Coup de geule : pouruoi écrire ?

yasstyme85

Fan de Élon Musk et époux de SHAKIRA 🥰
Bladinaute averti
« On écrit mieux qu’on dit, on ose tout ce que la voix bannit » disait un certain auteur. J’éprouve le besoin d’écrire mais écrire quoi ? Ce moment où je me trouve face à ma page vierge, ce moment inaugurateur de cette aventure mystérieuse se dressait devant moi comme un mur difficile à escalader. Dès lors je m’éclipse et je laisse tomber avec l’espoir de franchir le pas un jour. Tous les éléments sont là qui me poussent à écrire, ils occupent mon esprit et l’encombrent, c’est alors que mon esprit pousse un cri : « Il y a une échappatoire ! J’ai trouvé ! Il faut franchir ce mur, je suffoque ». Voilà je crois qu’il faut juste oser traverser la porte ; se jeter dans l’eau comme on dit ! Réaliser ce grand saut dans le vide, le saut de la foi.....(suite ci-aprés)
 
Qu’est ce qui motive un écrivain ? J’ai lu dans un essai d’un certain ElKhattab Elhanine, que c’est la souffrance. Le livre est le produit d’une souffrance, et tel livre est digne d’être lu. L’écrivain, le vrai, n’écrit jamais pour les autres, il écrit pour lui-même d’abord, les autres viennent après ; écrire c’est transformer sa souffrance, la saisir et la cristalliser hors de soi en une belle suite de caractères bien agencés. La souffrance prend ainsi forme dans le langage et l’écrivain pourrait enfin vivre en paix avec sa souffrance
 
J'écris ma voix intérieure, celle qui se tait quand j'ouvre ma bouche, ma colère, mes joies, mes peines, mes questions, tout ce que je cache aux autres, ce que les gens ne veulent pas entendre.

On me dit " tais toi quand tu parles " alors d'accord, j'écris, ça touche plus de personnes, cela reste plus longtemps, " les paroles s'envolent, les écrits restent ".

Une façon de rendre immortelles des paroles qu'on veut me voir taire, un paradoxe.
 
J'écris ma voix intérieure, celle qui se tait quand j'ouvre ma bouche, ma colère, mes joies, mes peines, mes questions, tout ce que je cache aux autres, ce que les gens ne veulent pas entendre.

On me dit " tais toi quand tu parles " alors d'accord, j'écris, ça touche plus de personnes, cela reste plus longtemps, " les paroles s'envolent, les écrits restent ".

Une façon de rendre immortelles des paroles qu'on veut me voir taire, un paradoxe.
c'est profond ! j'imagine t'as du taire plus qu'il faut et longtemps plus qu'il faut. :)
 
c'est profond ! j'imagine t'as du taire plus qu'il faut et longtemps plus qu'il faut. :)
On m'a demandé de voler sous les radars, de faire profil bas, finalement pas pour mon bien mais pour bien m'arnaquer, quand j'étais devant le notaire de la succession de ma mère réclamer l'argent que je lui avais prêté, ça a joué contre moi d'avoir toujours été discret, ils m'ont décrédibilisé face à lui et ma créance est passée à la trappe, adieu mes économies, ils ont bien rit, pas moi.
J'ai financé les découverts de ma mère, les dettes de mon ex beau père, celles de leurs enfants avec ma mère comme caution, mais au moment de payer, on m'a dit d'aller me faire voir, à trop accepter d'être discret j'ai fini en pigeon rôti, et maintenant quand j'ouvre la bouche on me traite de menteur et on me menace de porter plainte pour diffamation.
J'ai trop de secrets, les écrire m'évite d'exploser, peu importe qu'on me croit ou non, ça fait du bien.
 
Qu’est ce qui motive un écrivain ? J’ai lu dans un essai d’un certain ElKhattab Elhanine, que c’est la souffrance. Le livre est le produit d’une souffrance, et tel livre est digne d’être lu. L’écrivain, le vrai, n’écrit jamais pour les autres, il écrit pour lui-même d’abord, les autres viennent après ; écrire c’est transformer sa souffrance, la saisir et la cristalliser hors de soi en une belle suite de caractères bien agencés. La souffrance prend ainsi forme dans le langage et l’écrivain pourrait enfin vivre en paix avec sa souffrance
Une sorte de carthasis ...
 
Je pense que pour écrire il faut pas se poser de question ou se comparer aux autres. Ecrire ce qui nous passe par la tête. Garder cette discipline d'écrire un peu tout les jours.

Sartre disait qu'un "écrivain devait écrire 4 heures par jour" Maxime Chattam l'auteur de polar dit qu'il écrit 8 heures par jour comme un salarié qui va au travail, lui s'assoit à son bureau devant son ordi. Il y a aussi les auteurs que j'appelle les perfectionnistes qui passent des heures à faire un travail de recherches pour leurs livres.

