Côte d'ivoire : la mort de la marocaine n'est pas due au virus ebola

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La Marocaine morte en Côte d'Ivoire n'a pas succombé au virus d'Ebola mais au paludisme, contrairement à ce qui a été rapporté par plusieurs médias marocains, a affirmé une source médicale au CHU de Treichville (Côte d'ivoire).
La femme, originaire de la ville de Settat, n'était atteinte d'aucune maladie contagieuse, et selon son fils, « souffrait d'un asthme qu'elle traitait à l'aide de corticoïde et son état de santé se serait aggravé par un paludisme qu'elle avait contracté peu avant sa mort ».
Décédée le (...)

- Maroc / Santé, Ebola, Côte d'Ivoire, Décès, Settat

Côte d'Ivoire : la mort de la Marocaine n'est pas due au virus Ebola
 
Allah y r7am8a :(
Y a beaucoup plus de mort du au paludisme qu'à ebola :(
Punaiz son fils vit la bas il aurait pu prévoir un traitement le temps de son voyage , de la quinine ça se trouve partout ou presque
 
La Marocaine morte en Côte d'Ivoire n'a pas succombé au virus d'Ebola mais au paludisme, contrairement à ce qui a été rapporté par plusieurs médias marocains, a affirmé une source médicale au CHU de Treichville (Côte d'ivoire).
La femme, originaire de la ville de Settat, n'était atteinte d'aucune maladie contagieuse, et selon son fils, « souffrait d'un asthme qu'elle traitait à l'aide de corticoïde et son état de santé se serait aggravé par un paludisme qu'elle avait contracté peu avant sa mort ».
Décédée le (...)

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Côte d'Ivoire : la mort de la Marocaine n'est pas due au virus Ebola


Pas que marocain concernant la presse :indigne:...
 
Le premier cas mortel d'infection au virus Ebola est une femme originaire de Settat. Elle a rendu l'âme, fin septembre, en Côte d'Ivoire où elle rendait visite à l'un de ses fils.

Le virus Ebola vient de faire sa première victime marocaine, révèle Al Ahdath Al Maghribiya daté de ce mardi 7 octobre. Originaire de Settat, cette femme, âgée de cinquante ans et maman de huit enfants, a contracté le virus alors qu'elle se trouvait en Côte d'Ivoire où elle rendait visite à l'un de ses fils. Après son décès, survenu le 30 septembre, son fils a été soumis à des analyses médicales qui ont attesté qu'il n'était pas atteint par le virus mortel, lit-on sur le journal. Pour autant, sa famille n'est pas tirée d'affaire. En Côte d'Ivoire, ses proches attendent patiemment l'autorisation des autorités diplomatiques marocaines pour pouvoir rapatrier la dépouille de la défunte et l'enterrer dans le pays qui l'a vue naître. Et ce n'est pas tout: à Settat, sa famille se trouve dans la gêne et se croit obligée de dire que la défunte a plutôt succombé à la maladie appelée communément "Essalma" (fièvre typhoïde) par les Marocains.

Le Maroc renforce son dispositif

En attendant une réaction officielle, le ministère de la Santé a adressé une note, le 3 octobre, aux professionnels du secteur public et privé relative à la procédure de détection d’un cas suspect de maladie à virus Ebola. La circulaire précise la procédure à suivre, de l'isolement immédiat du patient jusqu'à sa prise en charge. Fait à retenir: Les autorités sanitaires espagnoles ont annoncé, le 6 octobre, le premier cas mortel d'Ebola. Selon les échos en provenance du voisin ibérique, il s'agit d'une infirmière qui a été en contact avec deux missionnaires rentrés d'Afrique. Dans les pays les plus touchés d'Afrique, 7.178 cas ont été recensés par l'Organisation mondiale de la santé. Le virus a fait jusque-là 3.338 morts.


Fatima Moho le360.ma
 
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