Ce que pense michel onfray de l'islam

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Moche ou Bekheir hamdullah
CE QUE PENSE MICHEL ONFRAY DE L'ISLAM

(Michel Onfray est un philosophe français de gauche, auteur du best-seller "Traité d'Athéologie" aux éditions Grasset)

Même si nous ne souscrivons pas à tout ce qu’il écrit, ce qu’il pense de l’islam se passe de commentaires. Pour éviter les longueurs, et respecter les droits d'auteur, nous ne vous livrons que quelques morceaux choisis de cet intéressant ouvrage.

Extraits du traité d'athéologie, pages 239 à 256.



"Près de 250 versets – sur les 6235 du Livre (coran) – justifient et légitiment la guerre sainte, le djihad. Assez pour que se trouvent noyées les deux ou trois phrases qui invitent à la tolérance… Dans un tel océan de sang qui peut encore s’arrêter à [ces] deux ou trois phrases… D’autant que la biographie du prophète témoigne : on y trouve constamment le meurtre, le crime, l’épée et l’expédition punitive. […]

L'islam refuse par essence l'égalité métaphysique, ontologique, religieuse, donc politique. Le Coran l'enseigne : au sommet, les musulmans, en dessous, les chrétiens, parce que gens du Livre eux aussi, puis, à la suite, les juifs, également partie prenante du groupe, parce que monothéistes. Enfin, après le musulman, le chrétien et le juif, arrive en quatrième position, toutes catégories confondues dans la réprobation générale, le groupe des incroyants, infidèles, mécréants, polythéistes et, bien sûr, athées... La loi coranique qui interdit de tuer ou de commettre des délits ou des massacres sur son prochain concerne seulement de manière restrictive les membres de la communauté l’umma. […]

Au sein même de la communauté musulmane de prétendus semblables, la hiérarchie persiste : les hommes dominent les femmes, les religieux dominent les croyants, les fidèles pieux dominent les pratiquants tièdes, les vieux dominent les jeunes. Phallocratie, théocratie, gérontocratie, le modèle tribal et primitif des origines ne cesse pas depuis treize siècles. Il est fondamentalement incompatible avec les sociétés issues des Lumières. Le musulman n'est pas fraternel : frère du coreligionnaire, oui, mais pas des autres, tenus pour rien, quantités négligeables ou détestables.

[…] En lecteurs de Carl Schmidt qu'ils ne sont pas, les musulmans coupent le monde en deux : les amis, les ennemis. D'un côté, les frères en islam, de l'autre, les autres, tous les autres. Dâr al-islam contre dâr al-harb : deux univers irréductibles, incompatibles, régis par des relations sauvages et brutales : un prédateur une proie, un mangeur un mangé, un dominant un dominé. Comme dans la plus banale des jungles, les félins entre eux, et le reste du territoire à soumettre, asservir et posséder. La loi qui règle le rapport entre les animaux.

Une vision du monde pas bien éloignée de celle d'Hitler qui justifie les logiques de marquage, de possession, de gestion et d'extension du territoire. Le renard et le poulailler, le faucon et sa proie, le lion et la gazelle, les forts et les faibles, l'islam et les autres. Pas de droit, pas de loi, pas de langage, pas d'échange ou de communication, pas d'intelligence, pas de cerveau, mais des muscles, de l'instinct, de la force, du combat, de la guerre et du sang.

L'universel? Le local moins les murs - pour paraphraser Miguel Torga. Le tribal du viie siècle, le féodal du désert arabe, le clanique primitif transposé à chaque fois sans changement dans la civilisation du moment, y compris la nôtre, post-moderne, hyper-industrielle et numérique. Le village du désert devient le modèle du monde. L'oasis où rien ne pénètre depuis des siècles, sinon les caravanes nomades chargées de denrées de première nécessité, fonctionne comme archétype social, humain, métaphysique et politique.

