Coproduits et cadavres d’animaux : une industrie parallèle

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mam80

la rose et le réséda
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De la gélatine de porc dans les dentifrices,
du sang séché dans les engrais,
de la graisse animale dans l’essence et dans les peintures.

Le procédé de fabrication est peu connu, mais la plupart des produits de consommation courante contiennent des composants d’origine animale.

Ils sont issus soit des cadavres d’animaux collectés dans les élevages, qui ne serviront que pour faire des engrais ou combustibles, soit des déchets des abattoirs et ateliers de découpe ainsi que des boucheries – en moindres quantités – qui sont, quant à eux, plus largement employés.

Appelés « coproduits », ils correspondent aux morceaux prélevés sur des bêtes saines et destinés à la consommation humaine, mais qui ne sont pas directement employés pour l’alimentation.

C’est le cas du sang, du pancréas, des caillettes, du groin de porc…

Ils seront alors traités et transformés avant d’être revendus dans d’autres industries.

On les retrouve par exemple
dans l’alimentation pour les animaux de compagnie dite « petfood », qui constitue le premier débouché, mais aussi dans les cosmétiques, la lipochimie, comme le savon notamment
ou encore l’essence, avec le biodiesel.

Trois catégories
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une-industrie-parallele


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