samedi 7 février 2009 - 07h:13
Maan News Agency
Un partage des tâches très malsain... Ni le blocus international datant de plusieurs années, ni les massacres commis tout récemment par les troupes sionistes nayant réussi à abattre la détermination de la résistance palestinienne, les états mentionnés ci-dessous sefforcent maintenant, pour le plus grand bénéfice de létat raciste et colonialiste israélien, dempêcher les organisations palestiniennes de se procurer des armes à travers la frontière égyptienne.
Des experts internationaux se sont réunis au Danemark, ce jeudi pour discuter des livraisons darmes dans la bande de Gaza, promettant de se réunir à nouveau le mois prochain afin de définir une stratégie.
Les recommandations des experts internationaux de 10 pays, concernant ces armes, seront ensuite présentées, selon le secrétariat détat danois, au nom de Michael Johns-Zilmer, ministre des Affaires étrangères.
Lagence Reuters a signalé que le groupe de travail, organisé par le Danemark, avait regroupé des experts et des diplomates des États-Unis, du Canada, de la France, de lAllemagne, de lItalie, des Pays-Bas, de la Norvège, de lEspagne et du Royaume-Uni.
Les Palestiniens ne participaient aux pourparlers à Copenhague, tandis quIsraël y participait en tant quobservateur.
Zilmer-Johns a déclaré à Reuters que les experts égyptiens et palestiniens avaient refusé de participer à la réunion.
Selon un haut diplomate occidental, chaque pays membre de lOTAN a convenu dun certain nombre de points et espère être en mesure de produire un document officiel ou un programme daction, lors dune réunion au Royaume-Uni le mois prochain.
« Nous ne sommes pas prêts pour adopter un plan, mais nous allons nous rencontrer à Londres dans quelques semaines, et jespère que vous prendrez connaissance dun document convenant de ce que nous voulons faire », a déclaré le même diplomate à Reuters.
Les responsables gouvernementaux dune majorité des pays impliqués dans les pourparlers ont décidé que lutilisation de leurs forces navales serait nécessaire pour faire cesser les transferts darmes vers la bande de Gaza, tandis que dautres rejetaient lusage de la force militaire.
Certains en effet doutent de la légalité dune telle opération, a indiqué Reuters.
Aucun des états participants na encore pris de décision sur la façon dentreprendre une telle mission, les discussions ayant porté sur lanalyse des itinéraires de passages darmes vers la bande de Gaza.
Le même diplomate de haut rang a déclaré que les participants avaient travaillé sur un certain nombre de points, dont leur coopération sur la collecte de renseignements, et sur dautres mesures pour réduire le flux darmes vers Gaza.
« Un certain nombre dentre nous envisagent dutiliser des moyens militaires dans la région dans ce but. Mais il nous faut préciser sous quelle autorité », a déclaré le diplomate.
Maan News Agency
Un partage des tâches très malsain... Ni le blocus international datant de plusieurs années, ni les massacres commis tout récemment par les troupes sionistes nayant réussi à abattre la détermination de la résistance palestinienne, les états mentionnés ci-dessous sefforcent maintenant, pour le plus grand bénéfice de létat raciste et colonialiste israélien, dempêcher les organisations palestiniennes de se procurer des armes à travers la frontière égyptienne.
Des experts internationaux se sont réunis au Danemark, ce jeudi pour discuter des livraisons darmes dans la bande de Gaza, promettant de se réunir à nouveau le mois prochain afin de définir une stratégie.
Les recommandations des experts internationaux de 10 pays, concernant ces armes, seront ensuite présentées, selon le secrétariat détat danois, au nom de Michael Johns-Zilmer, ministre des Affaires étrangères.
Lagence Reuters a signalé que le groupe de travail, organisé par le Danemark, avait regroupé des experts et des diplomates des États-Unis, du Canada, de la France, de lAllemagne, de lItalie, des Pays-Bas, de la Norvège, de lEspagne et du Royaume-Uni.
Les Palestiniens ne participaient aux pourparlers à Copenhague, tandis quIsraël y participait en tant quobservateur.
Zilmer-Johns a déclaré à Reuters que les experts égyptiens et palestiniens avaient refusé de participer à la réunion.
Selon un haut diplomate occidental, chaque pays membre de lOTAN a convenu dun certain nombre de points et espère être en mesure de produire un document officiel ou un programme daction, lors dune réunion au Royaume-Uni le mois prochain.
« Nous ne sommes pas prêts pour adopter un plan, mais nous allons nous rencontrer à Londres dans quelques semaines, et jespère que vous prendrez connaissance dun document convenant de ce que nous voulons faire », a déclaré le même diplomate à Reuters.
Les responsables gouvernementaux dune majorité des pays impliqués dans les pourparlers ont décidé que lutilisation de leurs forces navales serait nécessaire pour faire cesser les transferts darmes vers la bande de Gaza, tandis que dautres rejetaient lusage de la force militaire.
Certains en effet doutent de la légalité dune telle opération, a indiqué Reuters.
Aucun des états participants na encore pris de décision sur la façon dentreprendre une telle mission, les discussions ayant porté sur lanalyse des itinéraires de passages darmes vers la bande de Gaza.
Le même diplomate de haut rang a déclaré que les participants avaient travaillé sur un certain nombre de points, dont leur coopération sur la collecte de renseignements, et sur dautres mesures pour réduire le flux darmes vers Gaza.
« Un certain nombre dentre nous envisagent dutiliser des moyens militaires dans la région dans ce but. Mais il nous faut préciser sous quelle autorité », a déclaré le diplomate.