Le ressenti était de -40 °C à Boston, aux États-Unis, samedi 4 février. Une première depuis 1944.
À certains endroits, il est impossible d'y voir clair à plus de quelques mètres. Depuis vendredi 3 février, un froid polaire balaie le nord-est des États-Unis et l'est du Canada. Sur le fleuve Saint-Laurent, un paysage vaporeux est créé par le choc des températures entre l'eau et le vent glacial. La jetée qui mène au lac Ontario, entre les deux pays, semble figée par le froid. L'eau cède du terrain à la glace.
À certains endroits, il est impossible d'y voir clair à plus de quelques mètres. Depuis vendredi 3 février, un froid polaire balaie le nord-est des États-Unis et l'est du Canada. Sur le fleuve Saint-Laurent, un paysage vaporeux est créé par le choc des températures entre l'eau et le vent glacial. La jetée qui mène au lac Ontario, entre les deux pays, semble figée par le froid. L'eau cède du terrain à la glace.