salam
Plusieurs espèces animales sont connues pour être capables de parthénogenèse, notamment les insectes tels que les abeilles (les mâles proviennent dufs non fécondés) ou les pucerons. Toutefois, cette reproduction asexuée impliquant que lassociation dun mâle et dune femelle n'est pas indispensable à la procréation, est beaucoup plus rare chez les vertébrés.
Mais elle a pu être recensée chez plusieurs dizaines de reptiles, d'amphibiens et de poissons et ce, pour une bonne raison. En effet, ces espèces sont "unisexe" doù une "parthénogenèse obligatoire". C'est ainsi notamment le cas d'une quinzaine d'espèces de lézards "à queue de fouet" (genre Cnemidophorus) du continent américain, dont tous les individus sans exception sont femelles.
Néanmoins, des chercheurs ont découvert plus étonnant encore, en dénichant des espèces de vertébrés comptant des mâles et des femelles capables de s'accoupler mais qui pouvaient aussi occasionnellement se reproduire de manière asexuée. Or, on pensait que ces cas de "parthénogenèse facultative" observés et décrits depuis le début du XIXe siècle chez des poulets domestiques étaient limités aux seuls oiseaux domestiqués.
http://www.libe.ma/Certains-serpents-sauvages-peuvent-se-reproduire-sans-male_a30763.html
Plusieurs espèces animales sont connues pour être capables de parthénogenèse, notamment les insectes tels que les abeilles (les mâles proviennent dufs non fécondés) ou les pucerons. Toutefois, cette reproduction asexuée impliquant que lassociation dun mâle et dune femelle n'est pas indispensable à la procréation, est beaucoup plus rare chez les vertébrés.
Mais elle a pu être recensée chez plusieurs dizaines de reptiles, d'amphibiens et de poissons et ce, pour une bonne raison. En effet, ces espèces sont "unisexe" doù une "parthénogenèse obligatoire". C'est ainsi notamment le cas d'une quinzaine d'espèces de lézards "à queue de fouet" (genre Cnemidophorus) du continent américain, dont tous les individus sans exception sont femelles.
Néanmoins, des chercheurs ont découvert plus étonnant encore, en dénichant des espèces de vertébrés comptant des mâles et des femelles capables de s'accoupler mais qui pouvaient aussi occasionnellement se reproduire de manière asexuée. Or, on pensait que ces cas de "parthénogenèse facultative" observés et décrits depuis le début du XIXe siècle chez des poulets domestiques étaient limités aux seuls oiseaux domestiqués.
http://www.libe.ma/Certains-serpents-sauvages-peuvent-se-reproduire-sans-male_a30763.html