CFCM: Les marocains balayent le candidat du polisario et imposent une présidence col

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Le Conseil français du culte musulman (CFCM) sera présidé, pour un mandat à tour de rôle, par un algérien puis un marocain et enfin un turc.


L’imam algérien Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée de Paris, a finalement été autorisé par les votants marocains, à être élu président du Conseil français du culte musulman (CFCM ) pour un 1er tiers de mandat.

Dalil Boubakeur, homme du pouvoir algérien «a été élu à une très large majorité des membres du Conseil d'administration», a déclaré Abdallah Zekri, président de l'Observatoire de l'islamophobie, cité par l’AFP.

Boubakeur, 72 ans, succède au marocain le Fkih Mohamed Moussaoui qui a écourté d'un an, son second mandat pour permettre la mise en œuvre d'une réforme souhaitée par les autorités françaises.

Boubakeur dirigera une présidence collégiale pendant deux ans avant de céder la place au Fkih marocain Anouar Kbibeche, du Rassemblement des musulmans de France (RMF ), auquel succédera en 2017 Ahmed Ogras, du Conseil des musulmans turcs de France.


Le pouvoir algérien a tenté d'infiltrer un membre du Polisario à la présidence du CFCM


Le recteur de la Grande mosquée de Paris (GMP), l'une des trois fédérations de l'islam en France, a déjà effectué deux mandats de 2003 à 2008, à la tête du CFCM, mais sans avoir été élu.

Les algériens avaient tenté d’infiltrer à la présidence du CFCM, l’avocat algérien et membre du Polisario en France, Chems Eddine Hafiz, mais s’était sans compter avec la vigilance des marocains qui firent barrage à cette manipulation.

La RMF en effet, avait renversé la table sur les algériens, extrêmement minoritaires, n’ayant eu le suffrage de pas grand monde.

A noter que les marocains se contraignent à s'allier aux algériens, malgré leurs manipulations, afin de pouvoir de faire face, aux frères musulmans égyptiens qui, à travers leur dépendance française l'UOIF avaient tenté de faire main basse sur le CFCM.

Lemag
 
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Le pouvoir algérien n'a rien compris. En s'attaquant aux marocains, malgré les centaines de milliards de dollars ils seront toujours à la touche.

l'autre niais, ni français, ni ni ni et il se présente au nom du Polisario



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