Moi personnellement je suis plus à m'inspirer de mes voyages, rencontres...Pour écrire. Les rêves et l'intuition peuvent aussi être utile. D'aprés moi même si c'est sur qu'on écrit d'abord pour soi et qu'on peut pas savoir à l'avance si le livre va devenir un chef d'oeuvre ou un best seller. Il faut qu'il parle aux autres, qu'on s'identifie aux narrateurs, personnages... Par exemple il y a une mode depuis quelques années d'éditer ce que j'appelle les auteurs nombrilistes qui vont raconter leurs petits malheurs de petits bourgeois du 16ème et ça parle à personne. A la rigueur peut être dans 100 ans comme étude sociologique de notre époque lol.

Certains auteurs comme Balzac récitaient ce qu'ils étaient en train d'écrire. Ca les aidaient pour l'inspiration, comme ceux d'ailleurs qui dictaient à une secretaire. Enfin bref il y a autant de façon d'écrire que d'auteurs. Ce qui me désole c'est le succés de mecs comme Marc Lévy qui savent pas écrire:D

Et puis il n'y a pas de sous genre je suis contente que les Harry potter aient donné envie aux jeunes de lire et je suis contente de prendre ce qu'on appelle des livres de genre ( thrillers, romances, comédies, fantastiques...) dans ma valise pour les vacances. Ou là plutôt dans ma tablette pour un gain de place. On attendra la rentrée pour les livres "serieux":p
 
mdr juste la flemme, faut que je trouve une image. Toi tu as enlevé ta tête, trop de propositions indécente lol:p
ah t'as vu ma tête ? alors là tu m'as surpris, t'étais en mode spectateur ! oui j'ai enlevé pour respecter la tendance générale et ne pas séduire les bladienettes :D
oui je sais je suis pas beau gosse mais j'aime me vanter des fois haha
 
ah t'as vu ma tête ? alors là tu m'as surpris, t'étais en mode spectateur ! oui j'ai enlevé pour respecter la tendance générale et ne pas séduire les bladienettes :D
oui je sais je suis pas beau gosse mais j'aime me vanter des fois haha

Oui j'aimais déjà ce que tu écrivais avant de m'inscrire, donc je t'avais remarqué. Je te rassure pour ton cerveau pas pour ton physique je suis pas superficielle comme fille lol. Même si un mec à la foi beau et intelligent c'est assez rare pour être souligné. Oups faut pas que Hibou me lise il va encore dire que les féministes sont cruelles avec les hommes mdr:D
 
Qu’est ce qui motive un écrivain ? J’ai lu dans un essai d’un certain ElKhattab Elhanine, que c’est la souffrance. Le livre est le produit d’une souffrance, et tel livre est digne d’être lu. L’écrivain, le vrai, n’écrit jamais pour les autres, il écrit pour lui-même d’abord, les autres viennent après ; écrire c’est transformer sa souffrance, la saisir et la cristalliser hors de soi en une belle suite de caractères bien agencés. La souffrance prend ainsi forme dans le langage et l’écrivain pourrait enfin vivre en paix avec sa souffrance
Ce qui fait écrire c'est surtout l'inspiration, faite de souffrance ou de joie peu importe finalement.
Par contre pas tous les écrivains relatent leur vie, ou s'en inspirent. Mais chose est sur, un écrivain est très observateur du monde qui l'entoure.
Je pense qu'Un écrivain est d'abord un amoureux de la lecture.
 
c'est une très belle chose d'écrire, pour échapper à la vie réelle, laisser son esprit vagabonder, depasser les interdits ou rout simplement lacher prise ....ecrire poir ne plus penser ou même souffrir pour certains.

être lu n'est pas une fin en soi. .. mais c'est graver a jamais quelques part :)
 
Perso j'ecris ... et l'idee qu'il y'aurait une motivation absolue qui pousserait l'Homme à ecrire, une souffrance à expier, une blessure à sublimer par des mots, que l'écriture serait l'accomplissement final de cet homme particulier qui fut destiné à écrire m'a toujours paru être du bullshit.

On tente de sublimer une activité naturelle et anodine produite depuis toujours et sous tous les cieux.

Je suis contre toute forme d'élitisme surtout quand elle vient peser de toute sa disgrace sur des activités humaines libres.

Qu'écrive celui qui en a envie. Point.
 
J'ai déjà été édité, beaucoup d'écoliers m'ont lu sans le savoir depuis 30 ans, au collège on nous donnait des sujets que je trouvais archi nuls, mes profs de français étaient des auteurs d'ouvrages scolaires, j'ai donné l'autorisation d'éditer mes textes, je faisais des hors sujets magnifiques.
Un de mes sujets, j'étais pas du tout inspiré par le vrai sujet donné alors j'ai disserté 4 pages sur la page blanche, la panne de l'auteur, j'ai eu un 16/20.
Mes coups de gueule ont donné des chefs d'oeuvres et ont fini dans les manuels scolaires.
 
Retour
Haut