Un livre datant des premières années de 630, hypothétiquement dicté à un gardeur de chameaux illettré, décide dans le détail du quotidien de milliards d'hommes à l'heure de la vitesse supersonique, de la conquête spatiale, de l'informatisation généralisée de la planète, du temps réel et universel des communications généralisées, du séquençage du génome humain, de l'énergie nucléaire, des premières heures du post-humain... […]

Toute action se vit sous le regard de la tribu qui la juge à l'aune de la conformité aux règles coraniques ou musulmanes. Le père, mais aussi, dans une logique phallocrate totale, le grand frère, le frère et autres variations sur le thème du mâle. […]

Dans la logique communautaire qui inclut et exclut, on sait trop peu que le signe distinctif jaune - un turban parfois – à porter sur son vêtement est d'abord une décision d'un calife de Bagdad au xie siècle – on parle habituellement d'âge d'or de l'islam pour caractériser cette période... – qui souhaitait distinguer le juif et le chrétien par un signe devenu très vite infamant.
 
Suite et fin

Les musulmans disposent d'un concept - la « dhimmitude » - pour nommer ce qu'ils présentent comme une charte de protection du non-musulman sur terre d'islam, pourvu que le sujet soit tout de même de la religion du Livre - avec dérogation pour le zoroastrisme. Théoriquement, l'islam passe pour une religion de paix et de tolérance. Dans les faits, la dhimmitude suppose un impôt, une taxe prélevée sur le juif, le chrétien ou le zoroastrien pour lui permettre de vivre sur une terre d'islam. Une rançon, donc, une extorsion de fonds.

Cette protection (!) acquise, les dhimmis voient leurs droits civiques réduits à pas grand-chose. Dans une société tribale où le cheval permet d'exister, de se déplacer, de combattre, de montrer son rang social, le non-musulman en est privé : on lui autorise l'âne, le mulet, la monture humiliante, mais chevauchée en amazone, la manière féminine de monter; il peut marcher dans la rue, mais il ne lui est pas permis de dépasser un musulman; bien sûr, le port d'arme est formellement interdit - autant dire que, désarmés, ils sont à la merci du premier bandit venu. Parfois même, outre le tissu jaune de sinistre mémoire, on leur tatoue un lion sur la main, comme d'autres un numéro sur l'avant-bras. […]

L'inscription de l'islam dans une histoire qui nie l'Histoire génère une société close, statique, fermée sur elle-même, fascinée par l'immobilité des morts. Comme jadis le marxisme prétendait réaliser l'Histoire en l'abolissant, lui vouait un culte quasi religieux pour mieux l'achever, la prétention musulmane à gouverner la planète vise, in fine, un agencement fixe, anhistorique, quittant la dynamique du réel et du monde pour la cristallisation hors du temps d'un univers pensé et conçu sur le mode de l'arrière-monde. Une société appliquant les principes du Coran donnerait un camp nomade universel bruissant de quelques tremblements de fond, juste le bruit des sphères qui tournent à vide sur elles-mêmes célébrant le néant, la vacuité et le non-sens de l'Histoire morte. […]

[…] D’où la pratique de la polygamie, les comportements misogynes, et phalocrates au quotidien, le déni de qualité existentielle à toute personne non musulmane, la justification de la mise à mort des infidèles – du monothéiste à l’athée –, le respect zélé des rituels et obligations du pratiquant, la condamnation de tout usage de la raison, etc.

[…] En revanche, rien n'interdit, tout l'autorise même, une lecture scrupuleuse à partir de laquelle se justifient toutes les exactions auxquelles invite le texte saint : personne n'est obligé d'être musulman, mais quand on se proclame tel, on doit adhérer à la théorie, aux enseignements et pratiquer en conséquence. Il en va du pur et simple principe de cohérence. La théocratie islamique illustre le maximum de cohérence possible sur ce sujet.

