Condamné pour agressions sexuelles, il quitte le PS

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Le sénateur-maire de Neuilly-sur-Marne, Jacques Mahéas, définitivement condamné par la justice pour agressions sexuelles, a démissionné vendredi du PS, pendant son audition par la commission des conflits du parti.
C'est ce qu'a annoncé à la presse le président de cette instance, Bernard Pignerol.

L'élu socialiste comparaissait devant cette commission sur plainte du porte-parole du PS, Benoît Hamon, et de la secrétaire nationale aux droits des femmes, Gaëlle Lenfant, qui réclamaient sa démission. Plusieurs responsables du parti avaient demandé son exclusion : le sénateur David Assouline, le lieutenant de François Hollande Stéphane Le Foll et le député de l'Essonne Manuel Valls. Selon ce dernier, dans de telles conditions, «personne ne comprendrait - au delà de ce que Jacques Mahéas peut dire - qu'on puisse rester membre du Parti socialiste».

Accusé d'attouchements par une employée municipale

L'affaire remonte à l'été 2002. Une employée municipale l'accuse alors d'avoir eu des comportements déplacés à son égard après les heures de bureau. Elle lui reproche des baisers et attouchements forcés. Un an plus tard, en pleine dépression, elle se voit prescrire un arrêt de travail de quatre mois et décide de porter plainte.

En 2008, le tribunal correctionnel de Paris condamne le sénateur-maire à quatre mois d'emprisonnement avec sursis et 35 000 € d'amende. La cour d'appel, en juillet 2009, confirme sa culpabilité, mais ramène l'amende à 10 000 € et supprime sa peine de prison. L'élu de Seine-Saint-Denis a saisi la cour de cassation qui a rejeté son pourvoi en mars 2010, rendant ainsi définitive la condamnation en appel. Une autre employée de la mairie l'avait accusé de gestes déplacés, mais elle avait ensuite retiré sa plainte.

L'élu a toujours rejeté en bloc ces accusations, évoquant l'hypothèse d'une vengeance personnelle ou d'un complot à son encontre, sans convaincre la justice. Récemment, il estimait que son «soutien» à François Hollande, dont il se dit «ami», lui avait attiré les foudres au sein du PS..
LeParisien.fr

Ce qui est bizarre c'est que parmis ceux qui le condamne au PS il y a de fervent défenseur de DSK.
 
Le sénateur-maire de Neuilly-sur-Marne, Jacques Mahéas, définitivement condamné par la justice pour agressions sexuelles, a démissionné vendredi du PS, pendant son audition par la commission des conflits du parti.
C'est ce qu'a annoncé à la presse le président de cette instance, Bernard Pignerol.

L'élu socialiste comparaissait devant cette commission sur plainte du porte-parole du PS, Benoît Hamon, et de la secrétaire nationale aux droits des femmes, Gaëlle Lenfant, qui réclamaient sa démission. Plusieurs responsables du parti avaient demandé son exclusion : le sénateur David Assouline, le lieutenant de François Hollande Stéphane Le Foll et le député de l'Essonne Manuel Valls. Selon ce dernier, dans de telles conditions, «personne ne comprendrait - au delà de ce que Jacques Mahéas peut dire - qu'on puisse rester membre du Parti socialiste».

Accusé d'attouchements par une employée municipale

L'affaire remonte à l'été 2002. Une employée municipale l'accuse alors d'avoir eu des comportements déplacés à son égard après les heures de bureau. Elle lui reproche des baisers et attouchements forcés. Un an plus tard, en pleine dépression, elle se voit prescrire un arrêt de travail de quatre mois et décide de porter plainte.

En 2008, le tribunal correctionnel de Paris condamne le sénateur-maire à quatre mois d'emprisonnement avec sursis et 35 000 € d'amende. La cour d'appel, en juillet 2009, confirme sa culpabilité, mais ramène l'amende à 10 000 € et supprime sa peine de prison. L'élu de Seine-Saint-Denis a saisi la cour de cassation qui a rejeté son pourvoi en mars 2010, rendant ainsi définitive la condamnation en appel. Une autre employée de la mairie l'avait accusé de gestes déplacés, mais elle avait ensuite retiré sa plainte.

L'élu a toujours rejeté en bloc ces accusations, évoquant l'hypothèse d'une vengeance personnelle ou d'un complot à son encontre, sans convaincre la justice. Récemment, il estimait que son «soutien» à François Hollande, dont il se dit «ami», lui avait attiré les foudres au sein du PS..
LeParisien.fr

Ce qui est bizarre c'est que parmis ceux qui le condamne au PS il y a de fervent défenseur de DSK.

DSK est encore innocent jusqu’à preuve du contraire ;)
Enfin bon dans 6 mois il sera condamné et on sera enfin débarrassé de lui !
 
AU SUIVANT!

A quand le remaniement lié aux abus sexuels au bled? dans la politique, l'armée, l’administration, les hôpitaux, les écoles ....mais les juges et avocats ne doivent pas être toucher, sinon qui défend qui?
 
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