salam
Vous connaissez leffet placebo, ce processus par lequel des patients qui pensent prendre un vrai médicament en ressentent les effets positifs alors que celui-ci est dépourvu de principe actif. Eh bien ce phénomène existerait aussi dans sa version négative.
Penser aux risques dun médicament augmenterait le risque que ses effets indésirables se produisent, rapporte le journal allemand SZ Magazin. Cet effet nocebo serait valable aussi pour certaines maladies. Plusieurs cas de patients lauraient subi. Cette spirale de sentiments négatifs pourrait augmenter le risque de faire un infarctus ou de lhypertension par exemple.
Des psychologues américains ont par exemple pu prouver que la probabilité de mourir dune crise cardiaque est trois fois plus élevée chez les femmes qui pensent être plus disposées à avoir un infarctus, explique Karl-Heinz Ladwig, expert en cardiologie à la clinique psychosomatique de lUniversité technique de Munich, cité par Slate.
Les conséquences peuvent être plus ou moins graves, le pire exemple connu remonte aux années 70. Des médecins diagnostiquent un cancer en phase terminale à un Américain.
Il meurt chez lui quelques semaines plus tard. Pendant lautopsie, les médecins se sont aperçus que la tumeur navait pas formé de métastases. Lhomme serait donc mort non pas à cause de son cancer mais parce quil était persuadé de mourir dun cancer!
http://www.libe.ma/Croire-aux-effet...enterait-les-risques-de-les-subir_a34914.html
Vous connaissez leffet placebo, ce processus par lequel des patients qui pensent prendre un vrai médicament en ressentent les effets positifs alors que celui-ci est dépourvu de principe actif. Eh bien ce phénomène existerait aussi dans sa version négative.
Penser aux risques dun médicament augmenterait le risque que ses effets indésirables se produisent, rapporte le journal allemand SZ Magazin. Cet effet nocebo serait valable aussi pour certaines maladies. Plusieurs cas de patients lauraient subi. Cette spirale de sentiments négatifs pourrait augmenter le risque de faire un infarctus ou de lhypertension par exemple.
Des psychologues américains ont par exemple pu prouver que la probabilité de mourir dune crise cardiaque est trois fois plus élevée chez les femmes qui pensent être plus disposées à avoir un infarctus, explique Karl-Heinz Ladwig, expert en cardiologie à la clinique psychosomatique de lUniversité technique de Munich, cité par Slate.
Les conséquences peuvent être plus ou moins graves, le pire exemple connu remonte aux années 70. Des médecins diagnostiquent un cancer en phase terminale à un Américain.
Il meurt chez lui quelques semaines plus tard. Pendant lautopsie, les médecins se sont aperçus que la tumeur navait pas formé de métastases. Lhomme serait donc mort non pas à cause de son cancer mais parce quil était persuadé de mourir dun cancer!
http://www.libe.ma/Croire-aux-effet...enterait-les-risques-de-les-subir_a34914.html