Bonjour
Il y a pas beaucoup de monde qui croient que la liberté d'expression consiste à dire ou à publier absolument n'importe quoi sur n'importe qui n'importe où.
Par exemple il y a des lois contre la pornographie infantile.
Ou contre la revenge porn.
Aussi, on peut pas diffuser des mensonges sur une personnalité dans le but de détruire sa réputation, par exemple dire que telle vedette battait sa femme alors que c'est pas vrai ou pas prouvé.
On peut pas non plus publier des menaces de mort.
Mais je me demande comment on justifie les limites qu'on met à la liberté d'expression, au nom de quelle valeur ou quel principe?
Par exemple l'affaire des caricatures de Muhammad.
Ou bien les commentaires racistes, homophobes, misogynes, judéophobes, islamophobes, ou contre les handicapés.
Ou bien exposer la vie privée des vedettes.
Ou faire des blagues méchantes sur des artistes ou des personnalités (par exemple Greta Thunberg).
Ou des histoires érotiques crados (par exemple l'inceste, le viol...).
Il faut toute une théorie pour encadrer le droit à la parole.
On veut pas se retrouver comme en Russie ou en Chine, mais on peut pas accepter une complète anarchie.
Il y a pas beaucoup de monde qui croient que la liberté d'expression consiste à dire ou à publier absolument n'importe quoi sur n'importe qui n'importe où.
Par exemple il y a des lois contre la pornographie infantile.
Ou contre la revenge porn.
Aussi, on peut pas diffuser des mensonges sur une personnalité dans le but de détruire sa réputation, par exemple dire que telle vedette battait sa femme alors que c'est pas vrai ou pas prouvé.
On peut pas non plus publier des menaces de mort.
Mais je me demande comment on justifie les limites qu'on met à la liberté d'expression, au nom de quelle valeur ou quel principe?
Par exemple l'affaire des caricatures de Muhammad.
Ou bien les commentaires racistes, homophobes, misogynes, judéophobes, islamophobes, ou contre les handicapés.
Ou bien exposer la vie privée des vedettes.
Ou faire des blagues méchantes sur des artistes ou des personnalités (par exemple Greta Thunberg).
Ou des histoires érotiques crados (par exemple l'inceste, le viol...).
Il faut toute une théorie pour encadrer le droit à la parole.
On veut pas se retrouver comme en Russie ou en Chine, mais on peut pas accepter une complète anarchie.