Ces scandales sexuels qui ébranlent la politique

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Casablanca d'antan
VIB
Gary Hart -
Grand espoir du parti démocrate américain, il annonce officiellement en mai 1987 sa candidature à la Maison-Blanche. Mais quand le Miami Herald révèle qu'il a passé une nuit en compagnie d'un jeune mannequin, à l'insu de sa femme, il commence par nier, puis déclare que la vie privée des hommes politiques ne regarde personne. Le scandale est toutefois tel qu'il retire sa candidature et, quand il revient dans la course sept mois plus tard, il finit bon dernier des sept candidats démocrates


http://www.lepoint.fr/politique/ces...anlent-la-politique-15-05-2011-1330943_20.php
 
Les politiques, les États-Unis et le sexe

C'est la désintégration politique la plus rapide de l'histoire. Le 9 février 2011, le site de ragots Gawker révèle que Chris Lee, un représentant républicain de New York, a répondu à une petite annonce coquine sur le site internet Craigslist. Il prétend qu'il est un lobbyiste de 39 ans divorcé. Mais cet idiot garde son nom et son adresse e-mail pour envoyer une photo de lui torse nu à la demoiselle. Qui s'empresse de le googliser. Elle découvre alors que le monsieur est en fait un père de famille honorable de 46 ans et ne tarde pas à en faire profiter Gawker. Dans la même journée Chris Lee annonce sa démission.

L'Amérique a la réputation de ne pas être tendre avec ses hommes politiques pris en flagrant délit d'incartade sexuelle. En Europe, un chancelier allemand peut avoir été marié quatre fois, un Premier ministre italien avoir des "bunga bunga parties" ou un président français un enfant adultérin, cela ne semble pas gêner l'opinion publique. "Les Français sont connus pour leur nonchalance légendaire à l'égard de l'appétit sexuel de leurs hommes politiques et ils ont fait la grimace lorsque les Américains ont désapprouvé Bill Clinton (...). Mais on doute que même les Français puissent rester blasés devant l'agression sexuelle d'une femme de chambre", se moque un éditorialiste du Wall Street Journal à propos de l'affaire DSK. Le New York Times estime lui que si les turpitudes des hommes politiques ne sont pas mises sur la place publique en France, c'est que les Français aiment l'adage : "Pour vivre heureux vivons caché." Et si elle est dévoilée, continue le journaliste, une affaire de moeurs ne vous coûte pas votre siège électoral. "Traditionnellement, un homme politique qui révèle ses prouesses sexuelles prouve sa vigueur" (sic). Accessoirement, ajoute la journaliste, les lois sur la vie privée sont beaucoup plus restrictives, ce qui limite le journalisme d'investigation à l'américaine.

http://www.lepoint.fr/monde/les-politiques-les-etats-unis-et-le-sexe-18-05-2011-1331948_24.php
 
Les politiques, les États-Unis et le sexe

C'est la désintégration politique la plus rapide de l'histoire. Le 9 février 2011, le site de ragots Gawker révèle que Chris Lee, un représentant républicain de New York, a répondu à une petite annonce coquine sur le site internet Craigslist. Il prétend qu'il est un lobbyiste de 39 ans divorcé. Mais cet idiot garde son nom et son adresse e-mail pour envoyer une photo de lui torse nu à la demoiselle. Qui s'empresse de le googliser. Elle découvre alors que le monsieur est en fait un père de famille honorable de 46 ans et ne tarde pas à en faire profiter Gawker. Dans la même journée Chris Lee annonce sa démission.

L'Amérique a la réputation de ne pas être tendre avec ses hommes politiques pris en flagrant délit d'incartade sexuelle. En Europe, un chancelier allemand peut avoir été marié quatre fois, un Premier ministre italien avoir des "bunga bunga parties" ou un président français un enfant adultérin, cela ne semble pas gêner l'opinion publique. "Les Français sont connus pour leur nonchalance légendaire à l'égard de l'appétit sexuel de leurs hommes politiques et ils ont fait la grimace lorsque les Américains ont désapprouvé Bill Clinton (...). Mais on doute que même les Français puissent rester blasés devant l'agression sexuelle d'une femme de chambre", se moque un éditorialiste du Wall Street Journal à propos de l'affaire DSK. Le New York Times estime lui que si les turpitudes des hommes politiques ne sont pas mises sur la place publique en France, c'est que les Français aiment l'adage : "Pour vivre heureux vivons caché." Et si elle est dévoilée, continue le journaliste, une affaire de moeurs ne vous coûte pas votre siège électoral. "Traditionnellement, un homme politique qui révèle ses prouesses sexuelles prouve sa vigueur" (sic). Accessoirement, ajoute la journaliste, les lois sur la vie privée sont beaucoup plus restrictives, ce qui limite le journalisme d'investigation à l'américaine.

http://www.lepoint.fr/monde/les-politiques-les-etats-unis-et-le-sexe-18-05-2011-1331948_24.php

la politique d'aujourd'hui me laisse amère !
Assez en manque tout sa, je comprend qu'a la première venue sa part en sucette.

La transparence de la politique fait plus que défaut
 
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