Car l'islam est structurellement archaïque : point par point, il contredit tout ce que la philosophie des Lumières a obtenu depuis le xviiie siècle en Europe et qui suppose la condamnation de la superstition, le refus de l'intolérance, l'abolition de la censure, le rejet de la tyrannie, l'opposition à l'absolutisme politique, la fin de toute religion d'Etat, la proscription de la pensée magique, l'élargissement de toute liberté de pensée et d'expression, la promulgation de l'égalité des droits, la considération que toute loi relève de l'immanence contractuelle, la volonté d'un bonheur social ici et maintenant, l'aspiration à l'universalité du règne de la raison. Autant de refus clairement signifiés à longueur de sourate... […]

Car tout est dans le Coran. Le lire permet de trouver toutes les réponses à toutes les questions possibles et imaginables. […] Le chef suprême dispose donc d'une source suprême, le texte saint, sa parole s'identifie à la loi et au droit. Tout ce qui définit habituellement le fascisme se retrouve dans la proposition théorique et la pratique du gouvernement islamique : […] le vitalisme de la vision du monde doublé d'une passion thanatophilique sans fond; la guerre expansionniste vécue comme preuve de la santé de la nation ; […] le régime de terreur policière; l'abolition de toute séparation entre sphère privée et domaine public ; la construction d'une société close ; […] la célébration des vertus guerrières - virilité, machisme, fraternité, camaraderie, discipline, misogynie; la destruction de toute résistance; la militarisation de la politique; la suppression de toute liberté individuelle; […] La théocratie brode toujours avec des variations sur ce thème... […]

Le xxie siècle s'ouvre sur la lutte sans merci. D'un côté un Occident judéo-chrétien libéral, […] De l'autre, un monde musulman pieux, zélé, brutal, intolérant, violent, impérieux et conquérant. […]"
 
le plus pire c'est qu'il ne sait même pas de quoi il parle, s'il connait l'histoire de l'islam il n'aurait jamais ecrit ça, a moins qu'il ne soit de mauvaise foi, comme les autres d'ailleurs.
 
C’est de la pur spéculation sans aucun fondement ni preuves..C’est plutôt un opinion qu’une analyse objective…

Je vous propose de l’inviter a un mosquée/une association et débattre avec lui ses propos sur L’Islam….Notre religion a toujours invite la réflexion et le débat des idées…
 
"Près de 250 versets – sur les 6235 du Livre (coran) – justifient et légitiment la guerre sainte, le djihad.
Le JIhad n'est pas la guerre sainte! Cette amalgame est prisé des islamophobe car il fait la relation entre le barbarisme des guerres papistes ou calvenistes (guerres saintes) et le jihad.

[…] En lecteurs de Carl Schmidt qu'ils ne sont pas, les musulmans coupent le monde en deux : les amis, les ennemis. ,
Faux!
Dans la logique communautaire qui inclut et exclut, on sait trop peu que le signe distinctif jaune - un turban parfois – à porter sur son vêtement est d'abord une décision d'un calife de Bagdad au xie siècle – on parle habituellement d'âge d'or de l'islam pour caractériser cette période... – qui souhaitait distinguer le juif et le chrétien par un signe devenu très vite infamant.
Les signe distinctifs permettent de mieux faire fonctionner la justice.
 
Les musulmans disposent d'un concept - la « dhimmitude » - pour nommer ce qu'ils présentent comme une charte de protection du non-musulman sur terre d'islam, pourvu que le sujet soit tout de même de la religion du Livre - avec dérogation pour le zoroastrisme. Théoriquement, l'islam passe pour une religion de paix et de tolérance. Dans les faits, la dhimmitude suppose un impôt, une taxe prélevée sur le juif, le chrétien ou le zoroastrien pour lui permettre de vivre sur une terre d'islam. Une rançon, donc, une extorsion de fonds.
Non juste un impot que tu paye toi emme d'ailleurs tous les ans!
[…] D’où la pratique de la polygamie, les comportements misogynes, et phalocrates au quotidien, le déni de qualité existentielle à toute personne non musulmane, la justification de la mise à mort des infidèles – du monothéiste à l’athée –, le respect zélé des rituels et obligations du pratiquant, la condamnation de tout usage de la raison, etc.
Du blabla diabolisant!Ce mec n'a rien a dire il veut juuste revenir a la télé!!!!
, il contredit tout ce que la philosophie des Lumières a obtenu depuis le xviiie siècle en Europe .
ça c'est vrais!!!

