coronax
Bladinaute averti
Les ukrainiens ont refusé avec raison les couloirs humanitaires en direction de la Russie ou du Bélarus.
L'histoire nous a suffisamment montré que ces routes se prolongeaient direction grand est.
D'autre part, il est difficile de croire que la Croix Rouge internationale aurait pu suivre les déplacements.
Et quid du retour ?
Lorsque l’évacuation de Marioupol a été convenue la semaine dernière, l’espoir a brièvement germé dans la ville portuaire ukrainienne assiégée.
Mais l’action a d’abord été reportée, puis annulée complètement parce que l’armée russe a attaqué le « couloir humanitaire » prévu depuis la ville.
Ceux qui ont suivi les actions de la Russie en Syrie ne peuvent prendre les annonces d’évacuation des villes assiégées qu'avec scepticisme.
Trop souvent, les Russes et leur allié Bachar al-Assad y ont rompu les cessez-le-feu et fermé ou attaqué des « couloirs humanitaires » à peine ouverts.
Et si des civils ont pu quitter les villes assiégées, les habitants restants ont été bombardés impitoyablement.
L'histoire nous a suffisamment montré que ces routes se prolongeaient direction grand est.
D'autre part, il est difficile de croire que la Croix Rouge internationale aurait pu suivre les déplacements.
Et quid du retour ?
Lorsque l’évacuation de Marioupol a été convenue la semaine dernière, l’espoir a brièvement germé dans la ville portuaire ukrainienne assiégée.
Mais l’action a d’abord été reportée, puis annulée complètement parce que l’armée russe a attaqué le « couloir humanitaire » prévu depuis la ville.
Ceux qui ont suivi les actions de la Russie en Syrie ne peuvent prendre les annonces d’évacuation des villes assiégées qu'avec scepticisme.
Trop souvent, les Russes et leur allié Bachar al-Assad y ont rompu les cessez-le-feu et fermé ou attaqué des « couloirs humanitaires » à peine ouverts.
Et si des civils ont pu quitter les villes assiégées, les habitants restants ont été bombardés impitoyablement.