Chaque jour et chaque nuit, nous entendons ici un père qui a violé sa fille, et là un autre qui a obligé ses filles à avoir des relations sexuelles avec lui. Nous entendons partout et de plus en plus ce type de faits qui poursuivent les gens, où qu’ils se trouvent.
Il devient de plus en plus difficile de publier de telles informations, bien que cela soit précisément notre métier de faire parvenir ces actes aux lecteurs, car l’objectif est que les gens ouvrent les yeux sur leurs réalités sociales, sur les travers et les maladies qui marquent notre pays. Seulement voilà, c’est le contraire qui se produit, la banalité et l’habitude s’installent, et plus personne ne semble dérangé d’apprendre ce qui se passe dans ce domaine.
Où va donc la société marocaine avec de pareilles horreurs ? Suffit-il donc que l’on en parle une fois ou deux pour les exorciser ? Faudrait-il plutôt les ignorer, ou encore les considérer comme des faits divers, de simples faits divers ?
Il n’en demeure pas moins que ces abjections deviennent de plus en plus difficiles à supporter, et il est aujourd’hui, plus que jamais, nécessaire de se pencher sur la santé mentale de nombre de nos compatriotes qui vivent avec de telles maladies psychologiques, ou même psychiatriques, sans même le savoir ni en être conscients. Dans l’intervalle, ces personnes sont livrées à elles-mêmes, circulent en toute liberté, dans l’espace public et chez elles, sans que l’on ne nourrisse des craintes pour leur entourage immédiat…
jusqu’à ce qu’une nouvelle horreur nous surprenne, encore et encore… Surprendre est d’ailleurs un bien grand mot car nous aurons sous-estimé le phénomène et laissé les choses aller comme si de rien n’était.
Mais existe-t-il vraiment une solution à cela ?
http://www.panoramaroc.ma/fr/de-plus-en-plus-de-viols-attention-a-la-banalisation/
Il devient de plus en plus difficile de publier de telles informations, bien que cela soit précisément notre métier de faire parvenir ces actes aux lecteurs, car l’objectif est que les gens ouvrent les yeux sur leurs réalités sociales, sur les travers et les maladies qui marquent notre pays. Seulement voilà, c’est le contraire qui se produit, la banalité et l’habitude s’installent, et plus personne ne semble dérangé d’apprendre ce qui se passe dans ce domaine.
Où va donc la société marocaine avec de pareilles horreurs ? Suffit-il donc que l’on en parle une fois ou deux pour les exorciser ? Faudrait-il plutôt les ignorer, ou encore les considérer comme des faits divers, de simples faits divers ?
Il n’en demeure pas moins que ces abjections deviennent de plus en plus difficiles à supporter, et il est aujourd’hui, plus que jamais, nécessaire de se pencher sur la santé mentale de nombre de nos compatriotes qui vivent avec de telles maladies psychologiques, ou même psychiatriques, sans même le savoir ni en être conscients. Dans l’intervalle, ces personnes sont livrées à elles-mêmes, circulent en toute liberté, dans l’espace public et chez elles, sans que l’on ne nourrisse des craintes pour leur entourage immédiat…
jusqu’à ce qu’une nouvelle horreur nous surprenne, encore et encore… Surprendre est d’ailleurs un bien grand mot car nous aurons sous-estimé le phénomène et laissé les choses aller comme si de rien n’était.
Mais existe-t-il vraiment une solution à cela ?
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