«L'exploitation des carrières de sables provoque d'importants dégâts écologiques», a dit Najib Boulif.
«La non-conformité grandissante entre l'offre et la demande font perdre à l'Etat des recettes fiscales à grande échelle dans le secteur des carrières de sable», Najib Boulif.
Les carrières de sables pâtissent toujours d'une non-conformité grandissante entre l'offre et la demande ainsi que du secteur informel qui fait perdre à l'Etat des recettes fiscale à grande échelle, a relevé jeudi à Rabat, le ministre délégué auprès du ministre de l'Equipement, du Transport et de la Logistique, chargé du Transport, Najib Boulif.
«Les carrières de sables, qui constituent un produit vital pour les chantiers de construction pâtissent d'une non-conformité grandissante entre l'offre et la demande dans le secteur et d'une exploitation abusive de quantités largement supérieures aux volumes pour lesquels ils sont normalement autorisés»,
a souligné Boulif lors d'une journée d'information consacrée à l'Appel à manifestation d'intérêt (AMI) pour l'exploitation des carrières de sables.
Outre l'évasion fiscale, Boulif a fait savoir que l'exploitation des carrières de sables provoque d'importants dégâts écologiques, appelant, à cet effet, les investisseurs et les investisseurs potentiels à une exploitation plus rationnalisée à la lumière d'une grande demande qui émerge.De son côté, le directeur des Ports et du domaine public maritime, Moha Hamaoui, a fait savoir que les besoins du pays en sable qui sont toujours énormes passeront à plus de 38 millions de m3 à l'horizon 2025.
Il a, également, fait savoir que le secteur qui souffre à hauteur de 50% d'une activité non réglementée, requiert un accompagnement stratégique de la part de l'Etat en vue de hisser sa compétitivité tout en faisant face aux différents défis qui émergent.
Ont pris part à cette rencontre, des investisseurs, des investisseurs potentiels et des professionnels du secteur qui ont abordé un ensemble de points relatifs aux conditions d'exploitation des carrières de sables.
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«La non-conformité grandissante entre l'offre et la demande font perdre à l'Etat des recettes fiscales à grande échelle dans le secteur des carrières de sable», Najib Boulif.
Les carrières de sables pâtissent toujours d'une non-conformité grandissante entre l'offre et la demande ainsi que du secteur informel qui fait perdre à l'Etat des recettes fiscale à grande échelle, a relevé jeudi à Rabat, le ministre délégué auprès du ministre de l'Equipement, du Transport et de la Logistique, chargé du Transport, Najib Boulif.
«Les carrières de sables, qui constituent un produit vital pour les chantiers de construction pâtissent d'une non-conformité grandissante entre l'offre et la demande dans le secteur et d'une exploitation abusive de quantités largement supérieures aux volumes pour lesquels ils sont normalement autorisés»,
a souligné Boulif lors d'une journée d'information consacrée à l'Appel à manifestation d'intérêt (AMI) pour l'exploitation des carrières de sables.
Outre l'évasion fiscale, Boulif a fait savoir que l'exploitation des carrières de sables provoque d'importants dégâts écologiques, appelant, à cet effet, les investisseurs et les investisseurs potentiels à une exploitation plus rationnalisée à la lumière d'une grande demande qui émerge.De son côté, le directeur des Ports et du domaine public maritime, Moha Hamaoui, a fait savoir que les besoins du pays en sable qui sont toujours énormes passeront à plus de 38 millions de m3 à l'horizon 2025.
Il a, également, fait savoir que le secteur qui souffre à hauteur de 50% d'une activité non réglementée, requiert un accompagnement stratégique de la part de l'Etat en vue de hisser sa compétitivité tout en faisant face aux différents défis qui émergent.
Ont pris part à cette rencontre, des investisseurs, des investisseurs potentiels et des professionnels du secteur qui ont abordé un ensemble de points relatifs aux conditions d'exploitation des carrières de sables.
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