pour chaque sens (percetion ) ce que les stimuli les plus basique evoque en particulier au niveau du ressenti pas de l'intellect
exemple pour la vision ce qu'evoque le forme (ex rond ) les couleur (rouge jaune etc ...)
certain intonation ou music basique
exemple pour le son de mot l'effet connu kiki et bouba :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_bouba/kiki
etc ....
D'après Ramachandran and Hubbard, l'effet bouba/kiki serait un facteur en matière de l'évolution de langues, car il suggère que les noms attribués aux objets ne sont pas entièrement arbitraires. Il est plus probable que la forme arrondie est nommée bouba parce que la bouche prend une forme plus arrondie pour produire ce son-là, alors que la bouche doit se tendre dans le cas de kiki. Autrement, il se peut que la distinction se fasse entre les consonnes coronales ou dorsales telles que /k/ et les consonnes labiales telles que /b/. Ces correspondances du genre synesthésique font penser que l'effet constitue le fondement neurologique du symbolisme phonétique, selon lequel les correspondances entre sons et objets ou évènements ne se fait pas au hasard.
Des recherches plus récentes indiquent que l'effet pourrait être un cas de idéesthésie, soit un fait/phénomène où l'activation de concepts provoque (induit) des expériences semblables aux perceptions. Le terme, d'origine grecque, signifie sensation d'idées.
synesthesie :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Synesthésie
https://fr.wikipedia.org/wiki/Symbolisme_phonétique
idéesthésie:
http://amara.org/es/videos/vMIlyzqSR8Cj/fr/850177/
Le modèle traditionnel de notre fonctionnement mental décrit que nos sens fournissent d'abord des données à notre cerveau ; celui-ci traduit ensuite ces sens en phénomènes mentaux appropriés : la lumière en images, les vibrations de l'air en expériences auditives, etc. Et si ce processus se passait réellement simultanément ? Danko Nikolić décrit la théorie de l'Idéesthésie.
signal plus complexe la semiotique :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sémiotique#Branches
L'Anthroposémiotique est une branche de l'anthropologie et de la sémiotique qui étudie l'Homme en relation avec son environnement. Cette relation serait constituée d'un processus double de communication.
Il y a d'abord l'environnement qui émet des signaux de toutes sortes, reçus par les récepteurs sensitifs de l'humain (les 5 sens). Il s'ensuit un décodage et un classement des signaux perçus, pour en permettre l'interprétation.
Il y a ensuite le processus de signification de l'environnement, c'est-à-dire que l'Homme attribue du savoir et du sens dans le cosmologique, savoir qui vient s'inscrire comme création culturelle partagée. Les savoirs sur l'environnement sont de trois niveaux : sémantique (nomination et classification), encyclopédique (définition, disséquation et conceptualisation multi-axiales), symbolique (associations métaphoriques porteuses de nouveau sens, hors-nature).
Par l'entremise de ces deux processus, l'accès au réel n'est alors qu'expérience subjective, comprenant une part de réel, une part de social (culturel) et une part de narré (narration de son expérience idiosyncratique).
L'anthroposémiotique permet l'étude de ces processus mais également toutes ses productions, relations et mises en actes dans le quotidien.
idiosyncratique
https://fr.wikipedia.org/wiki/Idiosyncrasie
En psychologie, l'idiosyncrasie est la disposition humaine à ressentir différemment selon les individus, une impression extérieure ou sensorielle.
En psychiatrie, l'idiosyncrasisme désigne l'utilisation de néologismes, de mots ou de phrases « hors contexte », inadaptés par rapport à la situation présente (dans l'autisme par exemple).
Psychophysique :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Psychophysique