Circle oil continue ses forages gaziers

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el jadida

el jadida/mazagan beach
Après les inondations d'hiver, les routes d'accès existants ont été réparés et nouvelles routes d'accès et des bases de perçage de béton pour les trois premiers puits dans les cinq cours du programme de forage de puits ont été achevés. Les travaux de génie civil pour l'emplacement du puits quatrième actuellement en cours.

L'appareil de forage a commencé le forage à l'emplacement du puits première fois dans le permis de Sebou. Le premier puits, désigné KAB-1, est prévu de forer une cible Miocène Guebbas Sand avec le bien devrait TD de 1360 mètres. Le forage de ce puits et chaque suite de cette campagne est actuellement devrait durer environ cinq à six semaines par puits. Tous les puits sont âgés de ciblage des objectifs Miocène sable à gaz de profondeur variable de 900 à 1.700 mètres.

Dans le cadre de cette campagne, les DRJ-6, foré en 2009, est prévue pour être entré de nouveau et testés. Comme annoncé précédemment, une grève des transports locaux empêché ses essais au cours de cette campagne de forage.

Pré-planification de l'extension 62 km à la ligne principale du gaz est bien avancée et l'ordre des matériaux pour le nouveau pipeline de 8 pouces, ce qui aura une capacité de production de 23 mmscfd, a été placé.


Production totale de gaz de nos puits Maroc à partir de démarrer en Novembre 2008 à fin août 2010 est 923 mmscf (26.13 MMNm3). Brut production journalière est comprise entre 1,4 à 2,2 mmscfd (40.110 à 62.643 MNm3), et est engagée pour fournir les besoins de l'industrie locale.

source circleoil.net
 
Commentant le professeur Chris Green, chef de la direction, a déclaré:



«Nous sommes heureux d'annoncer le démarrage du programme de forage au Maroc que la récupération de l'impact des inondations en hiver et le printemps derniers a été une tâche difficile et nous devons remercier notre personnel marocain, sociétés de services et ONHYM pour leur soutien et leur dur travail. En outre, les progrès de la sismique en Oman est le calendrier prévu et après traitement, l'interprétation de ces données permettra à la firme Circle un inventaire des perspectives pour le forage.
 
Glossary

TD Target Depth

MMscf Million standard cubic feet

MMscfd Million standard cubic feet per day

MMNm3 Million cubic metres

MNm3 Thousand cubic metres

Sq km Square kilometres

km Kilometres

2D Two dimensional

3D Three dimensional
 
Salam,

Tous ces forages un peu partout dans notre Royaume et même dans l'océan ont-ils obtenus des résultats positifs ?
 
Salam,

Tous ces forages un peu partout dans notre Royaume et même dans l'océan ont-ils obtenus des résultats positifs ?


circle oil déclare que

"Production totale de gaz de nos puits Maroc à partir de démarrer en Novembre 2008 à fin août 2010 est 923 mmscf (26.13 MMNm3). Brut production journalière est comprise entre 1,4 à 2,2 mmscfd (40.110 à 62.643 MNm3)"

un autre gisement important de larache (repsol, dana petroleum, gaz naural et onhym..) test prévu en 2011 pour confirmer la présence de 2 à 3 miliard de m3
 
Cercle dit de forage ont commencé sur le KAB-1, le premier des cinq prévus du programme de forage de puits dans le permis Sebou.

Le puits sera foré à une profondeur totale de 1360 mètres, en ciblant les objectifs Miocène âgés de sable à gaz, et devrait prendre cinq à six semaines à compléter.

Circle est également prévu de rentrer et de tester les DRJ-6 et qui a été foré l'année dernière, mais la société a déclaré une grève des transports locaux empêché ses essais au cours de cette campagne de forage.

http://www.upstreamonline.com/live/article228795.ece
 
un autre gisement important de larache (repsol, dana petroleum, gaz naural et onhym..) test prévu en 2011 pour confirmer la présence de 2 à 3 miliard de m3


Pourrais tu nous dire si c'est un petit, moyen puits, ou important.
On parle de découvertes de gaz entre le LIban, Malte, Israel et Ghazza. Est ce que ces découvertes sont largement supérieures à celles du Gharb?
 
voila un exemple de problème qui peut intervenir

Chinguetti est un gisement pétrolier repéré au large de la Mauritanie par la firme australienne Woodside en 2001.

