boptitprince
je ne suis qu'un prince..
A votre avis? selon les éléments qui ont été mis en avant, les indices qui ont été énoncés est ce que il est coupable? pas coupable? si oui pourquoi, si non pourquoi?
Jason: le père pas arrêté(01/04/2009)
© EPA
De Tunis, Issam Mareghni clame son innocence. La justice belge n'a pas dit son dernier mot
TUNIS Le week-end dernier, nous avons fait état d'une information lancée par le groupe Sud presse, indiquant que le papa de Jason, Issam Mareghni, avait été arrêté et croupissait dans une prison tunisienne.
Une information pour le moins erronée, puisque le père de l'enfant martyr est non seulement libre, mais donne des interviews à qui veut l'entendre. Ainsi, le papa du petit Jason n'a rien fait... ou presque.
En gros, l'homme qui a fui la Belgique après avoir enterré son enfant dans les bois liégeois est blanc comme neige. Selon lui, Jason est en effet tombé d'un escalier en jouant sur une plaine de jeux. Il ne s'est pas plaint et a continué à jouer. Le soir venu, Jason a failli se brûler en s'approchant d'un feu ouvert.
Pour le protéger, et uniquement pour cela, il lui a lancé sa chaussure qui a touché l'enfant, précisément là où il était tombé à la plaine de jeux... Jason s'est alors mis au lit, pour être retrouvé mort le lendemain, entouré de vomissures.
Et là, le père innocent a pris des photos, et ce, avant de placer son enfant dans un sac à dos, de l'enterrer à la sauvette et de prendre un aller simple pour Tunis. C'est que M. Mareghni a plus confiance en la justice de Tunisie qu'en la justice belge.
Toujours est-il que cette justice belge va, immanquablement, le rattraper. Comme nous l'indiquions, Mareghni s'est certes livré à la police mais a été laissé en liberté, après audition.
Une attitude tunisienne normale puisque le mandat d'arrêt lancé à l'encontre de papa de Jason ne traitait pas du fond de l'affaire. Maintenant que l'on sait où Mareghni se trouve, le dossier va être transmis aux autorités tunisiennes, via la valise diplomatique, et Mareghni devra rendre des comptes.
Entre-temps, il sera peut-être revenu en Belgique pour, dit-il, s'expliquer. Si c'est le cas, on l'attend de pied ferme.
Jean-Michel Crespin
© La Dernière Heure 2009
Jason: le père pas arrêté(01/04/2009)
© EPA
De Tunis, Issam Mareghni clame son innocence. La justice belge n'a pas dit son dernier mot
TUNIS Le week-end dernier, nous avons fait état d'une information lancée par le groupe Sud presse, indiquant que le papa de Jason, Issam Mareghni, avait été arrêté et croupissait dans une prison tunisienne.
Une information pour le moins erronée, puisque le père de l'enfant martyr est non seulement libre, mais donne des interviews à qui veut l'entendre. Ainsi, le papa du petit Jason n'a rien fait... ou presque.
En gros, l'homme qui a fui la Belgique après avoir enterré son enfant dans les bois liégeois est blanc comme neige. Selon lui, Jason est en effet tombé d'un escalier en jouant sur une plaine de jeux. Il ne s'est pas plaint et a continué à jouer. Le soir venu, Jason a failli se brûler en s'approchant d'un feu ouvert.
Pour le protéger, et uniquement pour cela, il lui a lancé sa chaussure qui a touché l'enfant, précisément là où il était tombé à la plaine de jeux... Jason s'est alors mis au lit, pour être retrouvé mort le lendemain, entouré de vomissures.
Et là, le père innocent a pris des photos, et ce, avant de placer son enfant dans un sac à dos, de l'enterrer à la sauvette et de prendre un aller simple pour Tunis. C'est que M. Mareghni a plus confiance en la justice de Tunisie qu'en la justice belge.
Toujours est-il que cette justice belge va, immanquablement, le rattraper. Comme nous l'indiquions, Mareghni s'est certes livré à la police mais a été laissé en liberté, après audition.
Une attitude tunisienne normale puisque le mandat d'arrêt lancé à l'encontre de papa de Jason ne traitait pas du fond de l'affaire. Maintenant que l'on sait où Mareghni se trouve, le dossier va être transmis aux autorités tunisiennes, via la valise diplomatique, et Mareghni devra rendre des comptes.
Entre-temps, il sera peut-être revenu en Belgique pour, dit-il, s'expliquer. Si c'est le cas, on l'attend de pied ferme.
Jean-Michel Crespin
© La Dernière Heure 2009