Le mois de ramadan est-il plus propice, en comparaison avec les autres mois de l'année pour succomber au vice du jeu, surtout quand cette nouvelle alternative aux jeux de cartes classiques s'appelle le casino, que de plus en plus de casablancais découvrent, la proximité aidant. Finies donc les longues et bruyantes soirées de touti, rami, poker et autres ronda.Ouvrons une parenthèse alarmiste à ce sujet sur la multiplication des tripots clandestins dans les villes connues pour être une concentration, un magma de fortunes d'origines douteuses. Des villas cossues et des appartements situés dans des quartiers huppés se voient vite transformés en salles de jeux par où transitent chaque soir et jusqu'à l'aube, des sommes considérables laissant des familles entières sur le carreau et provoquant des dégâts sociaux considérables.
Le must de nos jours c'est le casino de Mazagan qui ne désemplit plus du reste, tout le long de l'année, d'une clientèle hybride réunissant les milliardaires cantonnés dans un espace cosy , à l'abri des regards indiscrets, véritable antre des mises à 6 chiffres. Plus loin, nous retrouvons la piétaille, des joueurs lambdas, brassage d'amateurs occasionnels ou non qui viennent quotidiennement titiller jusqu'au "shour" (dernier repas avant la rupture du jeûne) , une dame chance infidèle, jamais ou rarement au rendez-vous.
Il faut dire que tout est bien pensé pour remplir les lieux et les caisses.de cet honorable complexe touristique.
Ces mêmes dégâts sont de plus en plus dramatiques en se déroulant devant les yeux de membres de familles désemparés qui maudissent le jour de l'ouverture du casino du Mazagan par son empereur du jeu, le sud-africain Sol Kerzner, qui ne fait pas dans le sentiment, qui ne culpabilise en aucun cas. Pour lui, l'argent des joueurs n'a pas d'odeur.
Le must de nos jours c'est le casino de Mazagan qui ne désemplit plus du reste, tout le long de l'année, d'une clientèle hybride réunissant les milliardaires cantonnés dans un espace cosy , à l'abri des regards indiscrets, véritable antre des mises à 6 chiffres. Plus loin, nous retrouvons la piétaille, des joueurs lambdas, brassage d'amateurs occasionnels ou non qui viennent quotidiennement titiller jusqu'au "shour" (dernier repas avant la rupture du jeûne) , une dame chance infidèle, jamais ou rarement au rendez-vous.
Il faut dire que tout est bien pensé pour remplir les lieux et les caisses.de cet honorable complexe touristique.
Ces mêmes dégâts sont de plus en plus dramatiques en se déroulant devant les yeux de membres de familles désemparés qui maudissent le jour de l'ouverture du casino du Mazagan par son empereur du jeu, le sud-africain Sol Kerzner, qui ne fait pas dans le sentiment, qui ne culpabilise en aucun cas. Pour lui, l'argent des joueurs n'a pas d'odeur.