer des ultrasons de haute intensité (10 000 fois plus élevée que pour une échographie) sur la zone à traiter.
Le faisceau dultrasons provoque une augmentation de la température, qui entraîne la nécrose des tissus, sans porter atteinte aux tissus sains autour de la lésion. « En quelques mois, de manière progressive et régulière, le volume de la tumeur se réduit. A la fin, il nen reste quun reliquat », poursuit le Dr Gugliemina.
Autre avantage: lintervention ne nécessite pas danesthésie générale, elle se déroule en quelques heures à lhôpital et ne comporte aucun effet indésirable. La technique pourrait même être utilisée pour dautres pathologies, « traitables de manière non invasive », espère Jean-Yves Burel, président de Theraclion.
Libération