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Un déséquilibre de l'activité cérébrale serait à l'origine de ces angoisses nocturnes.
L'hémisphère droit du cerveau serait à l'origine des cauchemars, prétend une étude financée par l'université de Turku (Finlande) publiée ce 15 avril dans la revue scientifique JNeurosci. Il serait, selon ses conclusions, le siège privilégié des émotions négatives et de la colère.
17 volontaires
Pour appuyer leur thèse, les chercheurs ont analysé scrupuleusement l'activité cérébrale de 17 volontaires pendant leur sommeil, relate le magazine Cosmos relayé par Slate. Grâce aux électroencéphalogrammes placés sur le cuir chevelu des cobayes, les experts ont alors observé un déséquilbre entre les deux hémisphères du cerveau. Cette activité contrastée s'appelle, en langage scientifique, une asymétrie frontale alpha (FAA).
Sommeil paradoxal
Les volontaires étaient plongés dans un état de sommeil paradoxal (moment du rêve) avant d'être réveillés et interrogés par les chercheurs. Ces derniers ont constaté que "les rêves des personnes qui présentaient une plus grande activité cérébrale du côté droit, pendant le sommeil, étaient plus souvent marqués par la colère".
Gestion des émotions
La naissance des cauchemars serait liée à la gestion des émotions. Les personnes à forte émotivité témoigneraient d'une asymétrie frontale alpha plus forte: "Nos résultats montrent que la colère dans le rêve a les mêmes origines neuronales que celles qui nous influencent à l'état de conscience. Cela signifie qu'il semble y avoir des processus cérébraux partagés pour les émotions", détaille Pilleriin Sikka, co-directrice de cette étude finlandaise.
Ces observations pourraient aider la communauté scientifique à comprendre les troubles mentaux liés au sommeil, tels que l'anxiété, la dépression ou encore l'insomnie.
Un déséquilibre de l'activité cérébrale serait à l'origine de ces angoisses nocturnes.
L'hémisphère droit du cerveau serait à l'origine des cauchemars, prétend une étude financée par l'université de Turku (Finlande) publiée ce 15 avril dans la revue scientifique JNeurosci. Il serait, selon ses conclusions, le siège privilégié des émotions négatives et de la colère.
17 volontaires
Pour appuyer leur thèse, les chercheurs ont analysé scrupuleusement l'activité cérébrale de 17 volontaires pendant leur sommeil, relate le magazine Cosmos relayé par Slate. Grâce aux électroencéphalogrammes placés sur le cuir chevelu des cobayes, les experts ont alors observé un déséquilbre entre les deux hémisphères du cerveau. Cette activité contrastée s'appelle, en langage scientifique, une asymétrie frontale alpha (FAA).
Sommeil paradoxal
Les volontaires étaient plongés dans un état de sommeil paradoxal (moment du rêve) avant d'être réveillés et interrogés par les chercheurs. Ces derniers ont constaté que "les rêves des personnes qui présentaient une plus grande activité cérébrale du côté droit, pendant le sommeil, étaient plus souvent marqués par la colère".
Gestion des émotions
La naissance des cauchemars serait liée à la gestion des émotions. Les personnes à forte émotivité témoigneraient d'une asymétrie frontale alpha plus forte: "Nos résultats montrent que la colère dans le rêve a les mêmes origines neuronales que celles qui nous influencent à l'état de conscience. Cela signifie qu'il semble y avoir des processus cérébraux partagés pour les émotions", détaille Pilleriin Sikka, co-directrice de cette étude finlandaise.
Ces observations pourraient aider la communauté scientifique à comprendre les troubles mentaux liés au sommeil, tels que l'anxiété, la dépression ou encore l'insomnie.