Car tout est dans le Coran. Le lire permet de trouver toutes les réponses à toutes les questions possibles et imaginables.
Encore vrais!!!

Le xxie siècle s'ouvre sur la lutte sans merci. D'un côté un Occident judéo-chrétien libéral, […] De l'autre, un monde musulman pieux, zélé, brutal, intolérant, violent, impérieux et conquérant. […]"

Il aurait due juste ecrire cela, car tout sont blabla neocons tendait a nous pousser a cette conclusion.
Les mondialistes ont diffusé un concept dans tous les medias, "le judeo-christianisme" qui n'existe que par opposition aux musulmans qui defendent ce qu'ils sont.Car le judaisme (qui pense que jesus est un sorcier) n'a rien a voir avec le christianisme qui n'a rien avoir avec les lumieres que ce malheureux defend, l'eglise a combatu les franc mac (dont faisait partie Voltaire entre autre) qui ont eu raison d'elle 1789 en France.
Pove tache!
 
le judeo christianisme a remplacé la civilisation greco latine qui a fait ch.. si longtemps...
le conflit de civilisation a changé.et il fallait bien integrer israel comme allié de choix.
 
Pourriez-vous argumenter quant à ce qu'écrit et pense Michel Onfray au sujet de l'islam ?

Par ailleurs pourquoi vous focalisez-vous sur sa perception de l'islam et ne citez pas tout ce qu'il écrit sur le monothéisme spécifiquement et les idéologies à prétention religieuse d'autre part ?

Onfray est dans la lignée ( nonobstant des détails, même sérieux ) de l'esprit de Spinoza ( et de quelques autres ) auquel serait attribué une forme de paternité quant à l'ouvrage : "Traité des trois imposteurs : Moïse, Jésus, Mahomet" Editions Max Milo, Paris 2002, 14€.

Puissiez-vous accepter de sortir d'un cadre de référence uniquement hérité pour aller gambader dans d'autres prairies où l'herbe est, pour le moins, aussi verte et nutritive.

Puissiez-vous être.
 
le judeo christianisme a remplacé la civilisation greco latine qui a fait ch.. si longtemps...
le conflit de civilisation a changé.et il fallait bien integrer israel comme allié de choix.

Il n y a pas de civilisation judeo-chretienne rien ne raproche les cathos de juifs,c'est derniers pensent que le jesus de Rome est un sorcier a lors que eux le prennent pour dieu.Les cathos ont tjr pensé que les juifs sont le peuple deiste!!!
 
Pourriez-vous argumenter quant à ce qu'écrit et pense Michel Onfray au sujet de l'islam ?

Par ailleurs pourquoi vous focalisez-vous sur sa perception de l'islam et ne citez pas tout ce qu'il écrit sur le monothéisme spécifiquement et les idéologies à prétention religieuse d'autre part ?

Onfray est dans la lignée ( nonobstant des détails, même sérieux ) de l'esprit de Spinoza ( et de quelques autres ) auquel serait attribué une forme de paternité quant à l'ouvrage : "Traité des trois imposteurs : Moïse, Jésus, Mahomet" Editions Max Milo, Paris 2002, 14€.

Puissiez-vous accepter de sortir d'un cadre de référence uniquement hérité pour aller gambader dans d'autres prairies où l'herbe est, pour le moins, aussi verte et nutritive.

Puissiez-vous être.


Si t'as des contre arguments, lache toi.
 
Rien que "l'islam refuse par essence l'égalité métaphysique, ontologique, religieuse" discrédite la totalité des propos. Cette phrase ne veut strictement rien dire. Monsieur Michel Onfray est un ***.
 
CE QUE PENSE MICHEL ONFRAY DE L'ISLAM

(Michel Onfray est un philosophe français de gauche, auteur du best-seller "Traité d'Athéologie" aux éditions Grasset)

Même si nous ne souscrivons pas à tout ce qu’il écrit, ce qu’il pense de l’islam se passe de commentaires. Pour éviter les longueurs, et respecter les droits d'auteur, nous ne vous livrons que quelques morceaux choisis de cet intéressant ouvrage.

