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VIB
Mise à jour le Lundi, 22 Novembre 2010
Un collectif d'acteurs du monde politique, associatif, de défense des droits humains et de la jeunesse de plusieurs pays arabes vient d'annoncer la création du "Congrès arabe de défense de l'unité du Maroc".
La création de ce Congrès intervient au lendemain de la campagne de désinformation et de dénigrement systématique menée par les ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume avec la participation de l'Algérie qui n'accorde aucun intérêt aux liens de sangs et de fraternité existant entre les deux pays ainsi qu'à leur destin commun, précise dimanche un communiqué de cette ONG.
Cette nouvelle structure a été constituée aussi pour contrecarrer les tentatives d'instrumentalisation par certains médias européens, et en particulier espagnols, de photos d'enfants palestiniens victimes de l'agression meurtrière israélienne en 2006, en les présentant comme des photos prises lors des événements de Laâyoune, souligne-t-on de même source.
Le but d'une telle instrumentalisation est d'induire en erreur l'opinion publique internationale et de falsifier les faits relatifs notamment à l'intervention des forces de l'ordre pour libérer les habitants pris en otage par des bandes criminelles à la solde du "polisario" et de l'Algérie, ajoute le communiqué, précisant que cette intervention a fait plusieurs morts dans les rangs des forces de l'ordre.
La création de ce Congrès intervient aussi suite à la violation de la déontologie de la presse par l'agence de presse espagnole (EFE), l'agence France-Presse (AFP) et la presse officielle algérienne qui se sont engagées dans une campagne effrénée visant à porter atteinte à la stabilité du Royaume et ses provinces du Sud, fait remarquer le communiqué, indiquant que "cette offensive lève le voile sur les intentions de certaines parties qui ne cessent de dresser des obstacles devant les efforts déployés par le Maroc pour libérer les présides de Sebta et Melilla et les autres enclaves occupées".
Les congressistes ont aussi lancé un "appel fraternel" aux décideurs algériens pour mettre fin à "la guerre médiatique" déclenchée contre le Maroc et soutenir les efforts consentis par la communauté internationale en vue de parvenir à un règlement pacifique à la question du Sahara, qui entrave l'unité du Maghreb et l'action arabe.
Ils ont, en outre, exprimé leur disposition à conclure des accords de partenariat avec les organisations régionales et internationales pour défendre le droit des pays à sauvegarder leur intégrité territoriale.
Les congressistes représentent notamment l'Egypte, la Palestine, la Tunisie, Oman, la Syrie, le Yémen, la Mauritanie, les iles Comores, la Libye, l'Iraq, la Somalie, le Liban, la Jordanie, l'Arabie Saoudite, Djibouti, le Soudan et le Maroc.
MAP
Un collectif d'acteurs du monde politique, associatif, de défense des droits humains et de la jeunesse de plusieurs pays arabes vient d'annoncer la création du "Congrès arabe de défense de l'unité du Maroc".
La création de ce Congrès intervient au lendemain de la campagne de désinformation et de dénigrement systématique menée par les ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume avec la participation de l'Algérie qui n'accorde aucun intérêt aux liens de sangs et de fraternité existant entre les deux pays ainsi qu'à leur destin commun, précise dimanche un communiqué de cette ONG.
Cette nouvelle structure a été constituée aussi pour contrecarrer les tentatives d'instrumentalisation par certains médias européens, et en particulier espagnols, de photos d'enfants palestiniens victimes de l'agression meurtrière israélienne en 2006, en les présentant comme des photos prises lors des événements de Laâyoune, souligne-t-on de même source.
Le but d'une telle instrumentalisation est d'induire en erreur l'opinion publique internationale et de falsifier les faits relatifs notamment à l'intervention des forces de l'ordre pour libérer les habitants pris en otage par des bandes criminelles à la solde du "polisario" et de l'Algérie, ajoute le communiqué, précisant que cette intervention a fait plusieurs morts dans les rangs des forces de l'ordre.
La création de ce Congrès intervient aussi suite à la violation de la déontologie de la presse par l'agence de presse espagnole (EFE), l'agence France-Presse (AFP) et la presse officielle algérienne qui se sont engagées dans une campagne effrénée visant à porter atteinte à la stabilité du Royaume et ses provinces du Sud, fait remarquer le communiqué, indiquant que "cette offensive lève le voile sur les intentions de certaines parties qui ne cessent de dresser des obstacles devant les efforts déployés par le Maroc pour libérer les présides de Sebta et Melilla et les autres enclaves occupées".
Les congressistes ont aussi lancé un "appel fraternel" aux décideurs algériens pour mettre fin à "la guerre médiatique" déclenchée contre le Maroc et soutenir les efforts consentis par la communauté internationale en vue de parvenir à un règlement pacifique à la question du Sahara, qui entrave l'unité du Maghreb et l'action arabe.
Ils ont, en outre, exprimé leur disposition à conclure des accords de partenariat avec les organisations régionales et internationales pour défendre le droit des pays à sauvegarder leur intégrité territoriale.
Les congressistes représentent notamment l'Egypte, la Palestine, la Tunisie, Oman, la Syrie, le Yémen, la Mauritanie, les iles Comores, la Libye, l'Iraq, la Somalie, le Liban, la Jordanie, l'Arabie Saoudite, Djibouti, le Soudan et le Maroc.
MAP
