Chants islamiques : Qu'écoutez-vous à ce moment ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Salimette
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Fayeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen gamine !!! :D
Ca va bien ??? :D

P'tit HS sorry lol

Sinon pour les chants islamiques bein jsais pas si on peut appeler ça des chants islamiques mais ce que je préfère le plus ce sont les chants de la résistance palestinienne avec le rythme "dabké" (musique et danse traditionnelle palestinienne et aussi libanaise, syrienne, ... )
 
Fayeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen gamine !!! :D
Ca va bien ??? : D

P'tit HS sorry lol

Sinon pour les chants islamiques bein jsais pas si on peut appeler ça des chants islamiques mais ce que je préfère le plus ce sont les chants de la résistance palestinienne avec le rythme "dabké" (musique et danse traditionnelle palestinienne et aussi libanaise, syrienne, ... )

Je connais pas .. si tu sais tu nous faire partager ça une fois ça serait chouette :langue:

PS: Sinon ça va très bien et toi depuis ? :D
 
Fayeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen gamine !!! :D
Ca va bien ??? :D

P'tit HS sorry lol

Sinon pour les chants islamiques bein jsais pas si on peut appeler ça des chants islamiques mais ce que je préfère le plus ce sont les chants de la résistance palestinienne avec le rythme "dabké" (musique et danse traditionnelle palestinienne et aussi libanaise, syrienne, ... )

NOn NouS pouvons PaS apPeler CA des ChaNts IslaMiQues :

Cheikh Nasiruddin Al-Albâni – rahimahullah – a écrit dans son livre Tahrîm آlât it-Tarb (l’interdiction des instruments de musique), p. 181 :




« Un mot sur les Anashîd islamiques




Il ne me reste, pour conclure ce livre qui sera utile – si Allah le veut - qu’à dire un mot sur ce qu’on appelle les Anashîd islamiques ou les « chants religieux », en disant :
Au chapitre 7, nous avons montré les formes de poésie qui étaient autorisées de chanter et celles qui ne l’étaient pas, comme nous avons montré que tous les instruments de musique sont interdits sauf le Duff, pour les femmes, à l’occasion des fêtes et des mariages.
Dans ce dernier chapitre, nous disons qu’il n’est autorisé de se rapprocher d’Allah (ou de L’adorer) que de la manière qu’Il a prescrite, donc, comment peut-on se rapprocher de Lui de la manière qu’Il a interdite ? C’est suivant cette règle que les savants ont interdit le chant des soufis, et qu’ils ont réprouvé avec encore plus de vigueur celui qui les considère comme licites. Si le lecteur garde à l’esprit ce principe solide, il lui apparaîtra clairement qu’il n’y a aucune différence entre les raisons de l’interdiction des chants soufis et les raisons de l’interdiction des Anashîd.







Mais en réalité, ils se trouvent dans ses Anashîd un autre défaut, qui est qu’ils se chantent à la manière des chants interdits : ils se jouent selon les règles musicales arabes ou occidentales qui divertissent les auditeurs, les font danser, et leur font perdre la maîtrise d’eux-mêmes. Donc, le but ici est de chanter et se divertir et non pas le chant en lui-même. Ceci constitue une nouvelle infraction (à la Sharî’a), qui est le fait de vouloir ressembler aux mécréants et aux débauchés.




Et à la suite de cela, il se produit une autre infraction, qui est de leur ressembler dans leur rejet du Coran et le fait qu’ils s’en détournent ; ils entrent ainsi dans le sens général de la plainte du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, à prpos de son peuple (Quraysh), comme Allah le dit : « Et le Prophète a dit : « Seigneur, mon peuple s’est détourné de ce Coran… ».




Et je me rappelle parfaitement, lorsque j’étais à Damas, deux ans avant que je ne m’exile ici (à Amman), que certains jeunes musulmans se mirent à chanter des Anashid dont les paroles étaient saines, dans l’intention de contrer les chants soufis tels que les poèmes de Bussayri (contenant des paroles de Kufr) et autres, et ils enregistrèrent cela sur cassettes, et il ne se passa que peu de temps jusqu’à ce qu’ils se mirent à accompagner leurs chants du Duff ! Et au début, on ne les écoutait que dans les mariages, selon le principe que le Duff n’est autorisé que dans les mariages. Puis, les cassettes se diffusèrent et elles furent copiées, et on se mit à les écouter dans de nombreux foyers, et les gens commencèrent à les écouter nuit et jour, dans les fêtes et en dehors des fêtes. Et ceci devint leur distraction et leur habitude, et cela ne se produisit que par la force des passions, et l’ignorance des ruse de Satan.




Ces chants les détournèrent et ils n’accordèrent plus d’importance au Coran et ne l’écoutèrent plus, sans parler du fait de l’étudier, et ils s’en détournèrent comme c’est cité dans le verset au sujet duquel Al-Hâfidh Ibn Kathîr a dit dans son Tafsîr (3/317) : « Allah dit, à propos de Son Prophète, prière et salut d'Allah sur lui : « Et le Prophète a dit : « Seigneur, mon peuple s’est détourné de ce Coran… », car les polythéistes n’entendaient pas le Coran et ne l’écoutaient pas, comme Allah dit : « Et ceux qui ont mécru ont dit : « N’écoutez pas ce Coran et distrayez-vous en… » ; et lorsqu’un verset était récité, ils faisaient davantage de vacarme et discutaient, pour que personne n’écoute, et ceci est parmi leurs actes de rejet (du Coran), et de manque de foi en lui ; et le fait qu’ils n’y croyaient pas fait partie de leur rejet, et le fait de ne pas le méditer et de ne pas chercher à le comprendre fait partie de leur rejet, le fait de ne pas l’appliquer fait partie de leur rejet, le fait de ne pas s’abstenir de ses interdits et de ne pas appliquer ses ordres fait partie de leur rejet, et le fait d’y renoncer pour (se tourner vers) la poésie, les propos, les chansons, les divertissements ou les discussions ou d’autre formes, fait partie de leur rejet.
Je demande à Allah le Généreux, Celui Qui accorde toute chose, Celui Qui est Capable de ce qu’Il veut, de nous éloigner de tout ce qui provoque Sa colère, et qu’il m’utilise dans ce qui Le satisfait, comme le fait de préserver et retenir Son Livre et le comprendre, et de l’appliquer, jour et nuit, de la manière qu’Il aime et qui Le satisfait. Il est certes Généreux et Celui Qui accorde. »




Cheikh Muhammad Nasiruddîn Al-Albânî, rahimahullah.
Amman, 28/6/1415 (1995 environ)
 
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