salam
Conseil de la ville de Casablanca : Une nouvelle crise se profile à l'horizon
Une nouvelle crise se profile au Conseil de la ville de Casablanca. Cette alerte a été lancée par les trois membres du Conseil qui ont été exclus par Mohamed Sajid, maire de la ville, et sa majorité de la réunion du bureau dirigeant élargi, tenue jeudi 21 juin. Pour eux, ce renvoi constitue une atteinte à la Charte d'honneur du 4 janvier dernier et un malheureux retour en arrière.
« Tout a commencé le jeudi 21 juin lorsqu'on a appris qu'on était persona non grata à ladite réunion du Conseil. Pire, cette réunion a fait appel à quatre élus du PJD et deux du PI. Une décision qui n'a jamais fait lobjet d'accord entre les composantes politiques de la commune urbaine », nous a confié l'un des élus exclus sous le couvert de l'anonymat.
D'après lui, cet agissement du bureau dirigeant traduit la volonté d'étouffer le travail des cinq commissions spécialisées, à savoir la Commission de suivi de la gestion déléguée par Lydec, celle de la révision des contrats, des biens, des privilèges et de l'exploitation des biens publics, celle du développement et du suivi des recettes, celle du marché de gros et celle de suivi du transport urbain.
«En effet, l'ensemble de ces instances ont fini leur travail et ont établi des recommandations relatives à leur champ d'action. Mais il semble que le président du Conseil cherche à tout prix à ne pas inscrire ces recommandations à l'ordre du jour de la session de juillet », nous a-t-il précisé.
http://www.libe.ma/Conseil-de-la-vi...elle-crise-se-profile-a-l-horizon_a28506.html
Conseil de la ville de Casablanca : Une nouvelle crise se profile à l'horizon
Une nouvelle crise se profile au Conseil de la ville de Casablanca. Cette alerte a été lancée par les trois membres du Conseil qui ont été exclus par Mohamed Sajid, maire de la ville, et sa majorité de la réunion du bureau dirigeant élargi, tenue jeudi 21 juin. Pour eux, ce renvoi constitue une atteinte à la Charte d'honneur du 4 janvier dernier et un malheureux retour en arrière.
« Tout a commencé le jeudi 21 juin lorsqu'on a appris qu'on était persona non grata à ladite réunion du Conseil. Pire, cette réunion a fait appel à quatre élus du PJD et deux du PI. Une décision qui n'a jamais fait lobjet d'accord entre les composantes politiques de la commune urbaine », nous a confié l'un des élus exclus sous le couvert de l'anonymat.
D'après lui, cet agissement du bureau dirigeant traduit la volonté d'étouffer le travail des cinq commissions spécialisées, à savoir la Commission de suivi de la gestion déléguée par Lydec, celle de la révision des contrats, des biens, des privilèges et de l'exploitation des biens publics, celle du développement et du suivi des recettes, celle du marché de gros et celle de suivi du transport urbain.
«En effet, l'ensemble de ces instances ont fini leur travail et ont établi des recommandations relatives à leur champ d'action. Mais il semble que le président du Conseil cherche à tout prix à ne pas inscrire ces recommandations à l'ordre du jour de la session de juillet », nous a-t-il précisé.
http://www.libe.ma/Conseil-de-la-vi...elle-crise-se-profile-a-l-horizon_a28506.html