Il était une fois une famille de mouches qui faisait bzzz…
Elles me réveillèrent.
Je décidais de me lever, de m’en approcher et d’entretenir avec la plus grosse d’entre elles un dialogue :
Ô mouche… ton chant m’est désagréable… et tu m’arraches à un sommeil délicieux… pourrais-tu, je t’en conjure, cesser !
bzzz foummouk, répondit-elle…
Quoi ?!
Bzzz foummouk et bzzz!..., tout en s’en allant dans un autre coin de la pièce.
Le problème avec les mouches, et les mouches à me:rde de surcroît, c’est qu’elles sont réfractaires au dialogue. Elles s’installent dans votre vie et ne vous laissent jamais le droit à l’excuse. Je le savais bien mais j’osais croire que pour une fois une seule, ces mouches, qui avaient osé poser pied dans mon lieu de vie, sans autorisation au préalable, allaient déroger à cette règle. Mais ce n’était point le cas…
De loin elles me narguaient. Elles virevoltaient dans tous les coins de la pièce pour chercher refuge car je prie ma claquette et décidai de mettre fin à leur vie une bonne fois pour toute. Cependant elles étaient agiles et sournoises. Elles savaient faire entendre leurs voix tout en se cachant: bzzz... bzzz. bzzz...!
Elles faisaient des apparitions puis disparaissaient - comme toutes bonnes mouches qui se respectent…
Je décidai alors de sortir mon arme la plus puissante, mon spray anti-mouches, et de badigeonner ces cruelles ennemies jusqu’à ce qu’il n’en reste plus traces…
Dans mon élan d’exaltation je vidai le spray sur ces profanatrices de sommeil et plus je les badigeonnais plus elles bzozotaient dans leur délire jusqu’à ce qu’elles finissent par toutes tomber et languir sur le sol, sans vie. J’avais gagné !
Cependant, ce qui avait été mon arme la plus précieuse pour mettre fin à leur existence minable, m’avait affecté aussi… la concentration de spray dans la pièce m’avait intoxiqué… et moi aussi je tombais sur le sol… inanimé… comme une mouche…
Car comme le dit si bien le proverbe: Qui vivra par l'épée périra par l'épée
Elles me réveillèrent.
Je décidais de me lever, de m’en approcher et d’entretenir avec la plus grosse d’entre elles un dialogue :
Ô mouche… ton chant m’est désagréable… et tu m’arraches à un sommeil délicieux… pourrais-tu, je t’en conjure, cesser !
bzzz foummouk, répondit-elle…
Quoi ?!
Bzzz foummouk et bzzz!..., tout en s’en allant dans un autre coin de la pièce.
Le problème avec les mouches, et les mouches à me:rde de surcroît, c’est qu’elles sont réfractaires au dialogue. Elles s’installent dans votre vie et ne vous laissent jamais le droit à l’excuse. Je le savais bien mais j’osais croire que pour une fois une seule, ces mouches, qui avaient osé poser pied dans mon lieu de vie, sans autorisation au préalable, allaient déroger à cette règle. Mais ce n’était point le cas…
De loin elles me narguaient. Elles virevoltaient dans tous les coins de la pièce pour chercher refuge car je prie ma claquette et décidai de mettre fin à leur vie une bonne fois pour toute. Cependant elles étaient agiles et sournoises. Elles savaient faire entendre leurs voix tout en se cachant: bzzz... bzzz. bzzz...!
Elles faisaient des apparitions puis disparaissaient - comme toutes bonnes mouches qui se respectent…
Je décidai alors de sortir mon arme la plus puissante, mon spray anti-mouches, et de badigeonner ces cruelles ennemies jusqu’à ce qu’il n’en reste plus traces…
Dans mon élan d’exaltation je vidai le spray sur ces profanatrices de sommeil et plus je les badigeonnais plus elles bzozotaient dans leur délire jusqu’à ce qu’elles finissent par toutes tomber et languir sur le sol, sans vie. J’avais gagné !
Cependant, ce qui avait été mon arme la plus précieuse pour mettre fin à leur existence minable, m’avait affecté aussi… la concentration de spray dans la pièce m’avait intoxiqué… et moi aussi je tombais sur le sol… inanimé… comme une mouche…
Car comme le dit si bien le proverbe: Qui vivra par l'épée périra par l'épée
