Colloque nationalPour une conception claire de la culture amazighe13 et 14 mars 2013

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Tharbat
  • Date de début Date de début

Tharbat

💙💚💛
Contributeur
http://www.ircam.ma/doc/divers/formul_col_ceas2013.doc

Ce colloque s’inscrit dans le cadre des activités scientifiques du Centre des Etudes Anthropologiques et Sociologiques de l’IRCAM. Son objectif principal est d’engager un débat sur ce que le concept de*culture amazighe*veut dire. Un débat qui devrait aider à délimiter les éléments culturels pouvant permettre d’en éclairer la conception.La culture amazighe, malgré la connaissance produite à son sujet du temps colonial à nos jours, porte encore de larges zones d’ombre dans les structures, les fonctions et le fonctionnement des différentes pratiques, croyances et représentations y afférentes. Essayer de dissiper l’obscurité de ces zones, c’est tenter de tirer au clair la teneur du concept de culture amazighe qu’on continue d’utiliser de manière mécanique, comme si la réalité qu’il désigne était si transparente, entièrement connue.
Le terme de*culture amazighe*évoque ou signifie diverses choses pour divers utilisateurs. Ce qui constitue un point de départ gênant, voire nuisible ou dangereux pour tout débat rationnel. Certains lui accordent un sens restreint (art, éducation, instruction), d’autres lui attribuent un sens large (coutumes, règles de conduite, savoirs, savoir-faire, traditions…) et d’autres encore utilisent indistinctement l’un ou l’autre de ces deux sens. Aussi ce terme demande-t-il à être clarifié et, pourquoi pas, défini. Afin de pouvoir y apporter une clarification et tenter d’en élaborer une définition, il faudrait naturellement commencer par opérer deux actions interdépendantes : d’un côté, délimiter la*véritable position*de la culture amazighe au sein de la culture marocaine, et nord-africaine ; de l’autre, essayer d’en identifier les traits distinctifs.Il est vrai que des résistances contre la promotion de la culture amazighe subsistent toujours. Il est vrai aussi que l’époque de sa marginalisation pure et simple est bien révolue. Aujourd’hui, la tendance générale du discours dominant (officiel et officieux) la présente comme étant un affluent essentiel de la culture marocaine. Le mot « affluent » renvoie une image claire et attractive au premier regard mais floue et rebutante au second regard. Il ne traduit pas vraiment la réalité des choses et doit donc être reconsidéré avec le plus grand sérieux. Qu’il soit principal ou secondaire, pris au propre ou au figuré, « un affluent » signifie une partie d’un ensemble. D’où la question : la culture amazighe est-elle un élément de la culture nationale ou plutôt son soubassement ?
 
Salam chère tharbat

Il va avoir du monde le choix de la ville de Mekness est bien par le cout de la vie
est l'acces de toutes les villes Amazighes !!! les dates sont corrects
Mes souhaits que de la réussite dans tous les projets futurs
ainsi que la représentation dans les ambassades marocaines à l'étrangers
pour donner des cours aux enfants MRE
 
Salam chère tharbat

Il va avoir du monde le choix de la ville de Mekness est bien par le cout de la vie
est l'acces de toutes les villes Amazighes !!! les dates sont corrects
Mes souhaits que de la réussite dans tous les projets futurs
ainsi que la représentation dans les ambassades marocaines à l'étrangers
pour donner des cours aux enfants MRE
On donne de bonnes occasions aux militants,ce sont eux qui peuventcfaire avancer les choses,il faut le dire,
J aimerais bien que Aasside y participe moi!::cool:
 
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