Relativement modeste en taille (initialement, les réserves prouvées et probables ont été évaluées à 123 Mbbls) a néanmoins son importance : il marque la première découverte commerciale dans le pays, ouvrant une nouvelle région d'exploration pétrolière en offshore profond.

La production a commencé en mars 2006. Le débit nominal de 70 kbbls/j n'a été maintenau que très peu de temps, et la production a rapidement décliné aux environs de 30 kbbls/j. Ce déclin imprévu, dû à des pénétrations d'eau dans certains puits, a amené les opérateurs à réduire de plus de 50% leur estimation de réserve. De nouveaux puits doivent être forés.

Un gisement de plus petite taille, Tevet, a été découvert au voisinage et sera très probablement rattaché à la même plate-forme flottante.
 
Formation [modifier]

Le pétrole est un produit de l'histoire géologique d’une région[1], et particulièrement de la succession de trois conditions :

* l'accumulation de matière organique, végétale essentiellement ;
* sa maturation en hydrocarbures ;
* son emprisonnement.

Ensuite, comme un gisement de pétrole est entraîné dans la tectonique des plaques, l’histoire peut se poursuivre. Il peut être enfoui plus profondément et se pyrolyser à nouveau, donnant un gisement de gaz naturel - on parle alors de « gaz thermogénique secondaire », par opposition au « gaz thermogénique primaire » formé directement par pyrolyse du kérogène. Le gisement peut également fuir, et le pétrole migrer à nouveau, vers la surface ou un autre piège.

Il faut ainsi un concours de circonstances favorables pour que naisse un gisement de pétrole (ou de gaz), ce qui explique d’une part que seule une infime partie de la matière organique formée au cours des ères géologiques ait été transformée en énergie fossile et, d’autre part, que ces précieuses ressources soient réparties de manière très disparate dans le monde.
Accumulation de matière organique [modifier]

En règle générale, la biosphère recycle la quasi-totalité des sous-produits et débris. Cependant, une petite minorité de la matière « morte » sédimente, c’est-à-dire qu’elle s'accumule par gravité et est enfouie au sein de la matière minérale, et dès lors coupée de la biosphère. Ce phénomène concerne des environnements particuliers, tels que les endroit confinés (milieux paraliques : lagunes, deltas…), surtout en milieu tropical et lors de périodes de réchauffement climatique intense (comme le silurien, le jurassique et le crétacé), où le volume de débris organiques excède la capacité de « recyclage » de l’écosystème local. C’est durant ces périodes que ces sédiments riches en matières organiques (surtout des lipides) s’accumulent.
Maturation de la matière organique [modifier]

Au fur et à mesure que des couches de sédiments se déposent au-dessus de cette strate riche en matières organiques, la « roche-mère » ou « roche-source », croît en température et en pression. Dans ces conditions, la matière organique se transforme en kérogène, un « extrait sec » disséminé dans la roche sous forme de petits grumeaux. Si la température devient suffisante (le seuil est à au moins 50 °C, généralement plus selon la nature de la roche et du kérogène), et si le milieu est réducteur, le kérogène sera pyrolysé, extrêmement lentement.

Le kérogène produit du pétrole et/ou du "gaz naturel", qui sont des matières plus riches en hydrogène, selon sa composition et les conditions d’enfouissement. Si la pression devient suffisante ces fluides s’échappent, ce qu’on appelle la migration primaire. En général, la roche source a plusieurs dizaines, voire centaines de millions d’années quand cette migration se produit. Le kérogène lui-même reste en place, appauvri en hydrogène.
 
Piégeage des hydrocarbures [modifier]

Quant aux hydrocarbures expulsés, plus légers que l’eau, ils s’échappent en règle générale jusqu’à la surface de la Terre où ils sont oxydés, ou biodégradés (ce dernier cas donne des sables bitumineux), mais une minime quantité est piégée : elle se retrouve dans une zone perméable (généralement du sable, des carbonates ou des dolomites) qu’on appelle la « roche-réservoir », et ne peut s’échapper à cause d’une couche imperméable (composée d’argile, de schiste et de gypse), la « roche piège » formant une structure-piège.

Il existe plusieurs types de pièges. Les plus grands gisements sont en général logés dans des pièges anticlinaux. On trouve aussi des pièges sur faille ou mixtes anticlinal-faille, des pièges formés par la traversée des couches par un dôme salin, ou encore créés par un récif corallien fossilisé.
 
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