suzaan
Lamiaa
Il est permis aux femmes de porter de lor circulaire ainsi que les autres [types dor], et cela sur la base de la signification générale de la parole dAllâh - Taâla :
« Quoi ! Cet être (la fille) élevé au milieu des parures et qui, dans la dispute, est incapable de se défendre par une argumentation claire et convaincante ? »
[1]
Allâh mentionne que les parures est une des particularités des femmes, et ceci inclut lor et autres que cela. Et de ce que ce qui a été rapporté par Ahmad, Abû Dâwoud et Al-Nassâ-î avec une bonne chaîne de transmission, daprès Amîr al-Mouminîn Alî Ibn Abî Tâlib (radhiallâhu anhu) que le Prophète (sallallahu alayhi wa sallam) a prit de la soie dans sa main droite et de lor dans sa main gauche et a dit : « Ces deux [lor et la soie] sont interdit pour les hommes de ma Communauté. »Ibn Mâdjah a ajouté dans son récit : « Et permis pour les femmes. » Il a été rapporté par Ahmad, An-Nassâ-î et Al-Tirmidhî qui la authentifié, et par Abû Dâwoud, Al-Hâkim qui la authentifié, par At-Tabarânî, authentifié par Ibn Hazm daprès Abû Mûssa al-Acharî (radhiallâhu anhu) que le Prophète (sallallahu alayhi wa sallam) a dit : « Lor et la soie ont été autorisés pour les femmes de ma Communauté et interdits pour les hommes. »Il a été [ce hadîth] critiqué pour son interruption [au niveau de sa chaîne de transmission] entre Saîd Ibn Abî Hind et Abî Mûssa, mais il ny a aucune preuve fiable pour cela. Nous avons mentionné plus haut ceux qui lont authentifié. Si même nous supposons que la critique mentionnée est valide, ce récit est encore soutenu par dautres traditions authentiques, ainsi que le principe de base bien connu parmi les imâms du hadîth. Cela est le point de vue des savants anciens. Plus dun parmi eux ont relaté quil y avait consensus sur la permission du port de lor pour les femmes. Nous mentionnerons les points de vues de certains parmi eux afin de rendre la chose plus claire.
Al-Djassâs a dit dans son « Tafsîr vol-3/388 » sur la parole concernant lor :
« Les rapports [liés aux traditions du Prophète] informent de la permission [du port de lor] pour les femmes daprès le Prophète (sallallahu alayhi wa sallam) et ses Compagnons, ce qui est plus clair et bien plus connu que les rapports qui suggèrent que cela ne soit pas permis. Lévidence du verset [le verset cité plus haut] indique également que cela est permis pour les femmes. La pratique des femmes portant des bijoux a été répandue dès lépoque du Prophète (sallallahu alayhi wa sallam) et de ses Compagnons jusquà nos jours, et sans que quiconque ne blâme lune dentre elles [pour cette pratique]. Une pratique si répandue ne peut pas être opposée en raison de quelques informations isolées. »
Al-Ikiyâh al-Harâssî a dit dans son commentaire du Qorân « 4/391 » sur le verset :
« Cet être (la fille) élevé au milieu des parures »
[2]
« Ceci indique que les bijoux sont permis pour les femmes. Il y a consensus des savants sur cela, et les rapports sur le sujet sont innombrables. »
Al-Bayhaqî a dit dans Sounan al-Koubra « 4/142 » lorsquil a mentionné quelques traditions, qui indiquent que lor et la soie sont permis pour les femmes, sans en discuter les textes en détail :
« Ces rapports ainsi que ce qui y ressemble indiquent quil est permis que les femmes sornent avec de lor. Le fait quil y ait consensus sur le fait que cela soit permis pour eux, démontre que les rapports qui indiquent que cela est interdit pour des femmes ont été abrogés. »
« Quoi ! Cet être (la fille) élevé au milieu des parures et qui, dans la dispute, est incapable de se défendre par une argumentation claire et convaincante ? »
[1]
Allâh mentionne que les parures est une des particularités des femmes, et ceci inclut lor et autres que cela. Et de ce que ce qui a été rapporté par Ahmad, Abû Dâwoud et Al-Nassâ-î avec une bonne chaîne de transmission, daprès Amîr al-Mouminîn Alî Ibn Abî Tâlib (radhiallâhu anhu) que le Prophète (sallallahu alayhi wa sallam) a prit de la soie dans sa main droite et de lor dans sa main gauche et a dit : « Ces deux [lor et la soie] sont interdit pour les hommes de ma Communauté. »Ibn Mâdjah a ajouté dans son récit : « Et permis pour les femmes. » Il a été rapporté par Ahmad, An-Nassâ-î et Al-Tirmidhî qui la authentifié, et par Abû Dâwoud, Al-Hâkim qui la authentifié, par At-Tabarânî, authentifié par Ibn Hazm daprès Abû Mûssa al-Acharî (radhiallâhu anhu) que le Prophète (sallallahu alayhi wa sallam) a dit : « Lor et la soie ont été autorisés pour les femmes de ma Communauté et interdits pour les hommes. »Il a été [ce hadîth] critiqué pour son interruption [au niveau de sa chaîne de transmission] entre Saîd Ibn Abî Hind et Abî Mûssa, mais il ny a aucune preuve fiable pour cela. Nous avons mentionné plus haut ceux qui lont authentifié. Si même nous supposons que la critique mentionnée est valide, ce récit est encore soutenu par dautres traditions authentiques, ainsi que le principe de base bien connu parmi les imâms du hadîth. Cela est le point de vue des savants anciens. Plus dun parmi eux ont relaté quil y avait consensus sur la permission du port de lor pour les femmes. Nous mentionnerons les points de vues de certains parmi eux afin de rendre la chose plus claire.
Al-Djassâs a dit dans son « Tafsîr vol-3/388 » sur la parole concernant lor :
« Les rapports [liés aux traditions du Prophète] informent de la permission [du port de lor] pour les femmes daprès le Prophète (sallallahu alayhi wa sallam) et ses Compagnons, ce qui est plus clair et bien plus connu que les rapports qui suggèrent que cela ne soit pas permis. Lévidence du verset [le verset cité plus haut] indique également que cela est permis pour les femmes. La pratique des femmes portant des bijoux a été répandue dès lépoque du Prophète (sallallahu alayhi wa sallam) et de ses Compagnons jusquà nos jours, et sans que quiconque ne blâme lune dentre elles [pour cette pratique]. Une pratique si répandue ne peut pas être opposée en raison de quelques informations isolées. »
Al-Ikiyâh al-Harâssî a dit dans son commentaire du Qorân « 4/391 » sur le verset :
« Cet être (la fille) élevé au milieu des parures »
[2]
« Ceci indique que les bijoux sont permis pour les femmes. Il y a consensus des savants sur cela, et les rapports sur le sujet sont innombrables. »
Al-Bayhaqî a dit dans Sounan al-Koubra « 4/142 » lorsquil a mentionné quelques traditions, qui indiquent que lor et la soie sont permis pour les femmes, sans en discuter les textes en détail :
« Ces rapports ainsi que ce qui y ressemble indiquent quil est permis que les femmes sornent avec de lor. Le fait quil y ait consensus sur le fait que cela soit permis pour eux, démontre que les rapports qui indiquent que cela est interdit pour des femmes ont été abrogés. »