Extraits du traité d'athéologie, pages 239 à 256.



"Près de 250 versets – sur les 6235 du Livre (coran) – justifient et légitiment la guerre sainte, le djihad. Assez pour que se trouvent noyées les deux ou trois phrases qui invitent à la tolérance… Dans un tel océan de sang qui peut encore s’arrêter à [ces] deux ou trois phrases… D’autant que la biographie du prophète témoigne : on y trouve constamment le meurtre, le crime, l’épée et l’expédition punitive. […]

L'islam refuse par essence l'égalité métaphysique, ontologique, religieuse, donc politique. Le Coran l'enseigne : au sommet, les musulmans, en dessous, les chrétiens, parce que gens du Livre eux aussi, puis, à la suite, les juifs, également partie prenante du groupe, parce que monothéistes. Enfin, après le musulman, le chrétien et le juif, arrive en quatrième position, toutes catégories confondues dans la réprobation générale, le groupe des incroyants, infidèles, mécréants, polythéistes et, bien sûr, athées... La loi coranique qui interdit de tuer ou de commettre des délits ou des massacres sur son prochain concerne seulement de manière restrictive les membres de la communauté l’umma. […]

Au sein même de la communauté musulmane de prétendus semblables, la hiérarchie persiste : les hommes dominent les femmes, les religieux dominent les croyants, les fidèles pieux dominent les pratiquants tièdes, les vieux dominent les jeunes. Phallocratie, théocratie, gérontocratie, le modèle tribal et primitif des origines ne cesse pas depuis treize siècles. I

je n'ai lu que ce passage
c'est trop gerbant cette accumulation de steretotypes ! et ce n'est que ça, un ensemble de cliché mis bout à bout .... et il commence en parlant de nombre de verset et en faisant un rapport, pour legitimer son disours du style "oui je sis de quoi je parle" alors qu'il est à côté de la plaque !
la phrase en gras le demontre, c'est un gros mensonge !

un de plus .. un de moins ... (d'islamophobe je paprle)
 
Pourriez-vous argumenter quant à ce qu'écrit et pense Michel Onfray au sujet de l'islam ?

Par ailleurs pourquoi vous focalisez-vous sur sa perception de l'islam et ne citez pas tout ce qu'il écrit sur le monothéisme spécifiquement et les idéologies à prétention religieuse d'autre part ?

Onfray est dans la lignée ( nonobstant des détails, même sérieux ) de l'esprit de Spinoza ( et de quelques autres ) auquel serait attribué une forme de paternité quant à l'ouvrage : "Traité des trois imposteurs : Moïse, Jésus, Mahomet" Editions Max Milo, Paris 2002, 14€.

Puissiez-vous accepter de sortir d'un cadre de référence uniquement hérité pour aller gambader dans d'autres prairies où l'herbe est, pour le moins, aussi verte et nutritive.

Puissiez-vous être.

Le sujet, c'est ce qu'Onfray dit de l'islam, pas ce qu'il dit du monothéisme en général ou des monothéismes particuliers. Rien ne t'empêche d'ouvrir un post sur ce qu'il dit de ces derniers, puisque tu sembles l'apprécier.

L'islam est ce qu'en font les musulmans, à toute époque. Onfray en est resté au siècle 7. C'est un retardataire, pire qu'un réactionnaire. Il ne saurait, quoiqu'il en prétende, être dans la lignée de Spinoza.
 
Michel Onfray est aussi radical dans ses prises de positions sur les autres religions et même sur le libéralisme et le capitalisme
C’est un avis comme un autre , il faut l’entendre
 
Michel Onfray est aussi radical dans ses prises de positions sur les autres religions et même sur le libéralisme et le capitalisme
C’est un avis comme un autre , il faut l’entendre

Toute sa radicalité consiste à tenir la pensée antique non monothéiste pour supérieure à tout autre. Ne serait-ce pas là le refus d'égalité qu'il fustige dans l'islam ? Et un refus de l'histoire ?
 
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