Les résidences universitaires : la solution logement anti-galère
Majorité et vie étudiante, à vous l'indépendance !
Que ce soit par souci de proximité ou envie de liberté, une fois le bac en poche, bon nombre de bacheliers aspirent à quitter le cocon familial. Mais puisque voler de ses propres ailes implique des dépenses additionnelles, il est donc préférable de ne pas quitter le nid douillet sans un sou de côté, auquel cas, des démarches administratives sont à anticiper et tout particulièrement pour les logements de type universitaire.
Les prix étant très attractifs, les demandes affluent en masse et certains étudiants peu fortunés n'ont pas d'autres choix pour obtenir un logement décent. Il y a donc deux types de logements universitaires : les cités universitaires et les logements conventionnés.
• Des cités universitaires, il en existe dans chaque grande ville. Et pour toutes les connaître, il suffit de jeter un œil à la carte disponible sur Lokaviz. Ce sont eux qui gèrent ce type de requête, tout comme celles des logements conventionnés. Pour en faire la demande, il suffit de remplir le dossier social étudiant avant le 30 avril de l'année en cours ! Alors si vous ne voulez pas que votre logement vous passe sous le nez, remplissez le formulaire dans les temps.
Niveau loyer, les logements en cité universitaire n'excèdent pas les 280 € / mois. A ce prix-là, ce sont en général de petites chambres individuelles de 9m² avec cuisines et sanitaires collectifs. Mais pour un premier logement, c'est déjà bien suffisant. Vous pourrez y séjourner durant toute votre année scolaire, c'est-à-dire de septembre à juin. Et si vous avez besoin d'une aide financière, l'ASL (Allocation logement à caractère social) peut prendre en charge une partie de votre loyer. La demande se fait auprès de la CAF (Caisses d'Allocations familiales), de même pour les APL (Aide Personnalisée au Logement).
• Les logements conventionnés sont plus chers (environ 450 € en moyenne par mois), mais plus spacieux : T1 de 21 à 31 m² meublés, sanitaires et cuisine compris. Disponibles de septembre à août, ces logements comportent de réels avantages tels que l'exemption de taxe d'habitation. Et grâce aux APL , il est parfois possible de réduire vos mensualités de moitié.
Se loger chez un sénior : une démarche solidaire et économique
Beaucoup moins conventionnel mais tout aussi économique, le logement intergénérationnel, c'est-à-dire la cohabitation entre senior et étudiant, s'impose à son tour. En échange de quelques services et d'un loyer très minime (100 à 300 %), vous pourrez obtenir une chambre chez une personne âgée. Fêtard dans l'âme ? Cette solution habitation risque de ne pas être compatible avec votre mode de vie. Mais si vous êtes prêt à faire un acte de solidarité en partageant un peu de bon temps avec vos ainés, c'est un logement à prix réduit et de belles économies que vous pouvez espérer.
De plus en plus courant, ce concept est désormais encadré par une charte de bonnes pratiques. Celle-ci oblige de passer par l'une des associations du réseau Cosi, afin de former les binômes les plus adéquats. Par ailleurs, certaines associations peuvent aussi réclamer une compensation, sous forme de frais de dossier par exemple. Ce n'est pas toujours le cas, alors pensez à vous renseigner.
Pour finir, une fois que les « couples » sont formés, le senior doit obligatoirement signer une convention d'hébergement et déclarer votre présence à son assurance.
mam
Majorité et vie étudiante, à vous l'indépendance !
Que ce soit par souci de proximité ou envie de liberté, une fois le bac en poche, bon nombre de bacheliers aspirent à quitter le cocon familial. Mais puisque voler de ses propres ailes implique des dépenses additionnelles, il est donc préférable de ne pas quitter le nid douillet sans un sou de côté, auquel cas, des démarches administratives sont à anticiper et tout particulièrement pour les logements de type universitaire.
Les prix étant très attractifs, les demandes affluent en masse et certains étudiants peu fortunés n'ont pas d'autres choix pour obtenir un logement décent. Il y a donc deux types de logements universitaires : les cités universitaires et les logements conventionnés.
• Des cités universitaires, il en existe dans chaque grande ville. Et pour toutes les connaître, il suffit de jeter un œil à la carte disponible sur Lokaviz. Ce sont eux qui gèrent ce type de requête, tout comme celles des logements conventionnés. Pour en faire la demande, il suffit de remplir le dossier social étudiant avant le 30 avril de l'année en cours ! Alors si vous ne voulez pas que votre logement vous passe sous le nez, remplissez le formulaire dans les temps.
Niveau loyer, les logements en cité universitaire n'excèdent pas les 280 € / mois. A ce prix-là, ce sont en général de petites chambres individuelles de 9m² avec cuisines et sanitaires collectifs. Mais pour un premier logement, c'est déjà bien suffisant. Vous pourrez y séjourner durant toute votre année scolaire, c'est-à-dire de septembre à juin. Et si vous avez besoin d'une aide financière, l'ASL (Allocation logement à caractère social) peut prendre en charge une partie de votre loyer. La demande se fait auprès de la CAF (Caisses d'Allocations familiales), de même pour les APL (Aide Personnalisée au Logement).
• Les logements conventionnés sont plus chers (environ 450 € en moyenne par mois), mais plus spacieux : T1 de 21 à 31 m² meublés, sanitaires et cuisine compris. Disponibles de septembre à août, ces logements comportent de réels avantages tels que l'exemption de taxe d'habitation. Et grâce aux APL , il est parfois possible de réduire vos mensualités de moitié.
Se loger chez un sénior : une démarche solidaire et économique
Beaucoup moins conventionnel mais tout aussi économique, le logement intergénérationnel, c'est-à-dire la cohabitation entre senior et étudiant, s'impose à son tour. En échange de quelques services et d'un loyer très minime (100 à 300 %), vous pourrez obtenir une chambre chez une personne âgée. Fêtard dans l'âme ? Cette solution habitation risque de ne pas être compatible avec votre mode de vie. Mais si vous êtes prêt à faire un acte de solidarité en partageant un peu de bon temps avec vos ainés, c'est un logement à prix réduit et de belles économies que vous pouvez espérer.
De plus en plus courant, ce concept est désormais encadré par une charte de bonnes pratiques. Celle-ci oblige de passer par l'une des associations du réseau Cosi, afin de former les binômes les plus adéquats. Par ailleurs, certaines associations peuvent aussi réclamer une compensation, sous forme de frais de dossier par exemple. Ce n'est pas toujours le cas, alors pensez à vous renseigner.
Pour finir, une fois que les « couples » sont formés, le senior doit obligatoirement signer une convention d'hébergement et déclarer votre présence à son assurance.
mam