Il conteste le rôle supposé d'André Azoulay dans le développement d'Essaouira.
A son corps défendant, Miloud Chaâbi finit toujours par faire parler de lui. Et de quelle manière! L'homme d'affaires souiri a fait l'objet article très critique dans les colonnes de l'édition du 2 juillet de l'Economiste. Sous un titre romanesque "il était une fois André Azoulay", notre ****ur Nadia Salah n'a pas tari d'éloges à l'endroit du conseiller du roi, exagérément présenté comme le "messie de Mogador". La rédactrice en chef de l'Economiste n'est pas allée avec le dos de la cuillère pour mettre à l'index le soi disant opportunisme de la famille chaâbi. "Aujourd'hui, dans les livrets contant l'histoire de la ville, la date de naissance d'André Azoulay est marquée comme un événement historique. Ils font bien, car sans l'énergie du conseiller, on ne sait pas très bien ce que serait devenu l'endroit, sauf à servir de base électorale pour la famille chaâbi", a-t-elle écrit. Et comme il fallait s'y attendre la riposte de Miloud Chaâbi ne s'est pas fait attendre. Dans une longue mise au point, il s'insurge:" le lecteur de cet article est amené à croire que Nadia Salah est une journaliste du Moyen-Age, ou du moins issue de la période coloniale, car ses pensées nous rappellent ce qui s'écrivait sur le Maroc et les Marocains dans la presses des colons durant les années 50 du siècle dernier, à l'instar de la "vigie" et du "Petit marocain", qui méprisaient les marocains les considérant comme des arriérés, que la colonisation est venue sauver". Dans "il était une fois André Azoulay", Nadia Salah considère qu'Essaouira est "une petite ville abandonnée de Dieu et des hommes". Sans prendre de gants Miloud Chaâbi rétorque:" Ni Dieu, ni les Rois du Maroc ne sont parvenus à sauver la ville d'Essaouira jusqu'à l'arrivée d'Azoulay, qui a amené avec lui les Gnaouas" Miloud Chaâbi revient à l'histoire pour rappeler:" Madame Nadia Salh a tourné le dos à tout le monde, à ses Rois et à ses concitoyens et même à son bienfaiteur Driss Basri, qui lui a permis de publier son journal durant son mandat, et grâce à son appui elle s'est installée au Maroc". Ce revirement de l'auteur de l'article, Chaâbi le trouve normal " ce n'est pas étonnant de la part de Nadia Salah, qui n'a pas l'habitude de prêter main forte aux victimes d'injustice, comme le fait la presse indépendante , car elle s'évertue à utiliser ses articles pour défendre ses propres intérêts, et spécialement les sociétés lui commandant des insertions publicitaires". Et de conclure que "Nadia Salah devrait présenter des excuses sans équivoques aux habitants de la ville d'Essaouira, pour laver l'affront qu'elle a fait subir à eux et à leur histoire, sur les pages des quotidiens nationaux, et cela serait la moindre des choses". Miloud Chaâbi s'est également demandé pourquoi la visite de Mme Salah s'est limitée au golf de la ville et non pas à son université (cette institution appartient à la fondation de l'homme d'affaire souiri). Miloud Chaâbi interpelle directement le conseiller royal:"Qu'a fait donc André Azoulay à Essaouira? Quelles sont les réalisations qu'il a pu matérialiser pour la ville et ses enfants sachant qu'il a rallié Essaouira en 1993?" André Azoulay, lui, n'a pas souhaité apporter de l'eau au moulin du Chiadmi:"Je n'ai pas de commentaire à vous faire".
K Fezzazi.
A son corps défendant, Miloud Chaâbi finit toujours par faire parler de lui. Et de quelle manière! L'homme d'affaires souiri a fait l'objet article très critique dans les colonnes de l'édition du 2 juillet de l'Economiste. Sous un titre romanesque "il était une fois André Azoulay", notre ****ur Nadia Salah n'a pas tari d'éloges à l'endroit du conseiller du roi, exagérément présenté comme le "messie de Mogador". La rédactrice en chef de l'Economiste n'est pas allée avec le dos de la cuillère pour mettre à l'index le soi disant opportunisme de la famille chaâbi. "Aujourd'hui, dans les livrets contant l'histoire de la ville, la date de naissance d'André Azoulay est marquée comme un événement historique. Ils font bien, car sans l'énergie du conseiller, on ne sait pas très bien ce que serait devenu l'endroit, sauf à servir de base électorale pour la famille chaâbi", a-t-elle écrit. Et comme il fallait s'y attendre la riposte de Miloud Chaâbi ne s'est pas fait attendre. Dans une longue mise au point, il s'insurge:" le lecteur de cet article est amené à croire que Nadia Salah est une journaliste du Moyen-Age, ou du moins issue de la période coloniale, car ses pensées nous rappellent ce qui s'écrivait sur le Maroc et les Marocains dans la presses des colons durant les années 50 du siècle dernier, à l'instar de la "vigie" et du "Petit marocain", qui méprisaient les marocains les considérant comme des arriérés, que la colonisation est venue sauver". Dans "il était une fois André Azoulay", Nadia Salah considère qu'Essaouira est "une petite ville abandonnée de Dieu et des hommes". Sans prendre de gants Miloud Chaâbi rétorque:" Ni Dieu, ni les Rois du Maroc ne sont parvenus à sauver la ville d'Essaouira jusqu'à l'arrivée d'Azoulay, qui a amené avec lui les Gnaouas" Miloud Chaâbi revient à l'histoire pour rappeler:" Madame Nadia Salh a tourné le dos à tout le monde, à ses Rois et à ses concitoyens et même à son bienfaiteur Driss Basri, qui lui a permis de publier son journal durant son mandat, et grâce à son appui elle s'est installée au Maroc". Ce revirement de l'auteur de l'article, Chaâbi le trouve normal " ce n'est pas étonnant de la part de Nadia Salah, qui n'a pas l'habitude de prêter main forte aux victimes d'injustice, comme le fait la presse indépendante , car elle s'évertue à utiliser ses articles pour défendre ses propres intérêts, et spécialement les sociétés lui commandant des insertions publicitaires". Et de conclure que "Nadia Salah devrait présenter des excuses sans équivoques aux habitants de la ville d'Essaouira, pour laver l'affront qu'elle a fait subir à eux et à leur histoire, sur les pages des quotidiens nationaux, et cela serait la moindre des choses". Miloud Chaâbi s'est également demandé pourquoi la visite de Mme Salah s'est limitée au golf de la ville et non pas à son université (cette institution appartient à la fondation de l'homme d'affaire souiri). Miloud Chaâbi interpelle directement le conseiller royal:"Qu'a fait donc André Azoulay à Essaouira? Quelles sont les réalisations qu'il a pu matérialiser pour la ville et ses enfants sachant qu'il a rallié Essaouira en 1993?" André Azoulay, lui, n'a pas souhaité apporter de l'eau au moulin du Chiadmi:"Je n'ai pas de commentaire à vous faire".
K Fezzazi.