Encore des gros voleurs(es) . Les personnes qui ont voté pour eux se sont fait arnaqués . Pourtant les preuves étaient la .
Comme les socialeux(es) en grande partie . Pendant ce temps la ils continuent a touché 6500 € d'argent du contribuable .
Ils ont été condamné pour vol dans le parlement européen
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POLITIQUE - Un maire du Rassemblement national devant la justice. David Rachline, élu à Fréjus (Var) depuis 2014, est convoqué par le tribunal correctionnel de Draguignan pour « prises illégales d’intérêt ». Révélée par Le Nouvel Obs dimanche 9 février, l’information a été confirmée depuis par le paquet à l’AFP.
Sur la TVA et les autoentrepreneurs, le RN dénonce une mesure qu’il a pourtant proposée (en plus dur)
L’affaire dans laquelle est impliqué ce proche de Marine Le Pen concerne les conditions de sa nomination à la tête des deux sociétés d’économie mixte, Fréjus Aménagement et La gestion du port de Fréjus, selon le procureur de Draguignan Pierre Couttenie. Ces deux postes donnent lieu, chacun, à une rémunération brute de 12 000 euros annuels, soit 24 000 euros au total, que David Rachline touche en plus de ses indemnités de maire. Une somme bienvenue pour celui qui avait démissionné de son mandat de sénateur en 2017.
En décembre 2023, la justice avait ouvert une enquête après la publication du livre Les Rapaces, écrit par la journaliste du Nouvel Obs Camille Vigogne Le Coat, qui pointait du doigt sa gestion de cette cité balnéaire où vivent 56 000 habitants. Le principal intéressé avait alors qualifié les accusations du livre « de pures inventions relayées par d’anciens collaborateurs éconduits et opposants politique ».
À l’époque, Marine Le Pen l’avait défendu : « C’est assez classique que le parquet ouvre une enquête pour savoir si ce qui est indiqué dans ce livre est vrai ou non », avait-elle expliqué avant d’ajouter : « Ça lui permettra de se défendre précisément des accusations qui sont portées contre lui. » Mais on sentait alors une gêne chez la triple candidate à l’élection présidentielle. « Je ne vis pas à Fréjus, je ne travaille pas à la mairie, je n’en sais rien », balayait-elle comme pour absoudre son parti des accusations de mauvaise gestion.
Dans un communiqué, le maire de Fréjus s’est dit « serein et confiant », dénonçant un « acharnement médiatique » et des « polémiques calomnieuses ». « Sur le fond, poursuit ce vice-président du RN, l’affaire porte sur des délibérations du conseil municipal concernant les deux sociétés d’économie mixte locale de la ville de Fréjus, à une époque où la loi n’imposait pas aux élus de se déporter de ces délibérations, en considérant qu’ils n’étaient pas en situation de conflit d’intérêts ». D’ailleurs, à l’en croire, les accusations seraient « contredites par la Chambre régionale des Comptes PACA qui a passé au crible tous les actes de gestion et les marchés publics de la Ville de Fréjus, sans retenir aucune infraction pénale », et dont le rapport « sera rendu public d’ici quelques semaines ».
Comme les socialeux(es) en grande partie . Pendant ce temps la ils continuent a touché 6500 € d'argent du contribuable .
Ils ont été condamné pour vol dans le parlement européen
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POLITIQUE - Un maire du Rassemblement national devant la justice. David Rachline, élu à Fréjus (Var) depuis 2014, est convoqué par le tribunal correctionnel de Draguignan pour « prises illégales d’intérêt ». Révélée par Le Nouvel Obs dimanche 9 février, l’information a été confirmée depuis par le paquet à l’AFP.
Sur la TVA et les autoentrepreneurs, le RN dénonce une mesure qu’il a pourtant proposée (en plus dur)
L’affaire dans laquelle est impliqué ce proche de Marine Le Pen concerne les conditions de sa nomination à la tête des deux sociétés d’économie mixte, Fréjus Aménagement et La gestion du port de Fréjus, selon le procureur de Draguignan Pierre Couttenie. Ces deux postes donnent lieu, chacun, à une rémunération brute de 12 000 euros annuels, soit 24 000 euros au total, que David Rachline touche en plus de ses indemnités de maire. Une somme bienvenue pour celui qui avait démissionné de son mandat de sénateur en 2017.
En décembre 2023, la justice avait ouvert une enquête après la publication du livre Les Rapaces, écrit par la journaliste du Nouvel Obs Camille Vigogne Le Coat, qui pointait du doigt sa gestion de cette cité balnéaire où vivent 56 000 habitants. Le principal intéressé avait alors qualifié les accusations du livre « de pures inventions relayées par d’anciens collaborateurs éconduits et opposants politique ».
À l’époque, Marine Le Pen l’avait défendu : « C’est assez classique que le parquet ouvre une enquête pour savoir si ce qui est indiqué dans ce livre est vrai ou non », avait-elle expliqué avant d’ajouter : « Ça lui permettra de se défendre précisément des accusations qui sont portées contre lui. » Mais on sentait alors une gêne chez la triple candidate à l’élection présidentielle. « Je ne vis pas à Fréjus, je ne travaille pas à la mairie, je n’en sais rien », balayait-elle comme pour absoudre son parti des accusations de mauvaise gestion.
David Rachline très éloigné de la politique nationale
En octobre 2017, il n’avait certes pas pris part aux votes en conseil municipal qui l’avaient placé à la tête des deux sociétés, mais Camille Vigogne Le Coat avait révélé qu’il était physiquement présent dans la salle à ce moment-là (ce qui avait largement pu influencer le résultat) et que le scrutin n’avait pas eu lieu à bulletins secrets, mais à main levée. « Les adjoints étaient-ils libres de délibérer ou agissaient-ils sur ordre du maire ? C’est justement cette question que la justice tranchera le 30 septembre prochain, lors d’une audience pour “prise illégale d’intérêts” », écrit la journaliste.Dans un communiqué, le maire de Fréjus s’est dit « serein et confiant », dénonçant un « acharnement médiatique » et des « polémiques calomnieuses ». « Sur le fond, poursuit ce vice-président du RN, l’affaire porte sur des délibérations du conseil municipal concernant les deux sociétés d’économie mixte locale de la ville de Fréjus, à une époque où la loi n’imposait pas aux élus de se déporter de ces délibérations, en considérant qu’ils n’étaient pas en situation de conflit d’intérêts ». D’ailleurs, à l’en croire, les accusations seraient « contredites par la Chambre régionale des Comptes PACA qui a passé au crible tous les actes de gestion et les marchés publics de la Ville de Fréjus, sans retenir aucune infraction pénale », et dont le rapport « sera rendu public d’ici quelques semaines ».