Vendredi 28 mai, la France est en voie de paralysie.
Les grèves s'étendent, François Hollande décide alors d'une stratégie offensive : afficher sa fermeté sur la loi El Khomri, mais en même temps céder sur la SNCF. L'idée est simple : l'État y est actionnaire à 100% alors, contre l'avis de son patron Guillaume Pepy, l'exécutif va tout piloter. La réforme négociée depuis deux ans est torpillée. "Il y a beaucoup trop de fronts, estime François Hollande. On ne peut pas tous les combattre en même temps".
Guillaume Pepy court-circuitéUn démineur est missionné : Alain Vidalies, secrétaire d'État aux transports. En plein week-end, il organise une réunion sécrète avec les syndicats réformistes de la SNCF : CFDT et UNSA. La CGT, trop braquée, n'est pas invitée. Et — fait à peine croyable — la SNCF ne l'est pas non plus. Guillaume Pepy est court-circuité. Sur son insistance, le directeur des ressources humaines de la SNCF est invité en auditeur. Mais la réunion se passe très mal, au point qu'aujourd'hui, ce DRH a quitté la négociation et est en congés. Le document qui est sorti de cette réunion montre que le gouvernement a rayé certains points de la réforme et a lâché des concessions sur le temps de travail.
Guillaume Pepy, furieux, menace de démissionner. La réforme de la SNCF est sacrifiée, mais François Hollande a atteint son but. "Il fallait éteindre les différents incendies pour protéger la loi El Khomri", a-t-il dit à l'un de ses conseillers. Pour calmer Guillaume Pepy, l'État annoncera demain un geste, un soutien financier pour alléger la dette de la SNCF.
Et voila, encore une fois ce sont les contribuable qui vont epongé les dettes de la SNCF pour acheter la paix sociale.
et tout ça au final va faire que comme toujours la SNCF ne va pas se reformer meme si en 2019 c'est l'ouverture à la concurrence.
Bref la SNCF va couler, car elle est tout sauf compétitive elle va couler et c'est encore nous qui allons epongé ses dettes à coup de menaces de greves.
Les grèves s'étendent, François Hollande décide alors d'une stratégie offensive : afficher sa fermeté sur la loi El Khomri, mais en même temps céder sur la SNCF. L'idée est simple : l'État y est actionnaire à 100% alors, contre l'avis de son patron Guillaume Pepy, l'exécutif va tout piloter. La réforme négociée depuis deux ans est torpillée. "Il y a beaucoup trop de fronts, estime François Hollande. On ne peut pas tous les combattre en même temps".
Guillaume Pepy court-circuitéUn démineur est missionné : Alain Vidalies, secrétaire d'État aux transports. En plein week-end, il organise une réunion sécrète avec les syndicats réformistes de la SNCF : CFDT et UNSA. La CGT, trop braquée, n'est pas invitée. Et — fait à peine croyable — la SNCF ne l'est pas non plus. Guillaume Pepy est court-circuité. Sur son insistance, le directeur des ressources humaines de la SNCF est invité en auditeur. Mais la réunion se passe très mal, au point qu'aujourd'hui, ce DRH a quitté la négociation et est en congés. Le document qui est sorti de cette réunion montre que le gouvernement a rayé certains points de la réforme et a lâché des concessions sur le temps de travail.
Guillaume Pepy, furieux, menace de démissionner. La réforme de la SNCF est sacrifiée, mais François Hollande a atteint son but. "Il fallait éteindre les différents incendies pour protéger la loi El Khomri", a-t-il dit à l'un de ses conseillers. Pour calmer Guillaume Pepy, l'État annoncera demain un geste, un soutien financier pour alléger la dette de la SNCF.
Et voila, encore une fois ce sont les contribuable qui vont epongé les dettes de la SNCF pour acheter la paix sociale.
et tout ça au final va faire que comme toujours la SNCF ne va pas se reformer meme si en 2019 c'est l'ouverture à la concurrence.
Bref la SNCF va couler, car elle est tout sauf compétitive elle va couler et c'est encore nous qui allons epongé ses dettes à coup de menaces de greves.