Amine
En mode pause
Un nouvel espoir face au cancer du sein: Avec 51 759 nouveaux cas cette année, le cancer du sein reste le plus fréquent chez les femmes. Un essai clinique est lancé en vue dun traitement très prometteur
IL FAUTMULTIPLIER les essais cliniques, a demandé hier le président de la République lors de la présentation du Iplan Cancer 2. A loccasion de linauguration aujourdhui des nouveaux locaux de lInstitut Gustave-Roussy (IGR) de Villejuif (Valde-Marne) après six ans de travaux, son directeur, le professeur Thomas Tursz, nous présente précisément Mindact, une vaste étude internationale sur le cancer du sein qui, avec 50 000 nouveaux cas et 11 000 décès par an, est le plus fréquent des cancers chez la femme. Cet essai, coordonné en France par lIGR, doit dire si le Mamma-Print, un test procédant à une analyse génétique de la tumeur, permet de prédire les risques de rechute et donc de mieux cibler le traitement en fonction de ce risque. Daprès un bilan détape, le MammaPrint que certains médecins français proposent déjà à leurs patientes, bien quil ne soit pas encore officiellement recommandé pourrait permettre déviter une chimiothérapie à 20 % des malades. Si ce chiffre est confirmé, ce test sera disponible pour toutes les femmes rapidement
IL FAUTMULTIPLIER les essais cliniques, a demandé hier le président de la République lors de la présentation du Iplan Cancer 2. A loccasion de linauguration aujourdhui des nouveaux locaux de lInstitut Gustave-Roussy (IGR) de Villejuif (Valde-Marne) après six ans de travaux, son directeur, le professeur Thomas Tursz, nous présente précisément Mindact, une vaste étude internationale sur le cancer du sein qui, avec 50 000 nouveaux cas et 11 000 décès par an, est le plus fréquent des cancers chez la femme. Cet essai, coordonné en France par lIGR, doit dire si le Mamma-Print, un test procédant à une analyse génétique de la tumeur, permet de prédire les risques de rechute et donc de mieux cibler le traitement en fonction de ce risque. Daprès un bilan détape, le MammaPrint que certains médecins français proposent déjà à leurs patientes, bien quil ne soit pas encore officiellement recommandé pourrait permettre déviter une chimiothérapie à 20 % des malades. Si ce chiffre est confirmé, ce test sera disponible pour toutes les femmes rapidement